Dernier jour en Bretagne. Nous partons demain, mais nous resterons deux jours chez des amis près du Mans.
Retour en Lorraine mardi soir et mercredi matin, au boulot !!!
Aujourd’hui, le ciel était serein et l’océan très calme et aussi triste que nous…
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Très belle journée ensoleillée, propice pour valider mon cadeau de Noël : un vol en petit avion au-dessus de Belle-Île :
Départ à 17h de l’aérodrome de Quiberon. Ceinturée puis casquée pour communiquer avec le pilote, je quitte le tarmac, laissant au sol Monique et Hella :
En route pour Belle-Île en survolant les îles Houat et Houëdic :
Après le tour de l’île, retour à l’aérodrome, trente minutes plus tard :
Après cette demi-heure magique à contempler d’en haut le superbe paysage, je retrouve Monique et Hella pour un petit tour sur la côte sauvage de Quiberon :
La roche communément surnommée « le chien » ou « le caniche » !
Belle journée ensoleillée mais pas trop, ciel bleu blanc gris, mer verte, plage déserte, tout ce que j’aime !
Et au retour, corvée de pluche !!!
Aujourd’hui, grand beau temps : ciel uniformément bleu, mer d’huile et foule sur les sentiers côtiers ! On se serait cru sur la Côte d’Azur !
Vivement demain que les gens soient retournés au boulot ! Et avec un peu de chance, les nuages et le vent seront revenus pour nous offrir le beau spectacle des vagues rugissantes !
Deux demi-journées consacrées aux travaux de nettoyage de la façade, de la terrasse et du muret d’enceinte :
Pendant qu’on bosse, Hella lézarde à l’ombre et s’attaque aux végétaux :
Après l’effort, le réconfort :
Bien arrivées hier dans l’après-midi. Comme nous, Hella était contente de retrouver la Bretagne :
Après une bonne nuit, nous avons été réveillées à l’aube par le bruit de la pluie sur le velux… Mais à 9h00, le soleil était bien là !
En début d’après-midi, nous nous sommes vite hâtées sur le sentier côtier de Trenez car le ciel s’assombrissait… Malgré le vent un peu trop fort, c’était agréable de respirer le bon air de l’océan et de redécouvrir ce paysage toujours aussi magnifique :
Quel plaisir de découvrir toutes ces fleurs ! Car habituellement, nous venons en mars !
Dernier jour avant le retour en Lorraine.
La pluie bretonne n’aura pas eu pitié de nous, mais nous avons quand même pu sortir, entre deux averses. Cependant, le sentier côtier qui surplombe l’océan était vraiment trop venteux. Nous sommes donc rapidement descendues sur la plage où nous étions alors un peu moins exposées aux rafales d’un vent glacial.
Dernier restau (crêpes) puis il faut commencer les bagages afin de ne pas partir trop tard demain car nous avons quand même 835 km devant nous…
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L’océan moutonnait
Et les flots s’écrasaient
Sur les masses rocheuses
En vagues floconneuses.
Et au retour, un bon kouign-amann !
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Du matin au soir, alternance d’averses et de phases ensoleillées. Alors entre deux averses, on fonce au Pouldu :
Aujourd’hui, petite balade en bord de mer où le vent soufflait très fort. Au bout de trois quarts d’heure, même Hella était contente de retrouver la voiture !
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Après trois jours de mauvais temps, enfin une belle journée ensoleillée.
Nous en avons donc profité pour nous rendre de nouveau à Doëlan, mais cette fois rive gauche.
Hella est un toutou modèle : quand on s’arrête pour contempler le paysage et prendre des photos, elle se couche et attend sagement le signal du départ.
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Très belle journée hormis quelques averses en matinée.
Balade à Doëlan puis détour par le port de Merrien pour acquérir quelques huitres.
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Après quatre jours chez mon amie Jeannette et son compagnon Philippe à la Chapelle du Bois (tout près de La Ferté Bernard) dans la Sarthe, nous avons pris le chemin de la Bretagne.
Chez Jeannette, nous avons fait le plein de bons produits du terroir, notamment les œufs des poules de la maison, rillettes et rillons, boudin noir, etc. Et surtout, nous avons fait le plein de sommeil !!! Plus de neuf heures par jour !
