Aujourd’hui, belle et chaude journée ensoleillée. Alors de nouveau balade à Pont-Aven, ailleurs :
Bienvenue sur mon blog où se mêlent des infos, des poèmes, des photos, des résumés, plus tout ce qui me passe par la tête et que j'ai envie de vous faire partager.
Finalement, avec le changement de marée, le temps a viré au presque beau à 15 h 00. En tout cas, il a cessé de pleuvoir pour quelques heures.
Alors nous en avons profité pour aller nous promener au Pouldu, sur les chemins côtiers sablonneux.
Mais à l’heure où j’écris (23h52), il pleut…
Belle, ensoleillée et chaude journée. Nous en avons profité pour aller revoir la chapelle de Trémolo à Pont-Aven et suivre la belle allée de châtaigners :
Arrivées lundi soir en Bretagne, après la visite du marché de la Ferté-Bernard et un bon dernier repas chez nos amis, notre première balade mardi a été pour la plage de Trenez. C’était bon de revoir l’océan !
Pour notre deuxième journée chez nos amis Jeannette et Philippe, nous avons eu droit à la visite à pied de la ville. Cette fois, Monique n’avait pas oublié son appareil photo !
Située dans le département de la Sarthe et la région Pays de Loire, la ville compte un peu moins de dix mille habitants.
Notre petit périple d’environ deux heures (Hella l’a terminé dans les bras de Philippe !) nous a menés à l’église Notre-Dame-des-Marais, à la Porte Saint-Julien et aux anciennes halles et enfin jusqu’au lac aménagé en zone de loisirs.
Quelle bonne idée ont eue nos amis de quitter Dreux pour la Ferté-Bernard ! Cela ne nous déroute pas du tout de l’autoroute qui mène à Rennes et c’est une très jolie localité. En plus, Hella a pu gambader dans le jardin. Elle aurait bien voulu sympathiser davantage avec la chatte Félicie, mais elle est restée sur ses gardes, peut-être encore chagrinée par la mort récente de son copain Figaro…
Au coin d’une rue, un joli Bacchus sculpté sur la façade d’une brasserie.
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L’eau est partout présente dans la ville…
… sauf dans nos verres !!!
Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Le lendemain de notre arrivée chez mon amie Jeannette, nous sommes allées visiter Le Mans et plus particulièrement la cathédrale Saint-Julien.
Malheureusement, Monique avait oublié son appareil photo ! Heureusement, les téléphones portables ne servent pas qu’à passer et recevoir des appels téléphoniques !!!
Avant d’aller à la découverte de cet imposant édifice religieux, nous étions allés déjeuner dans un restaurant gastronomique à proximité de la cathédrale : La Maison d’Elise. Cet établissement de renom fera l’objet d’un article séparé car il vaut le détour !
Voici les informations que j’ai trouvées sur le site de l’Office de Tourisme de la ville du Mans et que je me contente de recopier :
« La cathédrale du Mans a été construite entre le XIe et le XVe siècle. Cinq siècles qui lui ont apporté une diversité de styles dans une fusion de roussard, de calcaire et de verre. Une richesse qui fait d’elle une cathédrale précieuse de l’art religieux médiéval. La cathédrale Saint-Julien est l’une des plus vastes de France, avec ses 134 m de long pour une surface de 5000 m2. Son nom lui vient de Julien qui aurait christianisé Le Mans au IVe siècle. »
Ce qui frappe d’emblée le visiteur qui pénètre dans ce lieu de culte, c’est bien sûr sa taille mais surtout sa luminosité. Cette cathédrale, contrairement à certaines autres, n’oppresse pas ; on se sent au contraire porté par cette lumière.
Puis nous déambulons dans le quartier de la cathédrale, dans des ruelles étroites qui finiront par nous conduire à un bistrot où nous pouvons déguster nos boissons en terrasse :
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En cette journée caniculaire, nous avons cherché la fraîcheur et en avons profité pour aller visiter le château de Fléville, à seulement dix minutes au sud de Nancy. Si nous avons pu suivre la visite guidée à travers les nombreuses pièces meublées, décorées et admirablement restaurées, Monique n’a hélas pas pu faire de photos à l’intérieur. Quel dommage !
Château médiéval, il n’en comporte pas moins de très beaux témoignages de la Renaissance en Lorraine.
Son origine remonte à 1280 : Ferry III, duc de Lorraine, crée le fief de Fléville et Guillaume d’Ormes en devient le seigneur. Le grand donjon à gauche date de 1320.
En 1460, par mariage et faute de descendance mâle, le fieb de Fléville passe aux Lutzelbourg. En 1533, Nicola de Lutzelbourg fait ériger le château Renaissance, repris par ses héritiers.
En 1758, le fameux Stanislas Leszczynski, roi de Pologne et duc de Lorraine, vient à Fléville avec sa Cour.
La duchesse de Brancas crée un salon littéraire en 1783.
Le domaine est racheté par Alexandre de Lambel en 1812. Depuis plus de deux cents ans, la famille de Lambel habite une aile du château et s’attache à préserver ce joyau de la Renaissance en Lorraine ; épargné par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, le château est ouvert au public dès 1954.
Vue arrière du château.
