Le 26 novembre 1942 a lieu la première projection du film « Casablanca » dans une salle new-yorkaise.
Film américain de Michael Curtiz, il réunit deux grandes stars du cinéma : Ingrid Bergman et Humphrey Bogart.
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Le 13 novembre 1940 à lieu à New York la sortie du film « Fantasia ».
Film d’animation de Walt Disney, c’est le premier film dont le son est en stéréophonie.
Le 27 octobre 1955 sort « La Fureur de vivre », un film américain réalisé par Nicholas Ray avec James Dean dans le rôle principal.
Il dresse le portrait de la jeunesse des classes moyennes durant les années 1950. Film devenu culte, il consacre le mythe de James Dean comme éternel représentant de la jeunesse en crise.
Le 6 octobre 1960, le film « Spartacus » sort dans les salles new-yorkaises et le lendemain partout aux Etats-Unis.
Il faudra attendre septembre 1961 pour voir en France le long-métrage de Stanley Kubrick qui réunissait Kirk Douglas, Laurence Olivier, Peter Ustinov, Jean Simmons et Tony Curtis dans les rôles principaux.
Le film se passe en 70 avant J.-C. et retrace la rébellion des esclaves menée par le gladiateur Spartacus.
Le film sera récompensé par quatre oscars.
Le 5 septembre 1918 naît en Lorraine Rin Tin Tin, chien de race Berger Allemand.
Il tourne dans 26 films de la Warner Brothers aux côtés du jeune Rusty.
Il décède en 1932.
Un film de Radu Mihaileanu avec Derek Jacobi, Sophie Nélisse, Gemma Arterton, etc.
Dans le New York de nos jours, un vieux juif polonais immigré vit dans le souvenir de celle qu’il a aimée le plus au monde. C’était avant la guerre, dans un village de sa Pologne natale qu’il a quittée pour tenter de retrouver Alma, partie se réfugier aux Etats-Unis pour fuir les nazis.
Dans un autre quartier de la grande ville américaine, une adolescente prénommée Alma vit ses premiers émois amoureux.
Ces deux personnages centraux sont aussi éloignés l’un de l’autre que l’alpha de l’oméga. Et pourtant…
Un film épique aux nombreux flasbacks et porté par une musique qui embarque le spectateur dans le tourbillon des sentiments décrits et si bien incarnés par les acteurs. Derek Jacobi et Sophie Nélisse sont absolument épatants !
A voir absolument, mais pas avant novembre dans les salles.
Merci à France Bleu pour les deux places offertes pour découvrir ce film en avant-première à l’UGC de Ludres. Après la projection, débat avec le réalisateur Radu Mihaileanu animé par Jérôme Prod’homme.
Le 5 août 1962 décède Marilyn Monroe, actrice américaine.
Née à Los Angeles en 1926, Norma Jeane Baker veut devenir mannequin, mais elle est repérée par un réalisateur avec qui elle signe son premier contrat en 1946. Quatre ans plus tard, elle devient une star hollywoodienne. Elle apparaît notamment dans « Les hommes préfèrent les blondes », « Certains l’aiment chaud », « Les Désaxés » et obtient en 1960 le Golden Globe de la meilleure actrice dans une comédie.
Sex-symbol, Marilyn Monroe fait fantasmer les hommes du monde entier, mais sa vie personnelle est une vaste catastrophe. Son mariage en 1942 avec James Dougherty prend rapidement fin lorsque celui-ci s’engage dans la Marine. Celui avec Joe DiMaggio en 1954 est un tel échec qu’il ne durera que huit mois. Puis elle épouse en 1956 l’écrivain Arthur Miller qui n’aura de cesse de la détruire jusqu’à leur séparation en 1961.
Dès 1957, elle voit un psychiatre quasiment chaque jour avant de sombrer dans un alcoolisme débutant qui commence par épaissir sa silhouette… La prise excessive de barbituriques la plonge dans le coma en 1962.
DiMaggio, qui n’a jamais cessé de la voir, propose de l’épouser à nouveau ; la date du 8 août 1962 est arrêtée. Mais cela ne suffit pas à sortir l’actrice de sa dépression.
Elle est découverte morte, nue dans son lit, entourée de boîtes de barbituriques. Son décès est un mystère : suicide ou homicide ? La thèse du complot conjointement organisé par le FBI et la CIA dans le but d’accumuler des preuves contre les Kennedy n’est pas exclue…
Le 15 juin 1994 sort aux Etats-Unis « Le Roi Lion ».
Long métrage d’animation des studios Disney, le film ne met en scène que des animaux et ne fait référence à aucun conte connu.
C’est l’histoire du lionceau Simba, fils du roi de la jungle, qui devra se battre pour reconquérir son titre et son rang.
La bande originale est chantée par Elton John.
Le film obtiendra deux Oscars.
Le 14 mars 1956, le film « Rock around the clock » est projeté en première à Washington.