Nous voilà donc pour douze jours en Bretagne. Nous avons roulé sous la pluie jusque Rennes, puis la pluie a cessé et nous sommes arrivées à Kergroës juste avant la nuit, sous un soleil couchant très prometteur pour demain.
Hella, manifestement, se sent très bien chez « la » Jeannette !
Je profite du beau temps pour bouquiner sur la terrasse.
Ipso, le chien de la maison, fait connaissance(ou plutôt re-connaissance car il la connaît déjà !) avec Hella !
La jolie rocaille avec bassins et fontaine.
A l’arrière, vue sur la mare, le chalet (à gauche, invisible sur la photo) et les deux brebis à qui revient la tâche de tondre le terrain… Mais en raison de la surface, deux nouvelles brebis devraient arriver au printemps.
Philippe pèche dans la mare et les poissons pris seront mis dans le bassin au milieu de la rocaille.
Le coq Daniel (!) et une de ses poules.
Lorsque Philippe coupe des pommes, oies et brebis se disputent les morceaux !
Malgré tous ses efforts, Hella n’a pas réussi à séduire Félicie, la chatte de la maison, suffisamment pour qu’elle consente à jouer avec elle. Mais elle a toléré sa présence sur son territoire, ce qui n’est déjà pas mal !
Monique et Jeannette, la veille de notre départ.
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Dans la Sarthe hier en début de soirée. Coucher forcément un peu tardif mais lever à 9h. En ouvrant les volets, voici le paysage que nous avons vu :
Le reste de la journée, farniente ! Le bonheur !!! Mais ce soir, nos amis ont repris leur rythme habituel: il est 23h et tout le monde est déjà au lit ! Ça fait drôle !!!
Nous étions jeudi et vendredi en week-end décalé à La Petite Pierre en Alsace.
Nous avions réservé une nuit à l’Auberge d’Imsthal, un hôtel « Relais du Silence » situé en pleine nature, à l’orée d’une forêt. A proximité, un étang et un banc.
Ce n’était pas le grand beau temps, mais il ne pleuvait pas ; nous partons donc immédiatement pour profiter des belles couleurs de l’automne.
Puis nous reprenons la voiture pour aller jusqu’à La Petite Pierre :
Heureusement, Hella n’était pas avec nous ; elle se serait demandé si cette pancarte la concernait vraiment :
Après une loooooongue et bonne nuit, nous constatons qu’il pleut… Le temps de prendre le petite déjeuner, la pluie a cessé mais le temps reste incertain. Nous décidons d’aller visiter le musée Lalique à Wingen sur Moder, ouvert en juillet 2011 et créé dans le village où René Lalique avait implanté sa verrerie en 1921 :
Lorsque nous sortons du musée, un soleil radieux illumine la campagne. Sur la route qui mène à Saverne, les couleurs sont belles :
Monique, la photographe photographiée !
Arrivées à Saverne, nous nous garons à proximité du château des Rohan :
Puis nous pénétrons dans l’église Notre-Dame-de-la-Nativité :
Après une courte halte au magasin Méphisto à Sarrebourg où j’ai fait flamber la carte bleue, retour à la maison après un détour chez une copine pour récupérer Hella, manifestement heureuse de nous revoir !
Pour voir plus de photos, réalisées par Monique Colin, cliquer sur l’album ci-dessous :

Au coeur de cet été sans vacances pour moi, j’ai décidé de prendre deux jours de congé ; nous avons passé hier et aujourd’hui dans les Ardennes.
Nous commençons par Sedan, ville d’art et d’histoire marquée par les différentes guerres.
Le château-fort, construit en 1424 sur ordre d’Evrard de la Marck, est ensuite agrandi et renforcé par ses descendants pour atteindre 35000 m². Huit princes et une princesse feront de ce château-fort le plus grand d’Europe.
Pendant plus de trois siècles, il restera domaine de l’armée française. En 1962, la ville de Sedan le rachète pour le franc symbolique.
A proximité se dresse le Palais des Princes, mêlant le style Renaissance italienne et classicisme français. Construit en 1613 sur les plans de l’architecte Samuel de Brosse.
Nous rejoignons un village à 20 km de Charleville-Mézières où nous avons réservé une chambre d’hôtes.