L’ancienne maison du jardinier a été transformée en « maison du conte ». Monique a bien connu cette bâtisse car le jardinier était un ami de son père. Enfant, elle est souvent venue jouer dans le grand parc du château avec les enfants du jardinier.
A l’arrière de la maison du conte, un joli trompe l’oeil.
La façade arrière du château. Au milieu, la chapelle du château qui comporte encore de très beaux vitraux d’époque.
Le château est ouvert du 1er mai au 12 novembre tous les week-ends et jours fériés.
En juillet et août, il est ouvert tous les jours.
Visite guidée d’une durée d’une heure : 9 euros (tarif 2013).
Pour plus d’information : http://fleville.com/?q=chateau.php
Invitées par un de mes clients, nous avons passé la journée à Pierre Percée, près de Raon-l’Etape dans les Vosges.
Lever à 7 h 30… C’est dur, un dimanche ! Mais c’est pour la bonne cause puisque nous allons passer une journée au grand air. La météo est incertaine, mais il ne pleut pas…. Mais au moment du départ, à 9 h 30, les premières gouttes tombent ! Après une dizaine de minutes cependant, la pluie cesse et ne tombera plus de la journée.
Arrivées sur le site du Lac de la Plaine, nous faisons immédiatement un tour en voiture à pédales. Hella est de la partie, bien sûr, mais cela ne lui plaît pas du tout ! Elle aurait pu s’asseoir tranquillement sur la petite plateforme en contrebas, mais elle n’en a pas envie et je dois la garder sur les genoux. Pas commode pour pédaler…
Nous rendons la carriole avant l’heure écoulée et marchons un peu en attendant l’heure du déjeuner.
Après le déjeuner (échine marinée et chipolota, crudités, fromage et éclair, le tout arrosé d’un rosé bien frais, café), nous sortons du parc de loisirs pour aller voir un peu le lac de Pierre Percée tout proche et nous rentrons juste à temps pour faire l’activité choisie : tir-à-l’arc. Je ne suis guère douée, Monique beaucoup plus ! Puis nous nous rendons au mini-golf : l’activité est davantage dans mes cordes !
Le temps de boire une boisson et nous nous dirigeons tranquillement vers la sortie ; il est 18 h 15, l’heure de rentrer. Hella a l’air bien fatiguée !…
Nos vacances dans le Morvan se sont donc terminées hier.
Avant de quitter le gîte, maison immense comme je les aime, très confortable et très propre, pouvant accueillir dix personnes (une deuxième salle de bain est en cours d’installation !), Monique fait le tour du lieu-dit « Les Chaumots » rattaché à Asquins, village à proximité de Vézelay.
Et demain, au boulot !
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L’avant-dernier jour des vacances, nous nous rendons à Saulieu dans le département de la Côte d’Or pour visiter la basilique Saint-Andoche de style roman :
Puis nous poussons jusqu’à la Butte de Thil où se trouvent les vestiges d’un château, les ruines d’une forteresse médiévale qu’un homme surnommé Perceval et son épouse ont achetées. Du parking, une belle allée de tilleuls plusieurs fois centenaires mène à l’ancien château. Les nouveaux propriétaires rénovent et entretiennent le domaine pour pouvoir accueillir, durant la belle saison, des touristes grands et petits pour des fêtes médiévales et des spectacles de magie :
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Le lendemain de l’inoubliable vol en montgolfière, nous partons pour l’abbaye de Fontenay dans le département voisin de la Côte-d’Or. Lorsque Monique s’était renseignée sur la possibilité de venir avec un chien, on lui avait répondu que les chiens étaient non seulement admis, mais vraiment les bienvenus ! Ca alors ! Et de fait, Hella fera la visite avec nous, bien sûr tenue en laisse, mais sur ses quatre pattes.
Abbaye cistercienne fondée au tout début du 12e siècle à quelques kilomètres de Montbard, au coeur de la Bourgogne, elle devient abbaye royale à la fin du siècle suivant. A partir de 1547, le père Abbé des abbayes n’est plus élu par les moines mais nommé par le roi. Après la Révolution française, les moines doivent quitter l’abbaye et les révolutionnaires la vendent à un premier acheteur qui la transforme en papeterie. En 1820, Elie de Montgolfier, descendant des inventeurs des fameux ballons, rachète l’abbaye et développe la manufacture. En 1852, le bâtiment est classé monument historique.
Au tout début du 20e siècle, Edouard Aynard, banquier lyonnais et gendre des Montgolfier, achète Fontenay et s’emploie à la réhabiliter dans toute sa pureté médiévale ; les travaux de restauration s’achèvent en 1911.
En 1981, l’UNESCO classe l’abbaye Patrimoine mondial. Dès lors, Fontenay accueille plus de cent mille visiteurs par an.
Le guide (2,00 €) nous emmène partout et nous explique tout avec clarté et humour. A la sortie, petit musée et librairie. Une visite qui vaut franchement le détour.