Il met en vedette le chanteur Bill Haley et The Platters ; le film sera projeté dans toutes les salles la semaine suivante.
Deux ans plus tôt, en avril 1954, Bill Haley, alors âgé de 29 ans, et son groupe « The Comets » avaient enregistré à New York la fameuse chanson titre du film qui révéla le rock n’roll au monde entier.
Le 24 janvier 1940 a lieu la sortie du film « Les raisins de la colère ».
Adaptation cinématographique du roman de l’écrivain américain John Steinbeck, ce film obtient deux Oscars : celui du meilleur réalisateur pour John Ford et celui du meilleur second rôle féminin pour Jane Darwell.
Le 1er décembre 1935 naît à New York Allen Stewart Königsberg, dit Woody Allen, réalisateur, scénariste, acteur et humoriste américain.
Il obtient de nombreuses récompenses cinématographiques, dont quatre Oscars.
Il réalise pratiquement un film par an depuis le début des années 70 qui ont marqué l’explosion de sa popularité.
Le 18 novembre 1959 a lieu la première mondiale du péplum « Ben-Hur ».
L’acteur américain Charlton Heston incarne Judas Ben-Hur, prince de Judée. Le film commence avec les retrouvailles de Ben-Hur et Messala, Romain et néanmoins ami d’enfance.
Messala est venu prendre la tête de la garnison de Jérusalem. Passée la première joie de cette rencontre, les deux jeunes gens se rendent vite compte que leur amitié aura du mal à surmonter leur différence de caractère et de conception des choses.
Lors d’une parade des occupants romains, une pierre tombe accidentellement du balcon de la maison familiale de Ben-Hur et manque tuer le gouverneur. Alors que Messala sait son ami innocent, il le trahit et l’envoie aux galères tandis qu’il fait emprisonner sa mère et sa soeur. Ben-Hur jure de reconquérir sa liberté et prépare sa vengeance.
Un très beau film d’action avec une course de chars très spectaculaire.
Le 16 novembre 1977, le cinéaste américain Steven Spielberg présente son film « Rencontre du troisième type ».
Partant de l’hypothèse d’une présence extra-terrestre sur la planète Terre suite à de nombreux événements étranges, Spielberg présente une nouvelle facette de l’homme face à une éventuelle invasion.
Produit par Columbia Pictures, le film sort en avant-première le 15 novembre 1977 à New York et le lendemain dans tous les autres états des USA avant de s’exporter dans le monde entier.
Le 26 juin 1925 sort le film de Charlie Chaplin « La Ruée vers l’or ».
C’est le 3e film de l’acteur et réalisateur britannique après « Le Kid » en 1921 et « L’opinion publique » en 1923.
Le 27 mai 1933, Walt Disney sort « Les trois petits cochons », premier film d’animation en couleur.
La chanson du film « Qui a peur du grand méchant loup… » est en tête du palmarès.
Un film d’Angelina Jolie avec Jack O’ connell, Garrett Hedlund, etc.
Les enfants de son âge attaquent souvent Louis Zamperini sur ses origines italiennes. Son comportement rebelle désespère ses parents. Jusqu’au jour où le talent d’athlète du garçon est découvert. Son frère l’entraîne et lui insuffle la confiance en soi dont semble dépourvu le jeune garçon. Louis bat tous les records à la course à pied et se trouve propulsé aux Jeux Olympiques de Berlin pour défendre les couleurs des Etats-Unis d’Amérique. Il ne remporte pas la course, mais sa performance lors du dernier tour est exceptionnelle et prometteuse pour l’avenir. De retour aux USA, il poursuit son entraînement pour les prochaines Olympiades qui doivent avoir lieu à Tokyo.
Louis ira bien au Japon mais en tant que prisonnier… En effet, la guerre a éclaté et son avion de combat s’écrase en mer en 1942. Sur les huit membres d’équipage, seuls trois rescapés se retrouvent dans un canot de sauvetage. Ils survivent aux tirs d’un avion ennemi, aux requins, à la fin, à la soif, aux tempêtes. Quarante-sept jours plus tard, ils ne sont plus que deux quand ils sont secourus par un navire de la marine japonaise.
Envoyés dans un camp de prisonniers de guerre, les deux amis vont connaître des conditions de détention bien plus difficiles encore que ce qu’ils viennent de vivre.
Mais Louis a un mental de champion que va tenter d’anéantir l’officier japonais en charge du camp.
Un film très dur, avec des scènes particulièrement violentes, mais une histoire basée sur la biographie du véritable Zamperini, héros de guerre et sportif de haut niveau. A voir.
Un film de Jean-Paul ROUVE avec Annie Cordy, Michel Blanc, Mathieu Spinosi, Chantal Lauby, etc.