Le lendemain matin, après une longue nuit, nous sommes fraîches et disposes pour découvrir Charleville-Mézières, ville dédiée à Rimbaud. Hélas, le musée Rimbaud est fermé pour restauration…
Nous avions eu l’information sur Internet et savons qu’une salle est consacrée au célèbre poète dans l’enceinte du musée de l’Ardenne. Mais nous nous rendons auparavant à La Maison des Ailleurs située 7 Quai Arthur Rimbaud.
Le poète Jean Nicolas Arthur Rimbaud, né à Charleville le 20 octobre 1854, est le deuxième de cinq enfants. Le père, Frédéric, capitaine d’infanterie, ne rentre au foyer conjugal que lors de rares permissions, le temps de faire un enfant à son épouse… Après la naissance du 5e enfant, il disparaîtra carrément.
Cette bâtisse n’est pas la maison natale du poète ; il y vécut de 1869 à 1875, par intermittence, car l’adolescent est un grand fugueur !
L’exposition est sur deux étages et mêle son et image.
Au rez-de-chaussée, on entend des extraits de la dernière lettre de Rimbaud, mourant à Marseille, des extraits du poème Eternité et un violoncelle chaotique.
Au 1er étage, quatre pièces évoquent différents épisodes de l’adolescence du poète. Dans la pièce qui fut sa chambre, on voit des vers défiler sur les murs. Il y a la salle dédiée à son séjour à Paris, puis celle de Londres et enfin celle de Bruxelles. Dans chacune de ces salles, des montages vidéo qui mettent en valeur la poésie rimbaldienne.
Le 2e étage est consacré aux voyages de Rimbaud qui a délaissé la poésie. Il marche à travers l’Europe puis se rend en Afrique où il deviendra marchand d’armes.
Hella l’indésirable dans le musée attend à l’extérieur avec Monique, dans la cour à l’arrière de la maison :
Je sors de l’exposition un peu sonnée et émue par l’atmosphère très étrange qui règne dans cet espace dédié au poète.
En face de la maison, sur le quai, sont installées depuis octobre 2011 18 chaises-poèmes réalisées par l’artiste québécois Michel Goulet.
Des textes de Rimbaud sont gravés sur l’assise et renvoient à des extraits proposés par des poètes contemporains :
Puis nous nous rendons Place Ducale où se trouve le musée de l’Ardenne. Dans les rues, partout flotte l’âme du poète.
Tandis que je flâne dans l’aile réservée à Rimbaud – en attendant que le musée soit de nouveau ouvert – Monique se promène avec Hella sous les arcades :
Après déjeuner, nous faisons un détour par le cimetière pour nous recueillir sur la tombe du poète :
Puis nous reprenons la route et nous arrêtons à divers points panoramiques pour admirer les boucles de la Meuse :
En fin d’après-midi, nous reprenons la route du retour, via la Belgique et le Luxembourg.
Seul bémol à ce beau « week-end », une fâcheuse rencontre avec une biche, sur la voie rapide. Pour nous, plus de peur que de mal, mais les dégâts sur l’avant de la voiture sont assez conséquents…
Pour voir d’autres photos, réalisées par Monique Colin, cliquer sur l’album ci-dessous :

Pour clore la saison de notre association Cercle des Arts Laxou-Champ-le-Boeuf dont Monique est la présidente et moi-même la secrétaire, nous avions organisé ce samedi de Pentecôte une excursion d’une journée en Alsace bossue, cette excroissance au nord ouest de l’Alsace qui empiète géographiquement sur le plateau lorrain.
Première visite : l’habitat troglodytique à Graufthal avec un guide local.
Ces maisons n’ont pas été taillées dans la roche, mais les habitants ont profité d’excavations naturelles dans la paroi rocheuse pour construire leurs maisons. Ainsi, ils économisaient les murs et tout ou partie du toit ; ils n’avaient plus qu’à aménager la façade.
L’aménagement est plutôt rudimentaire… mais dans l’une des trois maisons, habitées encore dans les années 50, le sol est recouvert d’un plancher et elle est équipée de l’électricité !