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Enfin, mercredi 5 juin vers midi et demi arriva la bonne nouvelle : le vol en montgolfière tant attendu et pour lequel nous étions tout spécialement venu dans le Morvan pour une semaine, aurait sans doute lieu le soir même. Le « sans doute » me laissait perplexe ; le pilote m’expliqua qu’un brusque changement de temps était toujours possible…
Rendez-vous à Vézelay à 19 h 00. Bientôt arrivent deux 4×4 dont l’un est muni d’une remorque où l’on devine, sous une bâche, la montgolfière ! Outre le pilote, Ludovic, deux techniciens sont présents. Un petit ballon est lâché… c’est bon ! Comme nous sommes onze passagers, la présence de Monique est appréciée car on manquerait de place dans les voitures ! Je monte donc avec Monique et nous suivons les véhicules marqués « France Montgolfière ». Dès la sortie de Vézelay, nous entrons dans un champ et le pilote lâche un second ballon qu’il observe très longuement et très attentivement… Et soudain, quelques gouttes ! Oh non ! Mais Ludovic n’est pas inquiet ; ce n’est qu’un grain qu’on va devoir laisser passer. Lorsque la petite averse cesse, les trois hommes se mettent au travail pour déployer la voile :
Le pilote nous donne quelques instructions à respecter pendant l’atterrissage, mais il n’a aucune crainte car le vent n’est pas très fort, donc aucun risque que la nacelle soit traînée sur le sol avec ses passagers !
A 20 h 15 précises, nous décollons. Monique, restée au sol avec Hella (toutes deux ont le vertige), prend des photos avec un appareil tandis qu’elle m’a confié un autre appareil, au zoom plus puissant.
Et c’est parti pour pile une heure de vol ! Nous survolons Vézelay…
et le pilote nous emmène dans les environs, au-dessus des champs et des forêts :
Le soleil se couchera bientôt et la récente averse à créé un peu de brume :
Soudain, on a l’impression qu’on va bientôt atterrir ! Mais… ce n’est pas l’heure ! Juste une petite facétie du pilote ! Il actionne les gaz (sensation très désagréable de brûlure sur la tête et le cou…) et nous voilà repartis !
Vers 21 h 10, le pilote nous annonce le proche atterrissage. Il a déjà ouvert le haut de la voile. Nous arriverons dans un autre champ que celui du départ. Les voitures ont suivi. J’espère que Monique aussi… Mais oui, j’aperçois bientôt sa Toyota !
Inutile de me demander si le vol m’a plu…
Le temps de tout ranger, plier la voile, charger la nacelle sur la remorque, le soleil s’est couché. Les vaches du paysan propriétaire du champ, nous regardent. France Montgolfière nous offre le verre de l’amitié et un petit certificat de vol.
Il est 22 h 00 lorsque nous partons. La tête encore pleine d’images, je raconte à Monique. Quand elle me demande : « Tu referais un autre vol ? », ma réponse fuse : « Oh oui ! » Un autre jour peut-être, ailleurs…
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Le mercredi 5 juin vers midi et demi, j’ai reçu la confirmation que le vol en montgolfière aurait bien lieu le soir même ! Nous avons donc fait une petite excursion à Avallon :
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Puisque le vol en montgolfière n’avait pas lieu hier, nous avions une belle et grande après-midi devant nous pour nous balader et découvrir la région. En attendant le top du départ, Hella reste à son poste d’observation ; en effet, du haut de l’escalier, elle peut observer l’extérieur par la partie supérieure et vitrée de la porte d’entrée :
Nous avons commencé par l’abbaye de la Pierre-qui-vire, une église hyper moderne bien intégrée dans un ensemble d’époque Renaissance :
Puis nous avons poursuivi notre route vers le lac Saint Agnan :
Nous poursuivons vers le Saut du Gouloux. Pour y accéder, il faut descendre un grand escalier en bois puis marcher sur une passerelle en fer. Hella, qui souffre de vertige, n’a jamais voulu descendre la première marche. J’ai dû la porter, raide de trouille, les griffes comme des serres plantées dans ma main !
Après une petite halte bien méritée, nous reprenons la route en direction du lac des Settons :
Nous empruntons la longue route du barrage et comme je me penche par dessus le parapet, Hella met sa patte sur la laisse pour m’arrêter et me regarde sévèrement, l’air de dire : « Maintenant, ça suffit les conneries ! » :
Nous nous attardons un peu autour de ce grand lac parsemé d’îles boisées :
Puis nous reprenons le chemin du retour ; il est déjà tard ! Juste avant de bifurquer vers Asquins, nous découvrons au loin, dans le couchant, la basilique de Vézelay :
Si tout va bien, je vole ce soir ! D’ici et à cette heure, les conditions semblent idéales : pas un poil d’air et ciel pur. On verra ce que dira le pilote tout à l’heure…
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Les vols en montgolfière d’hier soir et de ce matin ont été annulés car vent trop fort. Pas de vol non plus ce soir ni demain matin… Prochaine possibilité : mercredi soir… C’est vrai que nous avons un temps superbe, mais trop venteux. Hier, malgré la déception, petite balade aux alentours de Vézelay.
Nous pensions faire un crochet par le beau château de Bazoches, propriété naguère de Vauban, mais ils n’ont pas voulu du petit chien, même installé dans le sac à ventre. Les chiens devaient être attachés à la grille ! Vous imaginez Hella attachée à la grille, fût-ce d’un château ? Nous avons donc fait l’impasse, avec regret. Et nous avons poursuivi notre chemin à la découverte de jolis villages aux alentours de Vézelay et Avallon.
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Belle journée hier, ensoleillée et chaude !
