Le 31 août 1888 a lieu le premier crime de Jack l’Eventreur.
Il s’agit de Mary Ann Nichols, retrouvée égorgée et éviscérée dans une cour d’immeuble.
Le meurtrier, surnommé Jack the Ripper, assassine ainsi cinq femmes prostituées, issues de milieux pauvres du quartier londonien de Whitechapel.
Le mystère qui entoure l’identité et les mobiles du ou des tueurs a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré plusieurs auteurs et cinéastes, car le coupable n’a jamais été découvert.
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Le 27 avril 1908 commencent les 4e Jeux Olympiques à Londres, initialement prévus à Rome.
Un total de 2056 athlètes venant de 22 pays participent à cet événement sportif.
Le point fort de ces jeux fut la dramatique arrivée du marathon. Après les 42 km de course, le premier concurrent à entrer dans le stade est l’Italien Pietri. Après s’être effondré sur la piste à cinq reprises, il est disqualifié car porté par des officiels jusqu’à la ligne d’arrivée.
La reine Alexandra, épouse du roi d’Angleterre Edouard VII, lui remet néanmoins une coupe pour le récompenser de son courage.
Le 16 mai 1931, l’arrivée de l’autobus sonne le glas pour le trolley-bus de Londres.
Il roulait sur pneumatiques comme l’autobus mais il était propulsé par un moteur électrique comme le tramway.
Les pannes fréquentes et le fait de ne pouvoir sortir de leur corridor occasionnaient toutes sortes de problèmes à la circulation automobile de la capitale britannique.
Le 28 janvier 1807, pour la première fois une rue est éclairée au gaz.
Il s’agit de Pall Mall à Londres.
En 1823, près de 40 000 lampes éclairent la capitale britannique.
Le 21 juin 1886 commence la construction de Tower Bridge.
Pont basculant sur la Tamise à Southwark, près de la Tour de Londres dont il tire son nom, il est alors le plus grand et le plus sophistiqué des ponts basculants.
Célèbre dans le monde entier, il est composé de deux grandes tours, d’un tablier s’ouvrant au passage des navires les plus hauts et d’une passerelle au sommet permettant aux piétons de traverser la rivière même quand le tablier est levé.
Plus de quatre cents ouvriers de cinq grandes entreprises construisent ce pont qui ne sera terminé que huit ans plus tard.
Le 18 juin 1940 Le Général de Gaulle lance son appel à la résistance depuis Londres, sur les ondes de la BBC.
La date est imposée par les Anglais pour rappeler la défaite de Napoléon à Waterloo.
Dans cet appel historique, Charles de Gaulle prédit la mondialisation du conflit et demande aux Français de ne pas capituler face à l’Allemagne nazie. Ce discours est très peu entendu au moment de sa diffusion sur les ondes, mais il est publié dans la presse française dès le lendemain et il est diffusé par les radios étrangères. Il est considéré comme le discours fondateur de la Résistance française dont il demeure le symbole.
Le 10 janvier 1863, le premier métro au monde s’ouvre à Londres.
Cette première ligne, longue de 6 km, relie Famington Street à Bishops Road.
Ce métro fonctionne à la vapeur et malgré les problèmes d’aération, c’est un succès puisque neuf millions de passagers l’emprunteront dès la première année de fonctionnement.
Le 9 septembre 1666, le grand incendie qui a embrasé Londres pendant sept jours est enfin éteint.
Le bilan de la catastrophe est considérable : la ville est détruite à plus de 80%. Outre des dizaines de milliers de maisons et une centaine d’églises et chapelles, la Cathédrale Saint Paul a été réduite en cendres.
Il faudra une dizaine d’années pour reconstruire la capitale britannique. De nombreux habitants choisissent de s’installer dans des faubourgs, en dehors du centre.
Le chaume et le bois sont désormais des matériaux de construction bannis et remplacés par la brique, la pierre et la tuile.
Ce grand incendie est également à l’origine de l’apparition, dès 1680, des premières compagnies d’assurance.