Romain rêve secrètement de devenir écrivain. En attendant, il travaille comme veilleur de nuit dans un hôtel. Son père, éternel râleur, vit très mal son départ à la retraite sans vouloir se l’avouer. Sa mère n’est plus heureuse avec cet homme dont elle tente de réveiller la flamme amoureuse comme elle peut. Son colocataire ne pense qu’à mettre une femme dans son lit, n’importe quelle femme et par n’importe quel moyen.
Arrivé en retard à l’enterrement de son grand-père, Romain ramène sa grand-mère chez elle. Tous deux partagent une belle complicité. La mamie est pétillante, pleine de vie et de projets. Mais à la suite d’une chute, elle se retrouve placée contre son gré dans une maison de retraite, certes « très bien » comme l’affirme son fils mais dans laquelle ne vivent quand même que des vieux ! Ce qu’elle ne supporte pas. Au point qu’un jour, elle fugue. Son petit-fils part à sa recherche, du côté d’Etretat…
Un film très émouvant sur les rapports humains en général et la problématique de la fin de vie. Des acteurs épatants, en particulier Annie Cordy et le jeune Spinosi, fils et petit-fils idéal !
Je le savais déjà et ce film le confirme : il ne fait pas bon vieillir…
Un film d’Eric Lartigau avec Louane Emera, Karin Viard, François Damiens, Eric Elmosnino, etc.
Dans la famille Bélier, le père, la mère et le fils sont sourds et muets. Seule Paula, 16 ans, entend et parle. Du coup, elle est devenue au fil des ans l’interprète indispensable pour aider ses parents à gérer le quotidien. Exploitant agricole et éleveur, son père a besoin d’elle pour négocier avec le banquier comme avec les céréaliers. Paula doit même faire l’intermédiaire chez le gynécologue de sa mère ! Malgré la lourde charge qui pèse sur ses épaules, la jeune fille est heureuse et se trouve confrontée aux mêmes problèmes que tous les adolescents de son âge : la puberté, l’amour, l’autorité parentale, les profs… Justement, c’est son prof de musique, très atypique dans sa façon de traiter ses élèves, qui va changer le cours de sa vie. En effet, il découvre chez Paula un incroyable don pour le chant. Il va la pousser à préparer le concours de Radio France. Paula hésite. Si elle réussit, elle devra abandonner sa famille pour aller à Paris…
Un film très drôle sur le handicap avec une Louane Emera époustouflante et une Karin Viard épatante.
A voir.
Un film de Marie-Castille Mention Schaar avec Ariane Ascaride, Ahmed Dramé, Noémie Merlant, Geneviève Mnich, Stéphane Bak, etc.
Mme Gueguen est professeur d’histoire-géographie au lycée Léon Blum de Créteil. Elle a une classe particulièrement difficile, la seconde la plus faible et la plus dissipée de l’établissement. Les menaces et les insultes sont le lot quotidien de ces élèves de races et de confessions différentes.
Contre l’avis du proviseur qui estime qu’elle perd son temps et son énergie avec ces jeunes gens voués à l’échec, Mme Gueguen décide d’inscrire cette classe au concours national de la résistance et de la déportation. La première réaction est le rejet ; elle annonce quand même le sujet : « Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi. »
Contre toute attente, les élèves vont se passionner et se surpasser pour fournir un travail collectif malgré leur vécu, leurs différences, leurs rancoeurs, leur manque de confiance en soi.
Un film fort sur la réalité des lycées de banlieue où les enseignants se rendent au boulot chaque matin la peur au ventre, mais aussi sur la tolérance et la preuve qu’aucun enfant, aussi insupportable puisse-t-il être, n’est jamais définitivement perdu.
A voir.
Le 30 octobre 1932 naît Louis Malle, cinéaste français.
Il réalise son premier long métrage à 25 ans: « Ascenseur pour l’échafaud ».
Au cours de sa carrière, il alterne films de fiction et documentaires dont le plus connu est « Le Monde du Silence » en 1955 sur la faune sous-marine en collaboration avec Jacques-Yves Cousteau.
En 1988, il obtient trois Césars pour son film « Au revoir les enfants » : meilleur réalisateur, meilleur film et meilleur scénario orignal.
Il décède en 1995.
Le 17 septembre 1935 naît Ken Kesey, écrivain américain.
Outre une pièce de théâtre et d’autres ouvrages dont deux livres pour enfants, il est l’auteur du roman « Vol au-dessus d’un nid de coucou », immense succès porté à l’écran en 1975 par Milos Forman et interprété par Jack Nicholson.
Il décède en 2001.
Film de Cécile TELEMAN avec Julie Depardieu, Emmanuelle Béart, Patrick Bruel, Alice Isaaz, etc.
Joséphine, la quarantaine, historienne spécialisée dans le XIIe siècle, vit une vie difficile aux côtés de son mari chômeur et de ses deux filles, Hortense et Zoé. Un jour où Antoine, refusant tous les boulots qui se présentent sous prétexte qu’il fut jadis cadre supérieur, Joséphine le met dehors et apprend le soir même par sa fille aînée qu’il est parti rejoindre sa maîtresse, une jeune femme qui fait des manucures dans un salon de coiffure du quartier.