Nous avons visité Vézelay et sa basilique Sainte-Marie-Madeleine. De la maison, nous sommes passés par le village d’Asquins d’où nous avons une superbe vue sur la colline éternelle de Vézelay :
Nous rencontrons la première coquille Saint Jacques. Malheureusement, l’église d’Asquins est fermée… Cette manie qu’a l’Eglise de fermer ses lieux de culte !!!
Nous poursuivons vers Vézelay et visitons la basilique, Hella bien installée dans son sac à ventre. Au bout de quelques minutes, je me rends compte que même un petit chien pèse son poids !!!
Nous flânons un peu dans les rues, dégustons une glace, achetons quelques cartes…
Nous quittons Vézelay et faisons un crochet par la chapelle Sainte Croix :
Puis nous rentrons par la commune de Saint Père :
Après dîner, nous partons pour une petite promenade vers le soleil couchant. Et là, nous découvrons que nos amis nous suivent même en vacances !!!
Nous sommes bien arrivées hier à Asquins près d’Avallon dans le Morvan.
La maison est belle, très spacieuse. Seul bémol, je vaste jardin n’est pas accessible de la maison ; il faut traverser le garage… et il n’est pas 100% sécurisé, donc impossible de laisser notre « sauterelle » vagabonder en liberté.
En revanche, il fait un temps superbe et j’espère donc pouvoir m’envoler demain !
Nous sommes ici dans le trou du cul du monde – il doit y avoir quatre maisons au milieu de nulle part – donc les téléphones portables passent très mal. Il faut se coller à la fenêtre pour capter un tout petit bout de réseau. Quant à Internet, j’ai cherché et trouvé un petit coin, au premier étage, sur une table que j’ai traînée contre la fenêtre, où je peux capter un peu en pédalant sec ! En revanche, je doute pouvoir charger des photos ! Ce sera donc pour le retour.
Les vacances passent vite ! On le disait déjà quand nous ne partions en Bretagne que pour une semaine… Deux semaines, c’est déjà mieux, mais ça passe vite quand même ! Pour les amoureux des belles vagues de Bretagne, il y en a de belles dans cet album :
Dernier jour de vacances. Beau temps, un peu frais mais clair. Demain matin, grand ménage et retour d’une traite. Reprise du boulot lundi ! Pfffffffffffffff !!!
Belle journée aujourd’hui, températures froides mais supportables en absence de vent. Hélas pas de vagues…
Aujourd’hui, coefficient 0, pas du tout de marée. Une mer d’huile et un vent inexistant. Heureusement, car il fait quand même un froid polaire !
Hier, par un temps glacial, nous sommes quand même sorties nous aérer.
Nous avons choisi Névez, de l’autre côté de l’Aven, sur les plages de Raguénez.
Les vagues n’étaient pas spectaculaires et nous n’avons pas marché longtemps tellement le vent pinçait.
A un moment, trois flocons sont venus se poser sur la fourrure noire de Hella…
La forme étant enfin presque revenue, nous avons effectué aujourd’hui, entre deux ondées – nous avons quand même essuyé quelques gouttes d’eau – une petite balade sur le sentier côtier de proximité. L’océan, à marée montante, était très beau, comme les cieux.
Pluie aujourd’hui sur Kergroës. Mais cela ne décourage pas Hella d’aller dehors ; un Tibby ne fond pas sous la pluie !
Après la douche, une bonne sieste !
Nous en revanche… Une crève carabinée contractée en même temps par Monique et moi nous a privées de balade mardi.
Hier, nous sommes quand allées déjeuner chez une amie dans le Morbihan ; mais en rentrant, de nouveau courbatures, frissons, etc.
Couchées à 23h – un record pour nous ! – nous nous sommes levées à 9h. Cela a l’air d’aller un peu mieux, en tout cas côté douleurs. Pour le reste, ce n’est pas encore la grande forme… Heureusement que nous sommes parties deux semaines ; nous devrions profiter plus de la semaine prochaine…
Aujourd’hui, sous un ciel radieux, petite balade au Pouldu, après la corvée des courses… C’est toujours le même paysage, et pourtant jamais pareil.
Nous sommes arrivées hier en fin d’après-midi. Nous étions parties samedi à midi et nous nous sommes arrêtées à Dreux, chez la Jeannette. J’ai revu mon copain Gasper, le cochon d’Inde, et les deux félins, Figaro le Persan et Félicie la chatte semi-sauvage. J’étais vachement contente de les revoir ! Mais la Félicie n’a pas été gentille. Elle avait pris possession du lit de mes maîtresses et quand j’ai mis mes pattes de devant sur le lit pour aller lui dire bonjour, elle a fait le geste de me donner un coup de patte. La Jeannette lui a collé une claque sur le museau ; la chatte a soufflé et a levé une patte agressive. La Jeannette lui a mis une deuxième baffe. La Félicie a capitulé et d’un bond, elle est allée à la cuisine. Le Figaro l’a suivie et la Jeannette les a enfermés. C’était dommage car j’aurais bien aimé jouer avec eux !
J’ai quand même fait bisou bisou avec Gasper. Et puis surtout, j’ai nettoyé sa cage de toutes ses crottes. Comme les crottes de cochon d’Inde sont particulièrement riches en vitamines et par ailleurs inodores, on m’a laissé faire. Après, pour changer de goût, j’ai chipé sa carotte !
