Le Brexit, c’est-à-dire la sortie de l’Europe de la Grande-Bretagne, a été voté à une petite majorité de 52%.
Je ne connais rien à la géopolitique ni à l’économie internationale, je n’ai pas une conscience éclairée des avantages et inconvénients de cette décision, mais en tant qu’Européenne, voire citoyenne du monde, convaincue, je suis triste pour ce pays qui fut un peu le mien pendant un an et dans lequel je me suis sentie si bien.
Sans pouvoir mesurer pleinement les conséquences de cette sortie, je la perçois comme un retour en arrière, et je crains surtout qu’elle ne soit l’opportunité de relancer le débat dans d’autres pays européens, en particulier la France qui est plus ou moins déjà en période électorale.
L’Europe, un peu partout sur son territoire, est souvent le bouc émissaire des divers maux qui s’abattent sur ses habitants ; je ne suis pas certaine que les pro Brexit, heureux aujourd’hui de leur « victoire », le soient encore demain…
Au-delà de ce Brexit, je m’interroge parfois sur le bien-fondé du référendum. Elément et non des moindres de toute démocratie qui se respecte, tous les citoyens d’un territoire sont-ils aptes à décider eux-mêmes ce qui est bon pour le pays ? Et n’est-ce pas par faiblesse, plus que par souci démocratique, qu’un dirigeant en arrive à avoir recours au référendum ?
Archive pour le Tag 'anglais'
Le 24 décembre 1914 a lieu la trêve de Noël.
Lors de la Première Guerre mondiale, à Ypres en Belgique, ce jour-là les soldats des deux côtés s’épient, font le guet mais ne tirent pas.
Puis des soldats allemands commencent à décorer les arbres environnants avec des chandelles et se mettent à chanter des cantiques de Noël. Les Anglais, leurs ennemis d’en face, les imitent. Puis les soldats des deux camps échangent des voeux en criant. Les plus courageux vont à la rencontre les uns des autres et s’échangent des cadeaux : chocolat, cigarettes…
En cette veille de Noël 1914, l’artillerie se tait et d’un commun accord, les soldats des deux camps rassemblent leurs camarades morts et les enterrent.
Le 29 septembre 1758 naît Horatio Nelson, amiral anglais.
Enfant chétif voué à la mort, il entre néanmoins à 12 ans dans la marine au service d’un capitaine. Héros de nombreuses batailles navales au cours desquelles il perd un bras et un oeil, il devient l’idole de l’Angleterre.
Il décède en 1805 pendant la bataille de Trafalgar contre Napoléon.
Commentaires récents