Le narrateur est un monsieur d’un certain âge, marié et père d’un fils unique un peu volage. Écrivain et critique littéraire, il a consacré sa vie à son métier au détriment de sa vie personnelle et familiale, jusqu’au jour où il acquiert une maison dans un village du Sud de la France.
Alors qu’il avait toujours appliqué la consigne ancestrale « Pas de bête à la maison », il sauve un chiot que le propriétaire s’apprêtait à fracasser contre un muret, comme ses autres frères et sœurs. Interloqué lui-même par cet acte transgressif, l’homme un peu rigide, économe de sentiments et bourré de certitudes, promet au paysan d’adopter le chiot après le sevrage.
Ainsi Maya, le jeune chienne bâtarde, entre-t-elle dans la vie de ce vieux couple poursuivant côte-à-côte une vie sans fantaisie ni surprises ni illusions. Et elle va changer leur existence ! L’homme va découvrir un monde insoupçonné en se laissant apprivoiser par « la bête » dont il devient littéralement gaga ! Ce faisant, il s’humanise, baisse un regard toujours trop haut fixé, découvre des gens formidables de sincérité et de simplicité. Grâce à Maya, chienne folle, dépensière d’amour sans compter, il va renouer avec son fils un dialogue à peine amorcé et redécouvrir la femme qu’il a toujours aimée sans pouvoir le lui dire ni même se l’avouer.
Tendre et drôle, ce récit est la preuve que l’homme s’humanise au contact des animaux. Déjà convaincue que les êtres humains qui n’aiment pas les animaux ne sont pas fréquentables, ce roman plaisamment écrit le confirme !
Archive pour le Tag 'chien'
Le 5 septembre 1918 naît en Lorraine Rin Tin Tin, chien de race Berger Allemand.
Il tourne dans 26 films de la Warner Brothers aux côtés du jeune Rusty.
Il décède en 1932.
Je vous présente Mick, petit mâle beagle qu’une amie vient d’acquérir après la perte de sa femelle malinoise.
Mick est encore un chiot, âgé de trois mois, que nous aurons en garde mi-août le temps d’un grand week-end !
Le 20 mai 1861 naît à Hannovre en Allemagne Emil Berliner, ingénieur allemand naturalisé américain.
Il émigre aux Etats-Unis en 1870 et fait breveter son invention du microphone en 1877.
Dix ans plus tard, il invente le gramophone.
En 1900, victime de concurrents peu scrupuleux, Emil Berliner est contraint de retirer son gramophone du marché des Etats-Unis ; il quitte son pays d’accueil et installe son entreprise à Montréal.
Cette même année, il enregistre aux bureaux des brevets la marque de commerce de sa compagnie, le chien Nipper écoutant un gramophone.
Il décède en 1929.
Roman de Jean-Christophe RUFIN
La Première Guerre mondiale est terminée. Dans la caserne d’une petite ville du Berry, un prisonnier unique attend son jugement. Son geôlier, Raymond Dujeux, écrasé par la chaleur et la fatigue à cause du chien du détenu qui, planté sur la place face à l’édifice, aboie sans discontinuer, attend avec impatience l’arrivée du juge.
L’officier Hugues Lantier du Grez débarque dans la caserne durant l’été 1919 pour juger l’affaire du soldat Morlac, un ancien poilu, un héros qui a commis un acte déshonorant, crime pour lequel il risque le
Le paysan et l’aristocrate, assis face à face dans la cellule, se jaugent. Alors que tout les oppose, Lantier ne peut s’empêcher de penser que l’acte ignoble du soldat, plus cultivé que tous ceux de sa condition, masque un mal-être plus profond et une blessure psychologique bien plus à vif que les lésions corporelles qui ont fini par cicatriser.
C’est alors qu’il fait la connaissance de Valentine, une paysanne aussi énigmatique que Morlac dont elle fut la maîtresse et qui élève seule son enfant. Comme Morlac, Valentine est une écorchée vive. Comme lui, elle nourrit un idéal qu’elle entretient par la lecture de grands auteurs.
Et puis il y a le chien, surnommé Guillaume par son maître, fidèle comme tous ceux de son espèce, à l’amour indéfectible pour l’homme qu’il a choisi de suivre dans les tranchées et sur le front comme à l’arrière, blessé comme lui par des balles et des éclats d’obus. Pourtant, cet amour n’est pas réciproque et l’officier chargé de régler cette affaire ne comprend pas l’indifférence voire la haine de l’ancien soldat pour son compagnon à quatre pattes qui a si longtemps partagé son quotidien dans l’enfer de la guerre. Quelque chose cloche. Morlac est un détenu bien trop pressé d’en finir pour rejoindre le bagne.
Avec patience et humanité, l’officier parviendra-t-il à gagner la confiance des trois protagonistes – Morlac, Valentine et le chien – pour démêler cette affaire et rendre un jugement éclairé ?
En 150 pages à peine, Rufin nous raconte une histoire dont le dénouement n’a lieu que dans les toutes dernières pages. C’est l’histoire d’ « un nain que dévoraient des ambitions de géant ». C’est l’histoire d’une femme amoureuse dont le cri « laisse toujours aux hommes l’impression qu’en cette matière ils sont d’une grande faiblesse. » C’est un récit sur la condition humaine : « L’humanité, c’est aussi avoir un idéal et se battre pour lui. »
A découvrir.
Je vous présente Ipso, un ratier d’un an, le chien de ma meilleure amie et son compagnon.
Jeannette et Philippe séjournent chez nous depuis samedi après-midi.
Aujourd’hui, ils sont partis vers 10h ; ils passent la journée chez une des filles de Philippe, Nancéienne, qui vient d’avoir un bébé. Nous avons donc proposé de garder leur chien.
Ipso est très obéissant et fait très bon ménage avec notre Hella :
Le 28 mai 1900, la Berliner Gramophone Co, compagnie créée par Emile Berliner, ingénieur allemand naturalisé américain et inventeur du gramophone, enregistre son affiche commerciale : un chien écoutant la voix de son maître.
Les jours de lessive, j’adore ! Dès que la Momo sort le linge de la machine, je me précipite pour l’aider et je saisis rapidement une chaussette ou une culotte. Bon… c’est vrai que j’oublie de m’arrêter devant l’étendoir et je cours dans le jardin avec mon trophée dans la gueule ! Le plus rigolo, c’est quand elle me course pour essayer de récupérer sa chaussette ! J’adore ça ! Dommage, souvent elle y renonce…
A chaque fois que je lèche un pot de crème fraîche, j’ai une pensée émue pour toi… Elle est pas belle, ma vie en Lorraine ?
Un moyen de transport très pratique pour petits chiens est le sac à ventre. Le principe est celui du porte-bébé ventral, sauf qu’il s’agit d’un sac avec fond dans lequel le chien est assis (ou couché). Le sac est muni d’un mousqueton que l’on accroche au collier du chien par sécurité. En toile jeans, il est accroché aux épaules et maintenu par une sangle clipsée dans le dos. On a ainsi le chien devant soi et l’animal se sent en sécurité contre la poitrine de son maître ou de sa maîtresse.
Ainsi équipées, nous avons emmené Véga dans des endroits a priori interdits aux chiens comme les églises. Nous avons testé le sac avec Hella et je crois que nous pourrons aussi aller partout avec elle car elle a été sage comme une image !
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