Nous sommes parties le lendemain. C’était court ! Moi, j’aime trop beaucoup la Jeannette, alors je serais bien restée encore un jour ou deux. Et je suis sûre que la Félicie finirait par m’accepter. D’ailleurs, dimanche matin, pendant que la Jeannette tirait les cartes à mes deux maîtresses, j’ai profité d’un instant d’inattention et d’une porte entrouverte pour me faufiler dans la cuisine. Le Figaro n’a rien dit et la Félicie, installée sur un meuble en hauteur, m’a regardée sans agressivité et n’a pas bronché. Mais la Zaza a poussé un cri et la Jeannette a fait preuve d’une incroyable souplesse pour bondir de sa chaise et courir pour venir fermer la porte.
En attendant l’heure du départ, le Philippe a proposé d’aller m’emmener en balade. Nous sommes allés voir les canards. J’ai bien aimé. A notre retour, la Jeannette a dit que la prochaine fois, ils auront déménagé dans une maison à la campagne où il y aurait aussi des poules. Je ne sais pas ce que c’est mais je suis d’accord pour faire connaissance.
Ici, il fait super beau ! Le ciel est tout bleu. Il fait froid mais ça m’est égal. Et puis ici, c’est la liberté totale car contrairement à la maison, il n’y a aucun risque que je m’évade. Alors mes maîtresses me laissent toute seule dehors. C’est super chouette !
Signé Hella
Nous voilà depuis dimanche soir de nouveau en Lorraine, après deux semaines de belles vacances en Bretagne. Nous avons bénéficié d’un temps superbe, exceptionnellement doux et ensoleillé.
La vie professionnelle n’a pas tardé à me happer de nouveau…
Ci-dessous l’album complet de nos vacances :
Pour notre dernière journée de vacances, la météo a vraiment été très clémente ! Une grande douceur (10°C) et un grand soleil. Pas de vent, donc pas de vagues ! C’est dommage, mais on ne peut pas tout avoir ! Hier la mer était belle, mais le vent était froid. En fin de balade, comme une récompense, un superbe coucher de soleil sur l’océan. Demain matin, lever tôt pour reprendre la route et retrouver le froid lorrain avec en prime, sans doute, la neige…
Belle mais froide journée ! Une plage de sable très fin, de belles vagues en rouleaux, une superbe lumière. Contrairement à Véga, Hella n’est pas enthousiaste par les joies qu’offrent le sable, l’eau et les cailloux…
Hier, il a plu toute la journée, une bonne petite pluie fine typiquement bretonne !
Régulièrement, Hella prenait de la hauteur pour guetter un rayon de soleil qui n’a pas daigné se montrer.
Aujourd’hui, il pleut mais par intermittence. Il va falloir jongler et bien choisir son lieu de promenade !
Cette fois, la météo nationale n’a pas menti : il a plu en Bretagne ! Pas toute la journée, mais c’était un petit crachin qui dissuadait de mettre le nez dehors.
Alors pas de sortie : au programme de ce jour : parties de dés, lecture, écriture. Bref, une belle journée… en espérant qu’il fera quand même meilleur demain !
Hella en revanche n’a pas été dérangée par la pluie et en a profité pour débroussailler un peu !
Nous avons profité du grand beau temps et de la douceur de l’air pour aller encore nous balader en bord de mer. Il paraît qu’à partir de demain, le temps va se gâter…
Hella a trempé le bout de ses pattes dans l’océan, mais de toute évidence, la mer n’est pas son truc !…
Une belle grande balade au départ du petit port de Merrien jusqu’aux abords de l’océan.µ
Le chemin est un peu rude, avec d’énormes roches à escalader, mais le spectacle est magnifique. On a beau connaître le paysage, on l’apprécie toujours.
Une superbe journée pour une balade sur un de nos sites favoris. Mais la rançon du grand beau temps est que la mer est un peu trop étale !
Nous avions aujourd’hui une invitée, une amie qui habite en Bretagne.
En attendant son arrivée, Hella s’est prélassée sur la terrasse ensoleillée, profitant de l’exceptionnelle douceur pour explorer les recoins du jardinet.
Après un très bon repas – Monique n’avait pas résisté au plaisir de mettre les petits plats dans les grands – nous avons profité du grand ciel bleu et du soleil radieux pour emmener notre amie faire une petite balade au Pouldu, notre site favori :
Entre deux averses, nous avons pu faire une de nos balades préférées, le chemin Gauguin au Pouldu.
Après l’océan hier, Hella a fait aujourd’hui connaissance avec des vaches !!!
A quoi pouvait bien penser Hella, sur ces sentiers côtiers encore tellement empreints du souvenir de Véga ?…
La météo étant très favorable, nous sommes parties cet après-midi pour une petite balade en bord de mer. Le vent souffle assez fort et Hella est un peu impressionnée par le vacarme des vagues…
Vendredi 7 septembre. Après une grasse matinée bien méritée suite à la journée émouvante et harassante à Saint-Pétersbourg, nous flânons sur le bateau dont nous découvrons encore quelques endroits, notamment un bar tranquille à l’arrière du bateau.
En fin d’après-midi, nous nous rendons sur le pont et dégustons un dernier cocktail.