Sa sœur Iris, épouse du brillant avocat Philippe Dupin, mène une vie ennuyeuse et futile, dépensant sans vergogne l’argent que gagne son mari. Elle évolue dans un univers où la jalousie, la mesquinerie et la méchanceté règnent en maîtres.
Un soir, dans un dîner mondain, Iris se vante d’écrire un roman : l’histoire d’une marchande vivant au Moyen Âge, cette époque honnie par elle et sa mère. Si Philippe se montre dubitatif, l’éditeur à table avec eux bondit sur l’occasion et ne lâche plus Iris. Celle-ci, incapable d’aligner trois mots, se tourne alors vers sa sœur.
Joséphine, couverte de dettes suite à un emprunt faramineux d’Antoine qui s’est mis en tête d’aller élever des crocodiles en Afrique du Sud en compagnie de sa maîtresse, accepte. En plus des traductions qu’elle effectue pour le cabinet d’avocats dont Philippe fait partie, elle écrit nuit et jour pour fournir à sa sœur les vingt premières pages réclamées par son éditeur. Celui-ci est enchanté et donne à Iris une confortable avance. Les deux sœurs concluent un pacte : Joséphine écrit le roman, Iris le signe et reverse l’intégralité des droits d’auteur à Joséphine.
Hortense, dont le rêve est de devenir aussi riche que sa tante, découvre le stratagème…
Un film très agréable, très fidèle au roman de Katherine Pancol. Si Julie Depardieu est un peu en décalage par rapport à son personnage, la jeune Alice Isaaz est parfaite dans le rôle de l’odieuse Hortense !
Le 22 mars 1895, les frères Lumière présentent leur premier film.
Louis et Auguste Lumière, qui viennent de déposer le brevet du cinématographe, présentent leur invention devant des scientifiques.
Ils organisent la projection à Paris du film intitulé « La sortie des usines Lumières », tourné à Lyon le 19 mars, premier film de l’histoire du cinéma.
Un film de Jalil LESPERT avec Pierre Niney, Guillaume Gallienne, Charlotte Le Bon, Laura Smet, etc.
En 1957, Yves Henri Donat Mathieu-Saint-Laurent devient le nouveau directeur de la maison de haute couture fondée par Christian Dior qui vient de décéder. Il n’a pourtant que 21 ans. Mais il a un talent fou. Il vit à Paris, mais s’inquiète beaucoup pour sa famille restée à Oran, sa ville natale.
Lors de son premier défilé, il remporte un triomphe. Malgré sa timidité ou peut-être à cause d’elle, il séduit tout le monde, à commencer par Pierre Bergé, homme d’affaires dans l’industrie du luxe, de six ans son aîné.
Les deux hommes deviennent amants et forment un couple reconnu à une époque où le mariage pour tous n’était qu’un lointain mirage.
Yves Saint Laurent cependant est un garçon en proie à des angoisses. Sans parler de sa peur de devoir aller se battre en Algérie, contre ses frères de coeur. Le jour de son incorporation, il tombe en dépression.
Heureusement, Pierre Bergé veille. Durant toute leur vie commune plus que mouvementée, il sera l’ange gardien de son compagnon. Il a eu bien du mérite mais surtout tellement d’amour pour supporter les frasques et les infidélités d’Yves Saint Laurent qui, sans le soutien indéfectible de Pierre Bergé, ne serait jamais devenu YSL.
Un film très touchant avec deux acteurs principaux époustouflants. Pierre Bergé a dû avoir un coup au coeur en découvrant Pierre Niney dans le rôle de son compagnon ! Car la ressemblance, accentuée sans doute par un savant maquillage, est assez troublante.
En outre, le film est servi par une bonne musique, notamment plusieurs extraits d’opéras. A voir.
Film de Valérie Lemercier avec Valérie Lemercier, Gilles Lellouche, Marie Fois, Samatin Pendev, Chantal Ladesou, etc.
Aleksandra, responsable du magazine ELLE, et Cyrille, directeur commercial, forment un couple de Parisiens très riches et très chanceux. Elle a un amant, il a une maîtresse, mais ils s’aiment. Ils ont tout pour être heureux, tout sauf un enfant. Alors ils ont décidé d’adopter. Ils ont choisi Alekseï, un petit garçon russe de sept ans. Mais à l’aéroport, où tous les adoptants doivent réceptionner les enfants qui leur ont été attribués, rien ne se passe comme prévu. Cyrille et Aleksandra dénotent, ils ne se sentent pas du tout en harmonie avec les autres parents et prennent la directrice de l’association en grippe. Alors qu’elle les menace de donner Alekseï à un autre couple dont l’enfant n’a pu venir en France, Aleksandra lui fait comprendre que l’association ne pourra plus compter avec leur générosité… Pour se venger, la directrice intervertit les passeports de deux garçons et donne au couple de Parisiens un autre enfant que le leur. Evidemment, ils s’en doutent et Alekseï ne fait rien pour les amadouer… Il n’est pas le bel enfant blond qui devait illuminer leur vie et la nounou qu’ils ont engagée après un casting rondement mené par la directrice du magazine n’est pas non plus la gouvernante idéale et surtout, elle ne parle pas un mot de russe, contrairement à ses affirmations !