Kit Queen, psychiatre, travaille à Londres pour la police. Lorsqu’elle est appelée pour donner un avis sur le profil psychologique de Michael Doll, un marginal soupçonné de multiples petits délits, elle est violemment agressée par celui-ci. Après un séjour à l’hôpital et marquée à vie par une balafre qui court de sa tempe à sa mâchoire inférieure, elle retrouve son métier mais son mari l’a quittée. C’est alors qu’une amie d’enfance arrive dans sa vie. Julie n’a jamais accepté de vivre une existence conventionnelle ; elle a choisi l’errance et l’avanture à travers le globe. Kit l’accueille et la laisse s’installer chez elle.
Kit est appelée par la police dans une affaire de meurtre. Une jeune SDF a été assassinée près d’un canal ; Michaël Doll est suspecté. Kit accepte de le rencontrer et, de nouveau, donne un avis contraire à celui des enquêteurs.
Un deuxième meurtre est commis. Le cadavre a été trouvé au même endroit, au bord d’un canal. Mais le profil de la victime est complètement différent puisqu’il s’agit d’une jeune femme issue de la riche bourgeoisie londonnienne, épouse et mère d’une petite fille de cinq ans.
Alors que la police soupçonne de nouveau Michaël Doll, Kit est persuadée de l’innocence du garçon, mais convaincue d’un lien entre les deux meurtres. Contre l’avis de la police qui veut clore les deux affaires et incarcérer Michaël Doll, elle se rend dans un foyer d’accueil pour jeunes délinquants, dirigé par Will Pavic. L’homme est d’un abord difficile et Kit se heurte à son manque d’enthousiasme et de coopération. Lorsqu’elle apprend qu’il est un ancien homme d’affaires de la City qui a tout plaqué du jour au lendemain pour ouvrir ce centre dans un quartier mal famé de la capitale, la curiosité de la psychiatre est piquée au vif. Sans parler de Michël Doll qui, après l’avoir méchamment agressée, a jeté son dévolu sur la jeune femme, persuadé qu’elle seule peut le comprendre. Heureusement, il y a Julie qui apporte beaucoup de fantaisie et de légèreté dans l’existence de Kit qui va remuer ciel et terre pour apporter la preuve de l’innocence de Doll.
Un thriller très lent à démarrer. Contrairement aux autres romans des mêmes auteurs (Nicci French sont deux), il faut attendre les cinquantes dernières pages pour être enfin tenu en haleine. Et la fin surprend le lecteur. Malgré tout pour moi pas un grand roman et surtout pas le meilleur de Nicci French !
Le 5 juillet 1865, William Booth, prédicateur évangélique britannique, crée l’Armée du Salut.
Avec son épouse Catherine, ils mettent sur pied une mission chrétienne à Londres, dans l’un des quartiers les plus pauvres et les plus dangereux, pour aider les indigents et répandre la parole divine. Booth rentre souvent en sang et dépouillé, mais il n’abandonne pas son projet et rassemble de plus en plus de gens qui viennent à la mission.
En 1878, la mission prend son nom actuel, l’Armée du Salut. Booth donne à ses « soldats » des uniformes et des instruments de musique et les envoie défiler dans les rues pour convertir leurs concitoyens. Ils portent une bannière rouge, bleue et or dont le symbole est formé d’un soleil et des mots « Sang et feu ». Le sang est celui du Christ et le feu celui du Saint-Esprit. Ils organisent des réunions de prière en plein air, avec de la musique et des chants, ce qui plaît à de nombreuses personnes qui viennent bientôt par milliers y assister.
L’Armée du Salut est un mouvement international et fait partie de l’ensemble des Eglises chrétiennes.
Le 30 juin 1894 a lieu à Londres l’ouverture de Tower Bridge, pont basculant sur la Tamise à Southwark, près de la Tour de Londres dont il tire son nom.
Au moment de sa construction, c’était le plus grand et le plus sophistiqué des ponts basculants au monde.