Pour cette dernière soirée, le thème vestimentaire proposé mais non imposé est « formel », c’est-à-dire tenue élégante comme pour la soirée du commandant.
Puis nous montons sur le pont pour assister au dernier coucher de soleil avant de nous rendre à table.
Ce dîner de gala est très festif avec des serveurs encore plus élégants que d’habitude qui ont défilé avec des tartes norvégiennes et l’éternel sourire accroché aux lèvres.
Pour tous les passagers, c’est la fête, mais aussi un peu de tristesse.
Pour les membres d’équipage, ce n’est qu’une escale avant le départ pour Copenhague et ensuite vers le sud de l’Europe.
Le lendemain 8 septembre, nous débarquons à Kiel. Par chance, un taxi est disponible et nous reprenons la voiture à l’hôtel vers 11 h 00, direction Nancy…
Pour découvrir d’autres photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Jeudi 6 septembre, nous arrivons à Saint Pétersbourg, le clou de la croisière, l’escale qui a guidé notre choix. La veille au soir, nous avons encore avancé nos montres d’une heure, soit deux heures par rapport à la France. Le départ en excursion est prévu à 7 h 00… il faut donc se lever à 5 h 00 !!! Mais au final, nous ne partons qu’à 7 h 45… Notre guide, Svetlana, parle un excellent français et a également beaucoup d’humour.
La circulation en centre-ville est assez dense et il nous faut un certain temps pour atteindre la ville de Pouchkine, initialement Tsarskoïe Siélo, où se trouve le palais Catherine. Un ensemble de cinq musiciens nous accueille.
En 1710, le tsar Pierre le Grand offre à son épouse, la future reine Catherine 1ère, une métairie située dans une forêt au sud de Saint Pétersbourg. Elle y fait construire une demeure assez modeste qui sera la résidence d’été des tsars. Sa fille Elisabeth fera édifier à sa place un somptueux palais baptisé Catherine. Francesco Bartolomeo Rastrelli, architecte italien né à Paris et mort à Saint Petersburg, en achève la construction en 1756. L’intérieur est magnifiquement aménagé par lui-même puis par l’architecte écossais Cameron. En 1937, la ville est rebaptisée Pouchkine en mémoire au célèbre poète russe.
Fort endommagé lors de la Seconde Guerre mondiale, le palais est aujourd’hui entièrement restauré. C’est une splendeur. Lorsque je découvre ce palais monumental surmonté de clochers bleus à bulbes dorés, une énorme vague d’émotion me saisit. Je suis bouleversée par tant de beauté. La vue de cette façade bleue et blanche rehaussée de dorures, longue d’environ trois cents mètres et ornée d’inombrables Atlantes, est absolument saisissante. Je reste pétrifiée, une main sur la bouche et la poitrine presque douloureuse à cause des battements de mon coeur.
Les panneaux d’ambre qui ornaient le fameux « Salon d’Ambre » n’ont cependant jamais été retrouvés après le pillage par les troupes allemandes et de nouveaux panneaux d’ambre recouvrent les murs depuis 2003. Cette pièce est fascinante.
Nous continuons la visite des salons dont la beauté est à couper le souffle.
Nous sortons du palais et effectuons une petite promenade dans le parc gigantesque où Catherine fit aménager des pavillons et des jardins à l’anglaise autour du grand étang. Nous pouvons ainsi voir le palais avec un peu de recul.
Dans un de ces bâtiments, nous sommes accueillis par un trio de chanteurs qui entonnent un chant russe traditionnel. Très émouvant…
Après toutes ces émotions, je ne suis pas mécontente d’aller déjeuner ! Il s’agit d’un repas typiquement russe (crudités, soupe, émincé de poulet en sauce et riz, boule de glace). Le tout est arrosé d’un petit verre de vodka que j’avale, non pas cul sec, mais quand même en entier après y avoir versé une cuillérée de sucre en poudre pour adoucir le feu de l’alcool.
Après le déjeuner, nous reprenons le bus pour poursuivre notre visite de Saint-Pétersbourg. Au programme, la cathédrale orthodoxe Saint-Isaac, l’Hermitage et la forteresse Pierre et Paul.
Nous passons devant le palais d’hiver dont fait partie le musée de l’Hermitage.
Nous arrivons à Saint-Isaac. Lors de sa construction entre 1818 et 1858, elle était la plus grande église de l’empire russe. C’est aujourd’hui une des plus vastes cathédrales d’Europe, la troisième après Saint-Pierre de Rome et Saint-Paul de Londres dont elle est inspirée. Elle a été érigée d’après des plans de l’architecte français Auguste de Montferrand.
Les portes monumentales pèsent plusieurs tonnes et sont finement sculptées.
De nombreux tableaux ornent l’intérieur de l’édifice. En s’approchant, on réalise qu’il ne s’agit pas de peinture mais de mosaïque !
En sortant, nous passons devant la statue équestre de Pierre 1er.
