La romancière française Edmonde Charles-Roux est morte hier mercredi 20 janvier 2016 à Marseille.
Présidente de l’Académie Goncourt de 2002 à 2014, elle avait elle-même remporté le prestigieux prix en 1966 pour son livre Oublier Palerme.
Elle avait 95 ans.
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Le 18 juillet 1817 décède Jane Austen, femme de lettres anglaise.
Parmi ses romans: « Raison et sentiments », « Orgueil et préjugés », « Emma ».
Plusieurs de ses ouvrages ont été portés au petit comme au grand écran.
Le 1er juillet 1896 décède Elizabeth Harriet Beecher Stowe, romancière américaine née en 1811.
Epouse d’un pasteur dont elle partage l’engagement contre l’esclavagisme, elle écrit « La Case de l’oncle Tom », un roman qui connaît d’emblée un immense succès.
Le 24 septembre 2004 décède Françoise Quoirez, alias Françoise Sagan, romancière française.
Née en 1935, son premier roman publié en 1954, « Bonjour Tristesse », la rend célèbre dès l’âge de 19 ans. « Aimez-vous Brahms » et « La Chamade » confirment son talent. Sagan écrit aussi pour le théâtre.
Le 15 septembre 1890 naît Agatha Christie, romancière anglaise.
Auteur de 79 romans dont 33 avec Hercule Poirot comme personnage principal, elle décède en 1976.
Le 9 juillet 1901 naît à Londres Barbara Cartland, romancière britannique.
Auteur de plus de 700 romans à l’eau de rose, elle publie son premier ouvrage en 1923. Ses ventes record (une moyenne de 23 livres par an pendant une période de 18 années) lui valent de paraître en bonne place dans le livre des records. Elle est probablement l’auteur le plus prolifique au monde…
Elle décède à Londres en 2000.
Le 14 juillet 1817 décède à l’âge de 51 ans Germaine de Staël, femme de Lettres française.
Dans ses romans (« Delphine », « Corinne ou l’Italie » et « De l’Allemagne »), ses héroïnes sont souvent victimes des contraintes sociales qui les empêchent d’être heureuses et épanouies. Ce droit au bonheur est d’ailleurs souvent confondu avec le droit à l’amour, thème cher à George Sand.
Le 21 avril 1816 naît Charlotte Brontë, considérée aujourd’hui comme l’une des romacières de langue anglaise les plus accomplies.
Institutrice dans un pensionnat puis préceptrice chez des particuliers, sa vie professionnelle est difficile à cause du besoin d’écrire qui la hante. Les écrivains qu’elle contacte la dissuadent de se lancer dans une carrière littéraire parce qu’elle est femme… Elle n’en a cure et écrit un premier roman « The Professor », refusé par l’éditeur qui accepte en revanche les ouvrages de ses soeurs. Charlotte ne se décourage pas et écrit « Jane Eyre ». Publié sous un pseudonyme masculin en 1847, il fait sensation. Malgré le scandale que suscite le caractère affirmé et déterminé de l’héroïne en pleine époque victorienne, le style en fait un immense best-seller.
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