Les outils sont pareillement rudimentaires et il faut aller puiser l’eau à la fontaine du village, en contre-bas des maisons troglodytiques.
Pour passer d’une habitation à une autre, un passage étroit. Ici, on a sauté un siècle en arrière !!!
Nous reprenons le bus pour nous rendre à Schoenbourg où Rodolphe, notre guide accompagnateur durant toute cette journée, nous présente l’habitat rural ancien avec les différentes portes plus ou moins richement décorées où il importait qu’elles se distinguent les unes des autres !
L’habitat rural, traditionnellement flanqué d’une écurie et d’une étable, se caractérisait par le nombre des fenêtres : plus il y en a, plus le propriétaire est riche !
Après le déjeuner à l’auberge d’Imsthal où nous avons la chance de pouvoir profiter de la terrasse tant il fait chaud, nous allons visiter La Petite Pierre, sa ville haute et son église richement pourvue de fresques et de pierres tombales:
Pour finir cette belle journée à la fois culturelle et récréative dans une ambiance conviviale avec un guide passionné par l’histoire de sa région natale et doté d’un humour très apprécié de tous, nous allons à Domfessel pour visiter son église fortifiée du XIVe siècle :
Dans un aussi petit village, l’édifice impressionne.
Dans la tour, accessible par un escalier en colimaçon étroit et aux marches usées et inégales, nous accédons à la machinerie du clocher.
Nous quittons l’Alsace bossue vers 17h30 pour rejoindre Laxou.
Après cette journée de canicule et d’activité autant physique qu’intellectuelle, nous sommes tous bien fatigués mais très contents de cette superbe journée.
Merci à Rodolphe pour ses commentaires et le partage de sa passion, et à Monique pour les photos. Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :

Nous étions hier à Liège en Belgique, avec l’Association Sportive et Culturelle de Saulxures-lès-Nancy, section Histoire de l’Art.
Départ à 7h pour une arrivée à Liège vers 11 h 30. La visite commence avec un guide local qui nous entraîne dans la cathédrale Saint-Paul. La collégiale romane date du Xe siècle. Elle est reconstruite en style gothique du XIIIe au XVe siècle :
Christ en bronze (Del Cour XVIIe siècle)
Christ gisant (Del Court XVIIe siècle)
Puis nous suivons le guide jusqu’au coeur historique de la ville :
Nous déjeunons dans le restaurant du musée du Grand Curtius. Un menu de spécialités (boulettes de veau à la liégeoise et purée de pommes de terre et gaufre de Liège et sa glace au moka) avait été réservé. Malheureusement, plus de boulettes pour tous… nous avons droit à une tajine de poulet à la place… La gaufre en revanche était bien au rendez-vous !
Après le déjeuner, nous partons pour une visite d’une heure avec guide local du Musée des Beaux-Arts :
Puis nous nous dirigeons vers le quai Van Beneden pour rejoindre le bateau « La Sarcelle IV) pour une balade d’une heure sur la Meuse :
De retour sur la terre ferme, nous profitons d’une heure et demie de temps libre. Nous flânons un peu et nous acheminons lentement vers le parking où nous attend le bus.
Il est 20 h 30 lorsque nous quittons la Belgique, bien fatiguées mais des images plein la tête. Et maintenant, nous n’avons qu’une hâte, rejoindre vite la Lorraine pour aller chercher Hella chez la nounou !
Merci à Yvonne pour la belle organisation de cette excursion et à Frédéric pour sa bonne humeur durant toute cette journée.
Les photos, comme d’habitude, sont de mon amie Monique Colin. Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :

Nous sommes bien arrivées hier en Lorraine après une traversée Ajaccio-Toulon très agréable. Comme souvent, le temps s’est dégradé après Lyon et de 25°C en Corse, nous sommes passées à 14°C en arrivant à Nancy !!! Heureusement, la chaudière n’a pas rechigné à se remettre en route…
Pour ceux qui n’auraient pas suivi nos pérégrinations quotidiennes en Corse sur ce blog, ci-dessous un album photos récapitulatif.