Puis nous entrons dans le musée de l’Hermitage qui contient plus de mille salles et près de trois millions d’objets dont seize mille tableaux des plus grands maîtres du monde. Bien sûr, nous n’en verrons qu’une infime partie durant les deux heures dédiées à cette visite. Dans le bus, la guide attire notre attention sur la présence de nombreux pickpockets. A peine arrivés, elle nous signale la présence de plusieurs hommes qui semblent effectivement à l’affût… Du coup, on devient un peu paranoïaque et pendant quelques minutes, nous sommes davantage occupées à dévisager les gens qu’à regarder les splendeurs qui nous entourent. Une fois rassurées sur l’arrimage de nos « bananes » dissimulées sous nos vestes, nous dégustons la visite. C’est superbe ! Les plafonds et les parquets de chaque salle rivalisent de beauté entre eux. Je ne m’attarde guère sur les peintures – que l’on peut découvrir dans d’autres musées – pour savourer la vue des colonnes en marbre et en malachite, les lustres colossaux, les sculptures monumentales, les vases gigantesques. Ici comme au Palais Catherine, tous les superlatifs sont d’usage !
Malgré la fatigue qui commence à se faire sentir, nous suivons volontiers notre guide qui nous emmène en bus à la forteresse Pierre et Paul, fondée en 1703 au bord de la Neva. Elle servit de prison pour Dostoïevski et Trotsky et abrite les sépultures de la dynastie des Romanov. La flèche culmine à plus de cent vingt mètres.
Malheureusement, le temps presse et nous repartons en bus pour un dernier arrêt technique et achat de souvenirs avant de rejoindre le port et le bateau qui quitte Saint Petersburg à 19 h 00. Nous pouvons acheter des cartes postales que nous payons en euros ; en revanche, pas de timbres. Nous confions nos cartes à Svetlana avec le prix des timbres afin qu’elle les poste pour nous. Il faut compter trois semaines… Avis à Stefan, Jeannette, Sylviane et quelques autres…
Avant de nous faire ses adieux, Svetlana nous dit que Rembrandt aurait prétendu qu’il y a toujours une bonne raison de revenir à Saint-Petersburg. Personnellement, je n’en doute pas ! Il y a encore tant à découvrir dans cette ville magique…
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Mercredi 5 septembre, nous arrivons à Tallinn à 9 h 00 (dans la nuit, nous avons avancé les montres d’une heure) ; il fait un peu frais mais sec. Nous avons pris l’excursion de six heures avec déjeuner inclus. Contrairement à Stockholm, la guide est très bien ! Elle parle parfaitement le français et montre un goût très aigu pour l’humour.
Tallinn est la capitale de l’Estonie. Après avoir subi l’invasion viking, le pays se trouva sous la domination des Danois puis des Suédois avant que la Russie les conquiert en 1709. Après la révolution russe de 1917, l’Estonie profite de l’affaiblissement du pays pour proclamer son indépendance en 1918, reconnue par la Russie deux ans plus tard. Le pacte germano-soviétique de 1939 permit à l’Union Soviétique d’annexer les pays baltes : Estonie, Lithuanie et Lettonie. Dès le début de la Perestroïka en 1985, l’Estonie manifeste son désir d’indépendance. Celle-ci est proclamée en août 1991 et les dernières troupes soviétiques quittent le pays en 1994. Depuis, l’Estonie a rejoint la communauté européenne et adopté l’euro.
Le drapeau estonien est consituté de trois bandes horizontales bleu-noir-blanc. Le bleu symbolise la mer et le ciel, le noir le douloureux passé du peuple estonien et le blanc la foi en l’avenir et la liberté.
Nous visitons l’imposante église orthodoxe Alexandre Nevsky :
Puis nous découvrons le quartier médiéval et la vieille ville.
Profitant d’une pause « technique », nous entrons dans un magasin de souvenirs qui vend de nombreux objets en ambre.
Après un déjeuner dans un restaurant typiquement estonien (crudités, viande de porc et choux, gâteau, vin rouge et café), nous allons sur la place du marché toute proche pour effectuer quelques achats. Puis nous reprenons le car pour nous rendre à Rocca al Mare, dans un musée en plein air pour voyager dans le temps. Le grand parc boisé est parsemé de fermes témoins de l’Estonie rurale de jadis.
Puis nous reprenons le chemin du port pour monter à bord et assister au départ pour Saint-Petersburg.
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Mardi 4 septembre. Dès 5 h 00 du matin, le bateau annonce sa présence par de réguliers coups de sirène. Sitôt habillée, je vais dehors et vois que le bateau s’est enfilé dans un fjord pour accoster. Nous arrivons à 8 h 30 et l’excusion au palais royal et au musée Vasa commence à 9 h 30. Nous partons en bus.
Nous visitons quelques salles de style baroque du palais royal. Malheureusement, notre guide ne maîtrise pas le français, le vocabulaire est très aléatoire et consciente de ses lacunes, elle limite ses commentaires diffusés de surcroît à voix basse… En plus, il est interdit de photographier… De toute façon, les salles sont très sombres…
En sortant du palais, nous effectuons un tour hyper rapide à pied dans le centre historique de la ville.
en passant devant un gamin en bronze porte-bonheur…
Puis nous nous rendons au musée Vasa…
… qui abrite une remarquable reconstitution du vaisseau « Vasa », un navire de guerre qui coula en 1628, le jour de son inauguration, vingt minutes à peine après son départ !
