Le 30 mars 1853 naît Vincent Van Gogh, peintre néerlandais.
Après avoir étudié le dessin à Anvers, il se met à l’aquarelle puis à l’huile.
Il rencontre à Paris Camille Pissarro, Henri de Toulouse-Lautrec et Paul Gauguin.
Il peint beaucoup et s’oriente progressivement vers l’impressionnisme. Dans le même temps hélas, l’absinthe et la fatigue aggravent son état mental.
En 1888, il s’installe à Arles et tombe littéralement amoureux de la lumière provençale qui éclairera dorénavant ses toiles.
Parcourant la région, il peint des paysages, des scènes de vie rurale et des portraits.
Parallèlement, il réalise son rêve d’une communauté d’artistes partageant fraternellement leurs expériences et leurs recherches et acquiert la « maison jaune » où Gauguin le rejoint. Mais les deux hommes s’entendent mal, et à la suite d’une dispute plus violente que les autres, Van Gogh se mutile l’oreille et va l’offrir à une prostituée.
Il décide lui-même d’entrer dans un asile près de Saint-Rémy-de-Provence. Suivi médicalement, il s’installe à Auvers-sur-Oise et peint plus de soixante-dix tableaux en deux mois.
Le 27 juillet 1890, il se tire un coup de revolver dans la poitrine et meurt deux jours plus tard, inconnu du grand public.
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Le 27 juillet 1890, Vincent Van Gogh, peintre néerlandais, se tire un coup de revolver dans la poitrine.
Il mourra deux jours plus tard, inconnu du grand public.
Souffrant d’une forte dépression nerveuse, Van Gogh s’était déjà mutilé l’oreille avant d’aller l’offrir à une prostituée, suite à une violente dispute avec son ami peintre Gauguin.
Durant les deux mois précédant son suicide, il avait produit pas moins de 70 toiles.
Le 30 mars 1853 naît Vincent Van Gogh, peintre néerlandais (ci-contre autoportrait).
Il étudie le dessin à Anvers, se met à l’aquarelle et commence la peinture à l’huile en 1882.
Dans le presbytère paternel, il travaille à l’extérieur et ses portraits de paysans aboutissent aux « Mangeurs de pommes de terre », œuvre majeure qui révèle sa sensibilité inquiète.
À Paris, il rencontre Camille Pissarro, Henri de Toulouse-Lautrec et Paul Gauguin.
Durant cette période très fertile, il oriente son art vers l’impressionnisme. Cependant, sa consommation d’absinthe et la fatigue aggravent son état mental déjà fragilisé.
En 1888, il s’installe à Arles : une nouvelle ère commence. Vincent découvre la lumière provençale. Il parcourt la campagne et peint des paysans et des scènes rurales. Mais son rêve est ailleurs…
Souhaitant créer une communauté d’artistes unissant fraternellement leurs expériences et leurs recherches, il acquiert la « Maison jaune ». Gauguin le rejoint. Mais les deux hommes s’entendent mal et à la suite d’une dispute plus violente que les autres, Van Gogh, en plein délire, se mutile l’oreille et court l’offrir à une prostituée…
Il décide lui-même d’entrer dans un asile près de Saint-Rémy-de-Provence.
Surveillé par un médecin, il s’installe ensuite à Auvers-sur-Oise. Il y séjournera pendant deux mois et durant ce court laps de temps, il produira plus de 70 toiles !
En 1890, il se tire une balle de revolver dans la poitrine et meurt deux jours plus tard, inconnu du grand public !…
Le 23 décembre 1888, Vincent Van Gogh, peintre néerlandais, se coupe à l’oreille.
Dépressif et probablement souffrant d’acouphènes, il se dispute avec son ami Gauguin et tente de le blesser.
Gauguin s’enfuit et Van Gogh retourne le rasoir contre lui-même. A moins que Gauguin ne l’ait blessé avant de s’enfuir et que l’histoire de la mutilation n’ait été inventée que pour innocenter Gauguin…
Une fois rétabli, Van Gogh peint son autoportrait, la tête enrubannée.
Cette nouvelle crise de folie marque la fin de l’amitié et de la collaboration des deux peintres installés dans un atelier à Arles et quelques semaines plus tard, Vincent Van Gogh sera interné.
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