Entre le gamin qui casse tout et la nounou qui entre en transe en humant les sous-vêtements de son mari, Aleksandra déprime ! Elle va prendre une décision radicale…
Une comédie pas très fine mais quand même drôle, même si je peux comprendre qu’elle hérisse le poil de parents concernés par l’adoption par ces clichés et ces a priori. Mais si le film de Valérie Lemercier est de dénoncer ces couples en mal d’enfants, qui font leur marché sur catalogue et sont déçus par la « marchandise » à son arrivée, alors le film est une réussite !
Ce ne sera certainement pas le film de l’année, mais certaines scènes sont franchement drôles et la trogne du jeune Samatin Pendev vaut le détour !
Le 14 décembre 1939 a lieu la première du film « Autant en emporte le vent ».
Adapté du best seller de Margaret Mitchell publié en 1936 sous le titre original « Gone with the wind », le film de Victor Fleming réunit la pétulante Vivien Leigh et l’irrésistible Clark Gable, ainsi que Leslie Howard et Olivia de Havilland.
Avec la guerre de sécession en toile de fond, ce film d’amour devient très vite un succès mondial.
Le 4 septembre 1888, la marque Kodak est brevetée.
En effet, George Eastman reçoit un brevet pour sa caméra qui utilise des films en rouleaux.
Le 30 août 1925, Charlie Chaplin présente à Hollywood son film « La Ruée vers l’or ».
Le film raconte l’histoire des chercheurs d’or dans le Klondike, au nord-ouest du Canada, en 1898. La file des chercheurs d’or s’étire au creux des montagnes enneigées.
Un film de Marion Vernoux avec Fanny Ardant, Laurent Lafitte, Patrick Chesnais, etc.
Caroline, dentiste et épouse de dentiste, est à la retraite. Elle a elle-même provoqué ce retrait de la vie professionnelle après avoir perdu sa meilleure amie. Le remords est grand de n’avoir pas été présente à ses côtés pour lui manifester son amitié durant cette phase ultime de la vie. Une absence motivée par quelques détartrages en plus !
Ses deux filles lui ont offert un forfait découverte aux « Beaux jours », un centre d’activités et de loisirs pour retraités. Caroline s’y rend, sans conviction. Le premier contact avec l’animatrice de théâtre est un peu difficile ; Caroline n’accepte pas d’être traitée comme une enfant. Mais le besoin d’une formation en informatique la pousse à retourner aux Beaux Jours. Le formateur, Julien, est un séduisant garçon qui multiplie les conquêtes. Caroline se laisse séduire par le jeune homme qui a l’âge de ses filles. Une relation ambiguë s’installe.
Mais que cherche Caroline ? Une aventure extra conjugale ? Une manière agréable de tuer le temps ? L’espoir de rattraper le temps perdu ? L’illusion de la jeunesse ? Le plaisir de transgresser les règles et de jouer avec le feu ? Une façon de réveiller son couple ?
Un film un peu banal s’il n’y avait la sublime Fanny Ardant. Si elle était mon dentiste, je n’irais pas à mes rendez-vous la peur au ventre ! Patrick Chesnais est également très bon.
Le 12 juin 1963 sort « Cléopâtre », film américain avec Elisabeth Taylor et Richard Burton, qui raconte les amours tumultueuses de la reine d’Egypte et du général romain Marc Antoine.
Malgré son succès, ce peplum ayant coûté plus de 44 millions de dollars sera en partie responsable de la faillite des studios de la Fox.
Un film de Asghar Farhadi avec Bérénice Bejo, Tahar Rahim, Babak Karimi, Ali Mosaffa, Pauline Burlet, etc.
Ahmad, Iranien, et Marie, Parisienne, sont séparés depuis quatre ans. Ahmad est retourné dans son pays. À la demande de son épouse, il est revenu en France pour procéder aux formalités de leur divorce.
