Le 11 août 1999 a lieu une éclipse totale du soleil.
D’Angleterre au Golfe du Bengale, des centaines de millions de Terriens, Français, Allemands, Autrichiens, Italiens, Yougoslaves, Hongrois, Roumains, Turcs, Irakiens, Iraniens et Pakistanais, peuvent observer la dernière éclipse totale de soleil du siècle.
Je me souviens avoir pu l’observer de notre terrasse, en tout début d’après-midi ; c’était une atmosphère très étrange avec une lumière inhabituelle. Petit à petit, les oiseaux se sont tus. Le monde était comme en suspens. Puis, progressivement, les oiseaux se sont remis à chanter. Je comprends que nos ancêtres croyaient à la fin du monde !
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2 pâtes feuilletées - olives noires dénoyautées
150 g de bûche de chèvre - romarin - 1 jaune d’œuf
Dérouler une pâte feuilletée en laissant le papier sulfurisé dessous. Couper la bûche de chèvre en rondelles et les disposer sur la pâte ainsi que les olives coupées en deux. Parsemer de romarin.
Dérouler la deuxième pâte feuilletée et en recouvrir la première. Appuyer sur le pourtour avec les doigts puis avec une fourchette pour souder les deux pâtes. Placer une heure au frais pour faciliter la découpe.
Préchauffer le four à 180°.
Badigeonner la pâte avec le jaune d’oeuf dilué dans un peu d’eau. Poser un verre retourné au centre de la tarte sans trop appuyer pour ne pas couper la pâte, puis couper des rayons.
Torsader chaque triangle de pâte en le tournant délicatement.
Ôter le verre et dessiner une face solaire au centre.
Glisser la tarte avec le papier sulfurisé sur une plaque de cuisson et faire cuire 20 minutes.
Présenter telle quelle ; les convives se serviront en détachant chaque torsade.
On peut décliner cette tarte avec tous les ingrédients souhaités, par exemple saumon fumé et chèvre frais, jambon cuit et Boursin, etc.
Bon appétit !
Le 20 février 1888 naît à Paris Georges Bernanos, écrivain français.
Après avoir obtenu le Prix Femina en 1929 pour son roman « La joie », il connaît une grande fécondité littéraire, notamment durant son séjour à Majorque entre 1934 et 1937. Il publie « Sous le soleil de Satan » en 1926 et « Le Journal d’un curé de campagne » pour lequel il obtient le Grand Prix du roman de l’Académie française en 1936.
Il décède à Neuilly en 1948.
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