L’écrivain et philosophe italien Umberto Eco, auteur du célèbre roman Le Nom de la rose, est mort aujourd’hui 20 février 2016 à de 84 ans, des suites d’un cancer dont il souffrait depuis de nombreuses années.
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L’écrivain et philosophe italien Umberto Eco, auteur du célèbre roman Le Nom de la rose, est mort aujourd’hui 20 février 2016 à de 84 ans, des suites d’un cancer dont il souffrait depuis de nombreuses années.
Monsieur le président de la région Alsace, Lorraine, Champagne Ardenne,
ACAL ! Vous n’allez pas faire ça !
Dans les récits bibliques, il a été donné à l’Homme le pouvoir de nommer les êtres. Donner un nom n’est pas neutre et s’apparente au domaine du sacré ou de l’intime, selon les convictions de chacun. ACAL ! Quel décalage ! Le premier ou le dernier imbécile venu aurait abouti à cette solution minimale dans l’embarras où il se serait trouvé au niveau de l’esprit pour en proposer une autre. Comment envisager, alors que le monde des élus déclare à qui veut l’entendre vouloir faire de la politique autrement, qu’il soit possible de retomber aussitôt dans des fonctionnements bureaucratiques sans ambition, sans imagination et sans audace? Ca commencerait bien mal !
J’ai entendu lors d’une émission radiophonique une auditrice proposer « Porte de France ». Et une telle appellation correspondrait bien à la réalité historique de cette nouvelle région. Une marche pour la poussée de l’Est vers l’Ouest. C’est un fait et toute sa terre en porte les marques comme ses hommes. Je demande un peu d’intelligence et de respect pour cette histoire. Il n’y aura probablement pas à faire d’effort, du moins je l’espère, pour ne pas nous trouver un anglicisme. J’en demande un peu pour que le nom de notre région « ait de la gueule », et nous ressemble dans notre histoire actualisée. Dans le même esprit en lien avec l’histoire, j’ai également entendu circuler le nom « pays des quatre frontières » qui pourrait à mon sens être encore raccourci en « pays des frontières ». Car aucune autre région n’en possède autant et n’a jamais été autant « forcée » de ce fait. C’est un trait caractéristique. Serait-ce une honte d’être une terre d’invasions ? Un autre regard pourrait y voir plutôt une terre d’attraction !
J’espère par ailleurs que l’appellation « Lorraine airport » pour l’aéroport de l’ex région lorraine ne verra pas le jour. A quand ACAL Airport ? Ce serait alors difficile de tomber plus bas ! Quant au nom des habitants…Imaginez : « Acaliens ! » Il n’y a qu’une petite lettre à changer pour rejoindre une faune microscopique peu engageante. Alors qu’avec le pays des frontières, nous nous retrouverions chez les « frontaliers ». C’est un mot bien français et tout le monde comprend. Marche de France nous aurait fait rejoindre les « marcheurs ». Encore un mot français, et dynamique !
Et puis le poète ne peut s’empêcher d’être troublé par une consonance peu heureuse. ACAL n’est pas un nom, un sigle sans doute, un de plus, sans âme et sans avenir linguistique. Sur le rythme de deux syllabes, il ne trouve aucune rime intéressante, bien au contraire ! Le poète tombe facilement et malheureusement dans ce registre sur bocal, chacal et fécal.
Enfin, si la citation « errare humanum est » demeure bien connue dans sa première proposition, on oublie malheureusement - lapsus ?- la seconde qui peut se comprendre sans être latiniste : « diabolicum persevere ». Ici, l’exemple de la région PACA est navrant. Ce sigle ne sent ni la lavande ni la montagne, ni la « mare nostrum ». Ah ! « Ile de France ! », et « Champagne Ardenne donc ! » « Pays de Loire ! » A part PACA, oui, le nom de nos régions sentait bon la France ! Ca avait « de la gueule ! ».
Alors, ces « gens de l’Est » qui ont enrichi la nation à divers titres, ne méritent-ils pas plus qu’un sigle qui n’est pas bien plus éloquent qu’un numéro ?
Je vous prie d’agréer, Monsieur le président, l’expression de ma haute considération.
Gérard DALSTEIN
Ancien chef de service de lEtat
Membre de la société des poètes et artistes de France
Officier dans l’ordre de palmes académiques
Le 1er octobre 1830, le général Clauzel crée le corps des zouaves formé de deux bataillons. En 1831, deux escadrons de zouaves à cheval intègrent les chasseurs d’Afrique.
Les zouaves sont un type d’unité d’infanterie, qui a existé dans peu d’armées : Empire ottoman, France, États pontificaux, États-Unis, durant une courte période (1830-1962). Leur nom vient de la confédération tribale kabyle des Zouaouas.
En 1860, à la demande du pape Pie IX, sont créés les zouaves pontificaux.
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