Chez Marie, qui n’a pas voulu réserver une chambre d’hôtel dans la crainte qu’il ne vienne pas, il retrouve les deux filles issues du premier mariage de Marie et Fouad, le petit garçon de son actuel compagnon dont il découvre l’existence, même si celui-ci a décidé de déserter la maison, le temps que le divorce soit prononcé et que Ahmad soit reparti en Iran. Alors qu’il décide d’aller à l’hôtel pour ne pas gêner, Ahmad réalise que Marie et Lucie ne parviennent plus à communiquer. La jeune fille, pas encore majeure, ne supporte pas le compagnon de sa mère ; Fouad de son côté accepte mal sa nouvelle maison et sa maman, plongée dans le coma après une tentative de suicide, lui manque. Marie, au début d’une nouvelle grossesse, semble débordée et Ahmad accepte de discuter avec Lucie pour essayer de la raisonner. Elle finit par lui confier un terrible secret…
Très bien joué, ce film montre les situations conflictuelles que peuvent engendrer les non-dits. Le prix de la meilleure interprétation féminine remporté par Bérénice Bejo au festival de Cannes est largement mérité.
Un film de Baz Luhrmann avec Leonardo Di Caprio, Carey Mulligan, Tobey Maguire, Isla Fisher, etc. d’après le roman de Scott Fitzgérald.
Dans le New-York des années 20, Nick, un jeune homme à la vocation d’écrivain devenu finalement agent de change à la Wall Street, emménage dans une maison de Long Island, à côté d’un immense domaine où vit un personnage énigmatique, Jay Gatsby.
Lors d’une visite à sa cousine Daisy, qui vit avec son mari de l’autre côté de la baie, il apprend qu’elle a bien connu son voisin et son trouble aiguise sa curiosité. Daisy a épousé un homme riche, un peu veule, vulgaire et raciste, infidèle de surcroît. Mais elle n’a apparemment jamais oublié Jay Gatsby dont elle a fait la connaissance alors qu’il servait dans l’armée au moment de la Première Guerre mondiale. Ils se sont aimés puis il a disparu. Cinq ans plus tard, il réapparaît donc, plus riche encore que le mari de Daisy, propriétaire d’un incroyable château luxueux et peuplé d’innombrables invités qui font la fête aux dépens de Gatsby qui ne se mêle pas à cette débauche d’alcool et d’argent.
Lorsque Daisy et Gatsby se retrouvent l’un en face de l’autre à l’occasion de l’une de ces fêtes, ils renouent avec la passion. Gatsby explique sa disparition pendant cinq ans par la nécessité de faire fortune pour pouvoir prétendre épouser Daisy. Maintenant qu’il a réussi, il entend bien renouer avec le passé et reconquérir Daisy dont il ne doute pas un instant qu’elle l’aime toujours, malgré les années.
Tom, le mari de Daisy, n’est pas du tout prêt à laisser sa femme lui échapper, même s’il lui est régulièrement infidèle. Il va donc enquêter pour savoir qui est ce Gatsby au sujet duquel courent les rumeurs les plus folles. Est-il un espion, un héros de la guerre ou plus vraisemblablement un mythomane et un escroc ?
Leonardo Di Caprio, qui reprend le rôle mythique du grand Gatsby après le légendaire Robert Redford, a gagné son pari. Car s’il est un peu moins distingué que Redford, il incarne en revanche un romantisme qui rend son interprétation plus crédible.
Un très bon moment de cinéma.
En collaboration avec le Conservatoire du Grand-Nancy, l’association Emmanuel Héré organisait aujourd’hui une soirée musicale, cinématographique et historique autour de la projection du film L’assassinat du Duc de Guise.
Jean-Philippe Navarre, directeur du Conservatoire, et Philippe Martin, historien, apportent leur éclairage musical et historique.
Des sept enfants de François de Guise, duc de Lorraine, trois joueront un rôle important. Celui dont il est question ce soir est l’aîné, Henri de Guise dit le Balafré (au milieu), qui participe activement aux guerres de religion.
La rivalité entre le roi de France Henri III et la maison de Guise est grande. Les catholiques, dirigés par Henri de Guise, s’opposent à l’édit de Beaulieu qui assure aux protestants la liberté de culte et forment un mouvement appelé la Ligue.
Sentant son pouvoir menacé, le roi reprend la guerre contre les protestants. Après la signature du traité de paix en 1580, il ordonne la dissolution de la Ligue. Après la mort de son jeune frère, le duc d’Alençon, Henri III désigne comme héritier légitime le protestant Henri de Navarre, futur Henri IV.
Toujours menacé par Henri de Guise, le roi décide de le faire assassiner.
C’est précisément le sujet du film d’André Calmettes pour lequel Camille Saint-Saens a composé la musique. Ce film muet français sorti en 1908, d’une durée d’un quart d’heure, raconte les dernières heures du Duc de Guise et son assassinat par les gardes du roi.
Le 23 décembre 1588, Henri de Guise passe un moment agréable avec sa maîtresse, la marquise de Noirmoutiers. Par quatre fois, il reçoit un message l’avertissant d’un grand danger. Lorsque l’un d’eux mentionne l’intention du roi de le faire assassiner, il s’écrie : « Il n’oserait ! ». Convoqué par Henri III, il se rend au château de Blois où il est poignardé à mort par les gardes du roi. Considérant son rival, le monarque aurait déclaré : « Il est plus grand mort que vivant ! ».