Et un tout spécial pour les amoureux des couchers de soleil :

Avant-dernier jour… Nous avons repéré un petit circuit sympathique entre mer et montagne : Cargèse-Sagone-Tiuccia-Calcatoggio-Sari d’Orcino-Casiglione- Tiuccia-Sagone-Cargèse. Malheureusement, il fait « trop » beau et c’est donc brumeux :
Dernière journée en Corse demain. Départ de Cargèse vers 17h pour un embarquement à Ajaccio à partir de 18 h 30 et appareillage à 22 h 00 pour une arrivée à Toulon à 6 h 00. Et retour en Lorraine… Bien sûr, les vacances ont passé vite… Mais il faut bien rentrer pour pouvoir repartir ! Et je sais que beaucoup de boulot m’attend dès lundi.
Les prochaines vacances ? Eh bien… pas avant novembre ! Cela va être long ! Mais nous avons quelques escapades prévues pour briser la monotonie !
Après Bastia et la balade en mer, nous avons décidé de nous reposer un peu les trois derniers jours de nos vacances afin de ne pas reprendre le boulot sur les rotules !
Nous avons donc fait une toute petite marche d’une heure en direction de la Pointe d’Omigna – que l’on voit très bien de la maison – mais sans aller jusqu’au bout car il aurait fallu une heure de plus et il faisait fort chaud !
Au loin, la fameuse tour génoise :
Sur le chemin du retour, vue panoramique sur la plage du Pero :
et sur l’ensemble des logements de vacances. Nous résidons dans celle de gauche, qui se trouve dans la partie supérieure de la photo, au dessus de la barre blanche, séparée de nos voisins par un palmier.
Comme chaque soir, nous avons rendez-vous avec le soleil. Un bateau passe entre les deux buttes (à l’endroit marqué « bateau »… je n’ai pas réussi à insérer une flèche…) :

Départ à 10h du port de Cargèse pour une balade en bateau avec la compagnie NAVE VA site www.naveva.com . La semaine dernière, la mer était trop « mauvaise » pour que les bateaux puissent partir. Ce matin, la mer est d’huile ; la promenade en mer aura donc lieu. Voici le tracé sur la carte :
Nous sommes une centaine à bord du Capo Rosso dont une dizaine d’enfants et un chien ; je vous laisse deviner qui a enquiquiné les passagers tout au long de la journée !…
Le bateau de 19 m de long a embarqué à Sagone la majorité des passagers. De Cargèse, il longe les calanques de Piana jusqu’à la réserve naturelle de Scandola :
La saison commence à peine et déjà, nous devons attendre notre tour pour pénétrer dans une faille :
Deux rochers formant deux visages s’embrassant ardemment : l’ensemble est baptisé « le baiser » :
Nous débarquons à Girolata pour une courte escale de 30 mn. Juste le temps de se dégourdir les jambes :
Puis le bateau met le cap sur Porto où nous ferons un arrêt de deux heures pour déjeuner avant de repartir longer les calanches de Piana. Le paysage est grandiose. Les aiguilles rocheuses s’élancent à plus de 300 m au dessus du niveau de la mer et les eaux sont limpides avec des fonds très peu profonds :
Nous débarquons au port de Cargèse un peu après 17 h 00, un peu grisées par le vent et la vitesse du bateau entre les dernières calanques de Piana et Cargèse.
Nous avons le temps d’effectuer quelques courses, de nous changer et de prendre l’apéro avant le spectacle du coucher du soleil :
Levées à 5h, nous nous rendons à Ajaccio pour prendre le train qui doit nous mener à Bastia en traversant la Corse en diagonale via Corte. C’est une première pour Hella qui manifeste une certaine inquiétude mais qui très vite se calme et s’endort :
Le trajet dure quatre heures ; les paysages sont très beaux, parfois vertigineux :
Arrivées à Bastia à midi, nous déjeunons à la terrasse d’un restaurant. A 14 h 00, nous prenons le petit train touristique qui nous emmène à travers la ville à la citadelle :
Nous passons devant l’ancien palais des gouverneurs, le musée et la cathédrale Sainte Marie où nous accompagne une guide locale :
La cathédrale a été construite à Bastia, résidence des évêques, entre 1600 et 1622, sur une ancienne église datant de la fin du XVe siècle. Cette première église était en effet devenue trop petite pour contenir la foule des fidèles.