Après quatre heures passées dans la capitale suédoise, nous devons déjà rentrer au bateau. Nous sommes un peu déçues car notre guide n’a pas su mettre sa ville en lumière et nous n’avons pas eu le temps d’avoir un aperçu, même rapide, de cette ville surnommée « la Venise du Nord » (comme Brugges, Copenhague et d’autres encore…). Dommage, car nous avons sans doute raté quelque chose. Il faudra revenir…
Sitôt sur le bateau, nous allons dehors, au bout du corridor du pont 10 où se trouve notre cabine, pour assister au départ pour Tallinn.
Lorsque, frigorifiées, nous rentrons dans notre cabine, nous découvrons un éléphant sur notre lit !
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Nous passons cette journée en mer, mais pas le temps de s’ennuyer, à peine de lire un peu… A notre retour de dîner, nous découvrons sur notre lit un joli élan, oeuvre réalisée avec des serviettes par notre garçon de cabine !
Le lendemain matin, à l’aube, en attendant que Monique se prépare, je file sur le pont avant pour admirer le paysage. Le bateau – qui s’était plusieurs fois bruyamment annoncé à partir de 5 h 00 du matin ! – navigue lentement entre les innombrables ilots.
Puis nous arrivons à Stockholm à 8 h 30. Nous avons une heure avant de partir en excursion.
Dimanche 2 septembre, nous arrivons à Copenhague à 8 h. Il fait beau, presque chaud.
En attendant l’heure de l’excursion fixée à 13 h 30, nous arpentons le bateau et découvrons le minigolf !
L’excursion doit durer un peu plus de trois heures, le départ du bateau étant fixé à 17 h 00. C’est un peu court pour visiter la capitale danoise… Le guide parle très bien français et évoque longuement, un peu trop à notre goût, la famille royale devant sa résidence…
Puis nous visitons, protections en plastic bleu par dessus nos chaussures, le palais Christiansborg, résidence royale jusqu’en 1794 et aujourd’hui siège du parlement danois.
Situé en plein centre-ville, le château a été incendié deux fois. Les oeuvres présentées sont donc de diverses époques. L’oeuvre ci-dessous est très récente et représente l’Histoire du monde contemporain. Un détail est surprenant : la croix gammée à côté d’Hitler est barrée. Cela a été le voeu de la reine qui avait exigé que l’artiste supprime cet insigne nazi. Comme il refusait car cela fait partie de l’Histoire, elle a dit : « Ok, mais vous la barrez car je ne suis pas d’accord ». Ainsi fut fait !
Une pièce très intéressante est la bibliothèque royale qui contient d’innombrables volumes anciens et précieux. A noter que ces ouvrages sont mis gratuitement à la disposition de tout citoyen danois désireux de les consulter. Il peut venir autant de fois et aussi longtemps qu’il le souhaite ; la seule contrainte imposée est la présence dans la pièce d’un surveillant.
La visite, bien trop courte, se termine par l’incontournable sirène qu’il est bien difficile de photographier seule ! Personnellement, je suis un peu déçue par ce symbole de la capitale ; je l’imaginais plus grande et moins accessible. Le rocher et l’environnement sont un peu insignifiants, au bord d’une route… A noter qu’elle a été plusieurs fois victime de vandalisme, notamment amputée d’un bras et même décapitée ! Avant de la reconstituer, du béton a été coulé à l’intérieur pour lester la demoiselle…
Malheureusement, plus de temps pour flâner dans les rues de la capitale dont nous n’avons, au final, pas vu grand-chose. L’heure tourne et le bateau attend !
Pour le départ, des mouettes nous accompagnent. Pour les encourager à nous offrir un beau ballet aérien, je vais chercher du pain au buffet (il y en a toujours un ouvert !) que je leur lance et elles s’en donnent à coeur joie ! Un peu trop au goût de certain(e)s car elles laissent sur le pont et les rambardes de fienteux cadeaux !!!
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Nous embarquons sur le paquebot « MSC Poesia » le samedi 1er septembre à midi. L’embarquement est parfaitement organisé et nous sommes très rapidement dirigées vers notre cabine. Nous pouvons ensuite aller déjeuner au buffet de l’un des restaurants du bord et découvrir les différents salons. De retour dans notre cabine, nous découvrons nos valises devant la porte et pouvons ranger nos affaires avant de retourner sur le pont pour assister au départ pour Copenhague.
Après dîner, nous allons admirer le clair de lune.
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Nous en parlions depuis février dernier, c’est enfin arrivé : nous partons en croisière en Baltique ! Au programme : Copenhague, Stockholm, Tallinn et Saint-Petersbourg.
Nous quittons Nancy le vendredi 31 août à 7 h 45 (trois quarts d’heure de retard sur l’horaire que nous nous étions fixé…). Nous avons toute la journée pour arriver à Kiel, dans le nord de l’Allemagne, puisque le départ n’a lieu que le lendemain à 18 h 00 avec un embarquement à partir de midi.
Nous avions trouvé sur Internet un hôtel qui offrait la possibilité de laisser la voiture sur le parking durant la semaine de croisière.
Après une dizaine d’heures de route (pauses comprises) et quelques sévères bouchons, nous arrivons à Kiel, pile poil à l’heure pour poser nos bagages et aller dîner.
Nous nous couchons tôt… après avoir relu les instructions pour l’embarquement du lendemain.
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