Sitôt son rival décédé, Henri III fait arrêter et exécuter le frère du duc de Guise, le Cardinal Louis de Guise. Les corps des deux frères sont brûlés et leurs cendres jetées dans la Loire.
Un moment culturel très agréable dans les locaux du Conservatoire. Les élèves de Jean-Philippe Navarre ont brillamment interprété la partition de Saint-Saens dont la principale difficulté est que la musique doit parfaitement « coller » aux images qui défilent. Un exercice particulièrement exigeant que le jeune orchestre a parfaitement réussi.
A noter que dans le cadre de « Nancy Renaissance », une soirée autour de ce film et avec les élèves du Conservatoire est proposée le samedi 18 mai 2013 à 20 h 00 Salle Poirel à Nancy ; entrée libre.
Un film d’Anthony MARCIANO avec Max Boublil, Alain Chabat, Sandrine Kiberlain, Mélanie Bernier
Thomas, musicien en quête d’un producteur pour son premier disque, joue et chante dans les mariages et autres fêtes familiales pour gagner sa vie.
Un soir, il rencontre Lola. Entre eux, c’est tout de suite l’entente et la complicité ; ils sont manifestement sur la même longueur d’ondes. Très vite, ils se fiancent et Thomas décide d’exercer un vrai boulot : il se fait embaucher dans une banque au service du recouvrement… Lola est traductrice et participe à des sommets
politiques de la plus haute importance. Ce qu’elle aime en Thomas, c’est son côté fantasque ; avec lui, elle sait qu’elle ne s’ennuiera jamais. Pas comme ses parents… Mais elle apprécie son sens des responsabilités lorsqu’il lui annonce avoir trouvé un CDI. Car bien sûr, cela veut dire un nid d’amour bien à eux !
À peine fiancé, Thomas demande à rencontrer les parents de Lola, Gilbert et Suzanne. Depuis qu’il a vendu sa société, Gilbert déprime ; vautré devant la télé du matin au soir, il ne supporte plus son épouse. Suzanne s’occupe d’une ONG, mange avec des baguettes chinoises et privilégie aux repas le tofu, le quinoa, etc. ; elle ne finit jamais ses phrases et elle ne supporte plus son époux. Mariés depuis trente ans, tous deux n’ont manifestement plus rien à se dire ou alors des vacheries.
Aussi, lorsque Thomas et Lola leur annoncent leur projet de mariage, Gilbert prend le jeune homme à part. Parce qu’il le trouve sympathique, il essaie de le dissuader d’épouser sa fille. Convaincu d’avoir raté sa vie à cause de son couple, il prend enfin la décision de quitter sa femme et il pousse le garçon à tout quitter à son tour pour vivre à ses côtés une existence plus joyeuse et plus insouciante où vivre de la musique ne serait plus une utopie. Ils s’amusent comme des gamins, mais à quel prix ?
Un film drôle, pas toujours très fin mais on rit beaucoup. Et par les temps qui courent, ça fait du bien !
Le 4 avril 1960, lors de la 32e remise des Oscars, « Ben-Hur » obtient celui de meilleur film et Charlton Heston celui de meilleur acteur.
Film de Christian Duguay avec Guillaume Canet, Marina Hands, Daniel Auteuil, Lou De Laâge, Jacques Higelin, Marie Bunel
Pierre Durand a toujours aimé les chevaux. Ses parents ont tout fait pour lui offrir les entraînements, les compétitions. Mais le cavalier décide d’abandonner sa passion pour débuter une carrière d’avocat. Ni ses parents ni lui, ni même son épouse, ne peuvent croire à la fin de cette vie de champion. Et en effet, au début des années 80, Pierre quitte son bureau et son brillant avenir pour se consacrer au saut d’obstacle.
Pour cela, il mise sur un cheval hors normes, Jappeloup. Son propriétaire, contre l’avis de sa vie Raphaëlle qui s’occupe du cheval, le vend à Pierre. Mais l’osmose n’est pas au rendez-vous. Jappeloup est trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, capable du meilleur comme du pire.
Après plusieurs succès lors de compétitions internationales survient le fiasco des Jeux Olympiques de Los Angeles. Jappeloup refuse de sauter et Pierre Durant est vivement critiqué par la presse et le monde hyppique. Vexé, humilié, il décide de vendre son cheval à des Américains. Il se heurte dans cette décision trop brutale à sa soigneuse, son épouse, son père et tous ceux qui l’aiment et croient aux capacités de Jappeloup.
Suite à la pyroplasmose détectée dans les analyses de sang du cheval, Pierre Durand renonce à la vente. La maladie n’empêche pas le cheval de conserver ses incroyables aptitudes. Le cavalier décide alors de se remettre en selle et commence par rappeler Raphaëlle qui ne mâche pas ses mots : si Jappeloup se montre parfois rétif, c’est parce que Pierre ne l’aime pas assez. « Tu parles de médailles et de dollars, jamais de ce que Jappeloup peut ressentir ! » lui lance-t-elle. Pierre promet de changer et de s’investir.