Célèbre dans le monde entier grâce à son architecture très particulière, il est composé de deux grandes tours, d’une suspension rigide, d’un tablier s’ouvrant au passage des navires les plus hauts et d’une passerelle au sommet.
Le 31 mai 1859, Big Ben donne l’heure.
En effet, la célèbre horloge de la Tour Saint-Stephen de la Maison du Parlement près de Westminster à Londres entre en service ce jour-là.
Composée de quatre cadrans de sept mètres de diamètre et d’une cloche pesant 13,5 tonnes, elle est ainsi baptisée en hommage à Benjamin Hall, premier commissaire des travaux publics, de forte corpulence.
Chaque année, elle est réglée en posant une pièce d’un penny sur le mécanisme si elle prend de l’avance et en en enlevant une si elle retarde.
Roman d’Ysabelle LACAMP
Sirikit est une jeune Thaie issue d’une famille de la haute bourgeoisie de Bangkok. Elle a grandi entre ses deux frères, élevés tous trois par une nounou. Face à un père absent, préoccupé par son travail, et une mère absente, obnubilée par ses réceptions mondaines, l’adolescente vit mal une existence aisée et oisive.
Lorsque sa grand-mère lui révèle que son père n’est pas son père, qu’elle est le fruit des amours adultérines de sa mère avec un Blanc, la vie de Sirikit bascule. Elle devient anorexique et commence à fréquenter les endroits louches où traînent les GI en base arrière avant de retourner au front de cette guerre du Vietnam qui s’éternise.
A bout d’arguments, la famille de Sirikit décide de l’envoyer en pension à Genève. Après avoir obtenu son bac, elle reçoit la visite de sa tante qui lui annonce son proche retour en Thaïlande et son mariage imminent avec un jeune homme de bonne famille choisi par ses parents. Elle refuse et appelle au secours Lord Brackett, un diplomate qu’elle a longtemps côtoyé en Thaïlande. Le vieux monsieur retraité est de retour chez lui, à Londres. Il accepte de s’occuper de la jeune fille et lui trouve une pension chez une vieille landlady.
Sirikit doit cohabiter avec un Français homosexuel excentrique, un terroriste irlandais, deux Chiliennes, une Australienne. Grâce au Français, elle fait connaissance de toute une faune d’artistes plus ou moins accros à la drogue. La jeune Thaïe se frotte à la vie et, parallèlement, se met à la recherche de son géniteur. Plus exactement, elle charge Lord Brackett de retrouver l’auteur de ses jours.
Un livre qui a assez mal vieilli. Mais un livre intéressant pour l’ambiance du Londres des années ’70 avec ses contradictions, son monde cosmopolite, son côté conservateur, traditionnaliste, et son côté excentrique et un peu fou. J’y ai retrouvé le souvenir de ces soirées passées avec des copains et des copines de toutes nationalités, réunis tantôt autour d’un plat gigantesque de poulet au curry que chacun piochait à l’aide de bouchées de pain traditionnel pakistanais, tantôt autour d’un wok de canard laqué. L’alcool et le shit circulaient sans toutefois plonger les jeunes que nous étions dans la délinquance. C’était le temps de l’insouciance et du plein emploi !
Le 5 septembre 1735 naît Johann Christian Bach, onzième et dernier fils de Jean-Sébastien Bach.
Surnommé le Bach de Londres, il est comme ses frères très doué pour la musique. Il devient organiste de la cathédrale de Milan et compose 16 opéras durant son séjour italien. Il est engagé à Londres par la reine Charlotte d’Angleterre à partir de 1762.
Deux ans plus tard, il reçoit et conseille un petit prodige de huit ans, le jeune Mozart.
Gasquet et Benneteau sont en bronze samedi à Wimbledon. | AP/Mark Humphrey
Llodra-Tsonga se sont inclinés samedi en finale du double par deux manches à zéro face aux frères Bryan ; la médaille est donc en argent. | REUTERS/MIKE BLAKE
Avec 22 médailles – 8 en or, 6 en argent et 8 en bronze – la France se classe 5e.