Puis nous entrons dans l’Oratoire de la confrérie de la Sainte Croix,. la plus ancienne des confréries de la ville puisqu’elle date du début du XVe siècle. L’oratoire au style rococo a été classée Monument Historique en 1931. Elle abrite un Christ noir, trouvé en 1428 par deux pêcheurs bastiais au large de la ville. Pour la petite histoire, ce Christ a été ramené au vieux port et veillé durant la nuit par de pieuses Bastiaises. Malgré leur vigilance, il fut retrouvé au matin accroché aux branches d’un arbre. A cet endroit précis fut élevée la chapelle.
De là, nous allons à pied vers la jetée du vieux port. Vue d’ensemble du port et de l’église Saint-Jean-Baptiste :
Un arbre étrange portant d’étranges fruits :
Puis nous nous dirigeons vers l’église Saint-Jean-Baptiste (à noter qu’il en existe une dans chacune des villes que nous avons visitées en Corse !) :
Un peu avant 17 h, nous reprenons le train en direction d’Ajaccio :
Arrivées à 20 h 30 à Ajaccio, nous sommes allées dîner en ville et n’avons donc pas vu le soleil se coucher…
Aujourd’hui, nous avons beaucoup flemmardé, bouquiné, joué, papoté… L’après-midi était donc déjà bien avancé lorsque nous avons décidé de nous rendre à Ajaccio pour assister au coucher de soleil sur la mer ; ici à Cargèse, une pointe de terre nous empêche de le voir plonger dans l’eau.
Nous avons donc traversé la ville pour nous rendre à la sortie à la Pointe de Parata dominée par une tour génoise érigée au début de 17e siècle :
On arrive au bout de la pointe par un sentier aisé et on découvre les fameuses Iles Sanguinaires au nombre de quatre. L’origine du nom de cet archipel est assez mystérieux. Certains disent qu’il est dû au reflet du soleil couchant sur les roches. D’autres pensent qu’il fait allusion aux petites fleurs roses dont les feuilles virent au rouge vif en automne. D’autres encore prétendent que le nom vient du golfe de Sagone ; en effet, des cartes géographiques antérieures à la création d’Ajaccio mentionnent les îles Sagonnaires dont le nom aurait été ensuite déformé. Enfin, il pourrait venir des pêcheurs de corail surnommés « i sanguinari » qui, de retour d’Afrique, étaient mis en quarantaine sur l’une des îles.
Installées sur un muret, nous devons patienter une heure… Hella ne trouve pas le temps long car de nombreux chiens accompagnent leurs maîtres. Et quand ils partent, elle reprend sa contemplation :
Enfin le soleil s’approche de la ligne d’horizon :
Nous décidons cet après-midi de faire une petite excursion jusqu’aux gorges de Spelunca, entre Evisa et Ota. En chemin, quelques belles rencontres :
Le paysage est toujours aussi beau :
Malheureusement, la route qui mène aux gorges et à un pont génois est barrée ! Obligées donc de faire un détour pour aller à Ota, un village perché dans la montagne et qui domine la rivière de Porto :
Hélas, la route qui mène aux gorges est également barrée peu après la sortie du village. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois ! Nous faisons donc demi-tour et rentrons par Porto :
Avant d’affronter de nouveau la route sinueuse des calanques de Piana, nous faisons une halte pour nous désaltérer. Hella semble autant que nous émerveillée par le paysage :
Sur la route, une tour génoise et une jolie fontaine typique :
Et comme chaque soir, un magnifique coucher de soleil :
Départ vers 10h pour Calvi. Il n’y a qu’une centaine de kilomètres, mais il nous a fallu trois heures pour effectuer ce trajet très sinueux même au-delà des calanques de Piana.
La ville, située au nord de la Corse du Nord, au bord de la mer, n’est pas très grande et sa citadelle est son principal attrait.
