Excursion à Provins

La ville médiévale de Provins était le lieu choisi par le club d’Histoire de l’Art que fréquente Monique depuis de nombreuses années pour le voyage de fin d’année.
Après un départ à l’aube samedi 28 mai – à 6 h 30 de Saulxures ! – j’ai profité du trajet pour faire ma nuit !
Un peu avant Provins, halte à Saint-Loup-de-Naud pour visiter l’église qui est un des monuments les plus célèbres du département de Seine et Marne.
Classé depuis le milieu du 19e siècle parmi les Monuments historiques, l’édifice a fait l’objet de nombreuses restaurations.
Malheureusement, l’église est fermée et nous ne pouvons donc pas la visiter…

Nous poursuivons jusqu’à Provins où, après un excellent déjeuner, nous suivons notre guide pour une découverte à pied.

Provins est l’une des cités médiévales les mieux conservées de France.
Capitale économique au Moyen-Age, elle compte 58 monuments classés ; la ville est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2001.
Témoin de l’histoire médiévale du XI au XIII siècle, Provins recèle de lieux typiques, de maisons en pierre et à colombages.

La Grange aux Dimes

La collégiale Saint-Quiriace, église du XIIᵉ siècle.

Une partie des remparts. La ville était ceinte par une muraille de 5 km.

La Tour César, donjon du XIIe siècle, au sommet de la colline où s’est installée la ville haute.
Tour octogonale à base carrée, elle servit également de prison. Nous visitons à l’intérieur la salle des gardes, la chambre du gouverneur ainsi que, au prix d’un gros effort physique en raison d’un escalier très étroit et garni de marches inégales dont certaines sont très hautes, la charpente et une vue imprenable sur la ville.

Puis nous assistons à un spectacle médiéval : « La Légende des Chevaliers ». Il s’agit d’un spectacle en plein air avec acrobaties équestres, cavalcades, voltige, combats, cascades et animaux.

Enfin, au détour d’une rue, le symbole de la ville : la fameuse rose de Provins !

Pour voir toutes les photos prises par Monique Colin, cliquer sur l’album ci-dessous :

Album : Provins 28 mai 16

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Virginie Hocq « sur le fil »

De retour de Tomblaine où nous avons assisté au spectacle de Virginie Hocq « sur le fil » à l’espace Jean Jaurès.
Invitées par NASA Toyota d’Essey-les-Nancy, la soirée à commencé par un buffet préparé par le traiteur Lalvée, meilleur ouvrier de France. Puis une heure et demie de rire à s’en faire mal aux côtes!
Merci Toyota pour cette excellente soirée. Ça fait du bien de rire !!!

Il y a 120 ans…

Le 12 avril 1893, une nouvelle salle de spectacle ouvre ses portes à Paris, dans le quartier de l’Opéra : l’Olympia.
Construite d’après les plans de l’architecte Léon Carle, cette salle est destinée à accueillir les grands noms du music-hall. De fait, elle est devenue carrément mythique car à l’époque, ne passait à l’Olympia qui voulait !

 

 

Kaas chante Piaf

Nous étions ce soir au concert « Kaas chante Piaf » au Zénith de Nancy. Pour une fois, nous n’étions pas en retard et nous avons eu le temps de nous rendre dans la salle sans courir et de nous installer tranquillement.
En première partie, ce que nous appelions naguère en vedette américaine, nous avons entendu un jeune artiste, Olivier Laurent, qui incarna Jacques Brel dans quelques chansons du célèbre artiste belge. A signaler que le jeune Laurent est belge aussi ! En quelques titres qu’il interprète avec brio, reprenant à son compte les attitudes très caractéristiques du grand Jacques, il a conquis le public et notamment une jeune femme à quelques mètres de nous qui ne cessait de hurler des « bravo » tonitruants ! Etait-ce sa copine ?

Puis arriva le grand moment du spectacle de Patricia Kaas évoquant la carrière de la non moins grande Edith. Le répertoire de Piaf, aussi varié soit-il, ne doit pas impressionner Kaas qui possède la voix et les tripes nécessaires pour incarner tous les tubes d’Edith Piaf. Mais nous assistions bien ce soir à un spectacle et non à un concert. Il y avait un fil conducteur, des images de la disparue, des images de Patricia Kaas illustrant un titre, une mise en scène à chaque titre.
Bref, on ne s’est pas ennuyé, d’autant que la chanteuse de chez nous – « ça fait du bien de se retrouver dans l’Est » a-t-elle crié en arrivant sur scène ! – a eu à coeur de faire découvrir des chansons inconnues du grand public en alternance avec les tubes qu’elle nous encourageait à reprendre en choeur.
Pendant presque trois heures (Olivier Laurent et entracte compris), plus de crise – la salle était d’ailleurs comble – et plus de problème !