Delphine Reau-Racinet, à droite, savoure sa médaille de bronze (AFP – MARWAN NAAMANI )
Elle offe la 21e médaille à l’équipe de France olympique, et la deuxième pour le tir, en décrochant le bronze dans l’épreuve de trap fémininin.
Florent Manaudou.© Christophe Simon / AFP
Florent Manaudou est devenu le premier champion olympique français de l’histoire sur 50 mètres libre, après une course fabuleuse et pleine de suspens jusqu’au bout. Il remporte la médaille d’or, huit ans après le sacre de sa soeur Laure. En 2004 à Athènes, Florent âgé de treize ans avait vu sa grande soeur de 17 ans obtenir la médaille d’or. Championne olympique au 400 m libre, elle avait fait un voeu : participer aux Jeux de 2012 avec son petit frère. Son souhait est réalisé et si elle a tout raté cette année, elle n’a pas caché sa joie aujourd’hui devant la victoire de son petit frère.
Avec 19 médailles – 8 en or, 5 en argent et 6 en bronze – la France a rétrogradé à la 5e place derrière la Grande-Bretagne.
Teddy Riner est le nouveau champion olympique des plus de 100 kg. © Emmanuel Dunand / AFP
Le Français était venu à Londres pour décrocher le fameux titre olympique de la catégorie reine du judo – les plus de 100 kg – et c’est chose faite !
Le duo Chardin-Mortelette a empoché la deuxième médaille de sa carrière, quatre ans après le bronze de Pékin. © Damien Meyer / AFP
Coralie Balmy congratulée par ses compatriotes. (Reuters)
Les nageuses tricolores Camille Muffat, Charlotte Bonnet, Ophélie Cyrielle-Etienne et Coralie Balmy ont décrochéle bronze au relais 4 x 200m nage libre et ont établi un nouveau record de France. Devant elles, les Australiennes et les Américaines ont gagné respectivement l’argent et l’or.
Avec un total de 13 médailles, la France est 4e, derrière la Corée du Sud qui n’a que 12 médailles mais 6 en or contre 5 pour la France.
Lucie Décosse a assumé son statut de favori. (Reuters)
Lucie Décosse a connu ce mercredi à Londres la consécration de sa carrière en devenant championne olympique de judo chez les -70 kg.
Camille Muffat (FABRICE COFFRINI – AFP)
Médaillée d’or sur 400m, la Française Camille Muffat a décroché l’argent sur 200m.
Autres héros tricolores, Yannick Agnel et ses trois coéquipiers obtiennent également une médaille d’argent sur le relais 4x200m derrière les Américains.
Avec 4 médailles d’or, 3 médailles d’argent et 4 médailles de bronze, la France occupe le 3e rang.
Gévrise Emane très émue (AFP – FRANCK FIFE)
Au judo, dans la catégorie des -63 kg, elle obtient le bronze.
Yannick Agnel savoure sa deuxième médaille d’or en 24h (AFP – CHRISTOPHE SIMON)
A tout juste 20 ans, Yannick Agnel devient champion olympique sur 200 m libre et offre à la France une nouvelle médaille d’or qui se classe désormais 3e au tableau des médailles.
En judo, Automne Pavia (-57kg) et Ugo Legrand (-73kg) ont obtenu chacun une médaille de bronze.
En revanche, à l’épée, Laura Flessel ne se qualifie pas pour les quarts de finale. Elle n’en reste pas moins une grande championne avec à son palmarès deux titres olympiques, deux titres mondiaux et un titre européen.
(Crédits : Reuters)
Avec le bronze obtenu en – 52 kg, Priscilla Gneto est devenue, à 20 ans et onze mois, la plus jeune médaillée olympique de l’histoire du judo féminin français.
Au terme de cette journée, la France occupe le 5e rang dans le classement avec quatre médailles.
