Le 8 juillet 1889 a lieu la première édition du prestigieux Wall Street Journal.
Créé par Charles Dow, Edward Jones et Charles Bergstresser, ce quotidien au tirage de 2,6 millions d’exemplaires quotidiens en 2005 a longtemps été le journal le plus diffusé aux Etats-Unis d’Amérique avant de passer récemment en seconde place après le USA Today.
Le Wall Street Journal traite de sujets financiers et économiques nationaux et internationaux.
Il a obtenu 29 prix Pulitzer.
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Le 16 avril 1912, le monde entier apprend la nouvelle du naufrage du Titanic.
Quelques privilégiés ont appris la catastrophe la veille par la TSF et le téléphone, mais ce n’est que le 16 avril au matin, avec la parution des journaux, que la population mondiale est informée.
Ce jour-là, les éditions de quotidiens battent des records de vente.
Le 20 février 1888 naît à Paris Georges Bernanos, écrivain français.
Après avoir obtenu le Prix Femina en 1929 pour son roman « La joie », il connaît une grande fécondité littéraire, notamment durant son séjour à Majorque entre 1934 et 1937. Il publie « Sous le soleil de Satan » en 1926 et « Le Journal d’un curé de campagne » pour lequel il obtient le Grand Prix du roman de l’Académie française en 1936.
Il décède à Neuilly en 1948.
Le 18 décembre 1944 paraît le premier numéro du journal quotidien français « Le Monde ».
Il n’est alors constitué que d’une seule feuille.
Voilà, j’ai terminé de lire mon premier numéro de Charlie-Hebdo.
Ne lisant jamais aucun journal ni magazine, je me suis trouvée un peu gauche avec ces seize feuilles en main. Pas commode à lire au lit et pas évident à emmener partout avec soi. Alors finalement, pendant cinq jours, sa place à été aux toilettes, punaisé à la porte en bois, sous le calendrier.
Je me suis trouvée aussi assez peu experte dans l’art de plier et déplier ce journal. J’essayais de me souvenir de mon grand-père lisant chaque jour son quotidien après le café, jusqu’à ce qu’il me demande de lui en faire la lecture, sa vue ayant trop baissé. J’avais à peine une dizaine d’années, il y a un bail…
Et puis j’ai lu, un peu à chaque passage dans ce qu’on appelle « le petit coin ». Comme j’aime beaucoup lire et que je lis plutôt beaucoup, mais toujours des romans – même chez le dentiste ou le coiffeur, j’emporte mon livre pour ne pas devoir piocher parmi les magazines mis à disposition – j’ai tout lu de ce premier numéro de Charlie-Hebdo, les textes et les dessins sur les seize pages.
J’ai été très émue par la plume de Patrick Pelloux, autant que par le bonhomme en larmes dans les bras du Président tandis que son copain Luz se marrait à ses côtés, rendu hilare malgré le chagrin par une fiente de pigeon ! J’ai aimé aussi la petite carte de Matthieu Madénian alors que le comique, à la TV, ne me fait pas toujours rire. J’ai apprécié certains dessins, particulièrement irrévérencieux !
Bref, il a fallu que douze personnes se fassent trouer la peau pour que je découvre ce journal que je ne connaissais que de nom, quand ses caricatures faisaient scandale ou que ses locaux partaient en fumée suite à un feu allumé par quelques fous agissant au nom de Dieu.
Ce numéro tant attendu est enfin arrivé dans ma boîte aux lettres. Je l’ai parcouru, réservant la lecture des articles pour plus tard. Il est quand même sacrément irrévérencieux !!! Mais aussi diablement drôle !!! Ce numéro exceptionnel, tiré à sept millions d’exemplaires, record historique pour un journal, sera distribué sur deux semaines.
Le plus cocasse dans l’affaire est que les terroristes, souhaitant faire disparaître le journal en supprimant son directeur et une partie de ses collaborateurs parmi les douze personnes assassinées le 7 janvier dernier, ont en réalité sauvé l’hebdomadaire, en tout cas pour quelque temps, alors que celui-ci, avec moins de 50.000 exemplaires vendus chaque semaine, était moribond…
Si tu es Charlie, achète le prochain numéro du journal, ou mieux, abonne-toi pour trois mois, six mois ou un an. Après, tu verras bien si tu renouvelles, en fonction de ta sensibilité à l’humour et à l’esprit du journal. Je pense qu’acheter Charlie Hebdo demain et les semaines suivantes n’est pas une déclaration de foi mais un acte citoyen.
Poprichtchine est un petit fonctionnaire russe, au service d’un général dans un ministère à Saint Petersbourg. Il passe ses journées à effectuer des tâches insignifiantes et répétitives, notamment tailler des plumes pour son supérieur… Son seul rayon de soleil dans son existence désespérément grise : Sophie, la fille du général qu’il aimerait séduire.
Dès les premières pages, on réalise que le « héros » a des problèmes… Très vite, le lecteur ressent un étrange malaise ; il se demande s’il a bien lu, bien compris les phrases empreintes d’une absurdité grandissante… Mais lorsque Poprichtchine déclare qu’il est le roi d’Espagne que tout le monde attend, on découvre enfin la réalité de la vraie vie du subalterne en proie à de véritables crises de délire.
Une nouvelle intéressante sur le thème de l’ennui et de la folie.
Le 25 juin 1947 paraît le journal d’Anne Frank.
Cette version originale en néerlandais est suivie d’une seconde publication en 1950 puis d’une version américaine en 1952. Le livre connaît un succès mondial toujours constant.
Anne, une jeune fille juive, née en Allemagne en 1929, est contrainte de fuir le nazisme avec sa famille. Ils se réfugient et se cachent à Amsterdam. En 1942, l’adolescente reçoit un beau cahier pour son anniversaire. Elle commence à écrire son journal intime. Le récit s’interrompt brutalement en août 1944, au moment où la famille d’Anne et d’autres réfugiés vivant dans leur cachette sont arrêtés et déportés. De la famille Frank, seul le père survivra à la déportation.
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