L’homme et l’animal vont dès lors faire corps et gagner ensemble. Le cheval ne saute pas, il vole et offre la médaille d’or à son cavalier et à son pays aux Jeux Olympiques de Séoul.
Un très beau film avec de merveilleuses images de saut, mais aussi des sentiments et des valeurs transmises par un Guillaume Canet très à l’aise dans la peau du champion.
A voir, même par ceux que le monde équestre n’intéresse pas particulièrement.
Un film de James Huth avec Sophie Marceau, Gad Elmaleh, Maurice Barthélémy, François Berléand, etc.
Charlotte a trois enfants : une grande fille d’un premier mari et deux garçons d’un second mari, homme d’affaires puissant dans le domaine de la publicité. Ils sont séparés mais toujours mariés et la jeune femme travaille encore pour lui.
Sacha est artiste, il joue du piano dans un club de jazz et compose des musiques pour la publicité.
Alain Posche, l’ex de Charlotte, traite les gens par le mépris mais Sacha s’en moque ; il vit sans contraintes, sans horaires, il déteste les enfants mais adore sa mère qui s’occupe de son ménage, de son linge, de ses repas… Charlotte, un peu miss Catastrophe sur les bords, se démène comme elle peut pour élever ses enfants sans trop s’oublier soi-même.
Ces deux êtres tellement différents se rencontrent aux portes de l’agence publicitaire, sous une pluie battante. Elle glisse sur le trottoir, il constate que sa voiture, décapotée, ressemble à une baignoire… Alors qu’il l’aide à se relever, boum !, coup de foudre qui les emmène sur une autre planète pendant quelques secondes, puis très vite, dans le même lit.
Mais les choses ne sont pas simples : en même temps qu’il découvre qui est vraiment Charlotte, il réalise qu’il a un don insoupçonné pour s’occuper des enfants. Alors que tous deux sont prêts à tenter leur chance ensemble malgré les apparentes incompatibilités, les portes de tous les publicitaires parisiens se ferment petit à petit. Alors Charlotte, par amour, va feindre le désamour pour permette à l’homme qu’elle aime de partir aux Etats-Unis où le succès l’attend.
Une comédie qui ne fait pas dans la dentelle et une fin qui ne surprend personne. Mais on rit de bon cœur ; c’est déjà ça… Et Sophie Marceau est… sublime !
Un film de Jacques AUDIARD avec Marion Cotillard et Matthias Schoenaerts
Dans le Nord de la France, Ali récupère son fils de cinq ans, qu’il connaît à peine. Il va devoir s’en occuper suite à l’incarcération de sa mère pour trafic de stupéfiants avec son compagnon. Sans travail, sans domicile fixe, le jeune homme prend le train pour Antibes où il retrouve sa sœur et son beau-frère. Les retrouvailles ne sont pas faciles, mais le couple héberge Ali et Sam. La vie sourit au jeune homme qui trouve un job de videur dans une boîte de nuit tandis que sa sœur s’occupe du petit.
C’est ainsi qu’il rencontre Nathalie, belle et sûre d’elle, légèrement blessée au cours d’une rixe. Il la ramène à son domicile dans sa voiture à elle. Dans l’appartement où elle a accepté qu’il monte pour soigner ses mains abîmées dans la bagarre, il croise brièvement son compagnon. Sur les murs, il découvre des photos montrant Nathalie et des orques. Elle a juste le temps de lui apprendre qu’elle est effectivement dresseuse d’orques au Marineland avant que son compagnon demande à Ali de quitter les lieux. Avant de partir, le jeune homme glisse dans la main de la jeune femme un morceau de papier sur lequel il a inscrit son numéro de téléphone.
Peu de temps après, il apprend par les médias qu’elle a été victime d’un accident lors d’une représentation. Et puis un jour, il reçoit un appel téléphonique : c’est Nathalie. Elle se remet à peine de l’amputation de ses deux jambes au niveau des genoux.
Ils se voient et grâce à l’attitude saine et sans compassion du garçon, la jeune femme va réapprendre à vivre, à accepter son corps mutilé et le regard des autres. Comme elle s’interroge sur sa féminité et sa capacité à éprouver encore du plaisir, il s’offre à essayer de le lui procurer. Il se comporte avec elle comme avec toutes les filles qu’il rencontre : il la « nique », sans arrière-pensée, sans tendresse, sans promesse d’avenir. Et le jour où sa sœur le met à la porte, il abandonne tout, son fils et Nathalie, pour retourner dans le Nord.
Il faudra un autre drame pour que Nathalie et Ali se retrouvent.
Un film très fort sur le handicap et la force de l’amour. A voir. Cotillard est
sublime.
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