(Crédits : Reuters)
Clément Lefert, Yannick Agnel, Amaury Leveaux et Fabien Gilot remportent le relais 4x100m nage libre, devant les Etats-Unis et la Russie, grâce à Yannick Agnel qui réalise lors du dernier relais une remontée extraordinaire sur son concurrent américain.
(Crédits : Reuters)
Sur le podium, Camille Muffat savoure sa médaille d’or. Huit ans après Laure manaudou, la Française devient championne olympique du 400m nage libre.
(Crédits : Reuters)
Pour ses premiers Jeux, Céline Goberville a décroché la médaille d’argent du pistolet à 10 m.
Dans le stade olympique de Strattford rempli de 80.000 spectateurs, un somptueux spectacle, que nous avons partiellement suivi à la télé, a officialisé la cérémonie d’ouverture des 27e Jeux Olympiques qui se dérouleront dans la capitale britannique jusqu’au 12 août prochain.
Après le show, place au sport et bonne chance aux athlètes français !
Le 15 juin 1944 commence la deuxième bataille d’Angleterre.
Jusqu’au 25 avril 1945, les Allemands larguent les fameuses bombes V. Deux cents bombes tombent sur Londres toutes les 24 heures.
Le 1er mai 1940, les 12e Jeux Olympiques, prévus à Helsinki du 20 juillet au 4 août 1940, sont annulés. La Finlande, après avoir annoncé, au début de la Seconde Guerre mondiale, le maintien des Jeux, y renonce finalement après avoir été attaquée par l’Union Soviétique. Les 13e Jeux, prévus à Londres en 1944, sont également annulés. Les jeux d’été reprennent à Londres en 1948 et Helsinki organise ceux de 1952.
Le 29 mars 1871, le Royal Albert Hall of Arts and Sciences est inauguré à Londres par la Reine Victoria. Ce haut lieu des arts est dédié à son époux, le Prince Albert. En 1941, le général de Gaulle y prononça un discours retransmis sur la BBC dans le cadre de la fameuse émission « Les Français parlent aux Français ».
A Londres, sept colocataires vivent dans une grande maison, cinq garçons et deux filles. La maison appartient à Miles, l’un des cinq jeunes hommes. Il y a donc Miles, Mick, Davy, Dario, Owen, Philippa et Astrid. Cette dernière est coursière. Sur son vélo, elle sillonne la capitale du matin au soir.
Un jour, de retour de sa longue journée sur sa bicyclette, à quelques mètres de son domicile, elle est percutée par une femme qui ouvre la portière de sa voiture sans regarder. Astrid fait un fabuleux vol plané et se relève, indemne hormis quelques éraflures et ecchymoses. Cela n’aurait dû donc être qu’un épisode sans importance de la vie quotidienne si, quelques jours plus tard, Peggy, la maladroite automobiliste, n’avait été retrouvée morte, sauvagement assassinée.
Un peu plus tard, dans un quartier huppé de Londres, une autre femme est tuée. Et c’est Astrid, venue récupérer chez elle un paquet à livrer, qui trouve le cadavre. Puis une troisième femme est retrouvée morte chez elle, Léah, la petite amie de Miles, le propriétaire de la maison. Astrid s’était disputée avec elle suite à son comportement avec les colocataires après l’annonce de Miles de sa décision de récupérer la maison pour lui seul et Léah.
Astrid est donc au cœur de ces trois meurtres. Peut-être même est-elle la meurtrière ? Ou alors un des six autres locataires ? Quelqu’un qui lui en veut au point de vouloir lui nuire ? Un ancien amant peut-être ? Miles l’a été… Ou Owen, son amant du moment ? Ou…
Un thriller psychologique, la spécialité du couple Nicci Gerrard et Sean French. Mais l’intrigue est un peu lente et la révélation du meurtrier aux deux tiers du roman gâche un peu le plaisir de l’attente du dénouement. Bref, sympa à lire mais rien de très haletant.
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