Vue sur le port :
L’église Saint-Jean-Baptiste :
Vue partielle sur la ville :
A une dizaine de kilomètres à l’ouest de la ville, une petite route mène dans le maquis à une chapelle, Notre-Dame de la Serra, à travers un paysage très curieux constitué d’un chaos de roches :
La chapelle surgit du maquis. Entourée d’un mur, elle bénéficie d’un large escalier qui nous mène jusqu’à la terrasse qui domine la baie de Calvi. La chapelle a été édifiée au 19e siècle, sur les ruines d’un sanctuaire datant du 15e siècle :
Du haut de son rocher, Notre-Dame de la Serra regarde la baie de Calvi et la citadelle :
En contre-bas, un très joli cimetière :
Sur les hauteurs, des monts neigeux dont le plus haut culmine à plus de 2700 m :
Et pour finir cette belle journée, un beau coucher de soleil :
Mais à l’heure où j’écris ces lignes, un peu avant minuit, j’entends la chanson de la pluie…
Grasse mat’ bien méritée après la journée épuisante d’hier !
En début d’après-midi, nous mettons le cap de nouveau vers Piana pour un petit circuit de proximité en direction de la plage d’Arone et du Capo Rosso :
Au loin, trônant sur la montagne, la tour génoise Turghio à la pointe du Capo Rosso :
Nous sommes de retour bien avant le coucher du soleil mais je le guette et ne le rate pas !
Levées à 5 h 30 pour prendre le train à 8h à Ajaccio à destination de Bastia, nous l’avons finalement raté de peu à cause d’une voiture qui avançait à l’allure d’une tortue ! Alors que les Corses roulent comme des fous furieux, doublant dans les virages sans se soucier de la ligne continue, cette conductrice (puisque c’était une femme… j’entends déjà les commentaires machistes de mes lecteurs !) n’avançait pas et Monique n’est pas assez inconsciente pour doubler sans visibilité. Arrivées à la gare cinq minutes avant le départ du train, aucune place de parking de libre. Nous avons donc abandonné notre projet et mis le cap sur Bonifacio !
Courte halte en cours de route pour admirer des roches en forme de… tortue !
Nous poursuivons vers Bonifacio où nous arrivons à midi ! En Corse, les distances ne veulent rien dire, c’est la nature de la route qui détermine les temps de route. Mais peu importe maintenant car la vue est splendide. Dommage, encore une fois, que le grand beau temps ne soit pas au rendez-vous…
Munies d’un plan, nous effectuons un tour de ville et de la citadelle :
Visite de l’église atypique Saint Jean-Baptiste :
Avant de rejoindre le parking, je fais un tour sur le chemin de ronde pour prendre quelques clichés :
Avant de reprendre la route du retour, nous prenons le chemin qui mène au sémaphore afin d’avoir une vue d’ensemble et de face sur la citadelle et la ville :
Nous reprenons la route vers Cargèse où nous arrivons juste à temps pour assister au coucher du soleil et au lever de la lune :
Une journée longue et fatigante, mais de belles images en tête que j’ai plaisir à partager avec vous !
Grasse matinée et farniente jusque midi, lecture sur une chaise longue du solarium d’où la vue est encore plus somptueuse :
En début d’après-midi, départ pour un petit circuit Cargèse-Vico-Evisa-Cargèse.
Nous commençons par le couvent Saint-François à proximité de Vico :
Nous poursuivons en direction d’Evisa où se trouve une cascade avec des piscines naturelles. Malheureusement, le chemin facile au début au milieu d’une forêts de pins, devint assez scabreux et nos jambes de quinqua et sexagénaire ne nous permettent pas de poursuivre sans risque…
Au loin, le village Ota :
Retour par les calanches de Piana. Sur notre routes, de nombreuses rencontres :
Il manque les cochons noirs, mais ils ont été tellement rapides à venir encercler la voiture que nous n’avons pas pu les photographier, à moins de baisser la vitre et de se pencher au dehors… Courageuse, mais pas téméraire !!!
Au retour, encore un beau coucher de soleil :
Pas de pluie aujourd’hui, mais un temps passablement brumeux et frisquet.
Après le déjeuner, nous décidons d’aller faire une balade d’une heure au départ de Cargèse.
Au retour, une jolie vue sur le village :
Une jolie fleur dans le premier jardin rencontré :
Et pour clore cette belle journée, un superbe coucher de soleil :
Il a plu une partie de la nuit dernière et toute la matinée. Vers midi, la pluie cesse et la brume se lève un peu. Nous décidons de nous rendre aux calanques de Piana, au nord de Cargèse.
En attendant, Hella s’occupe en rognant une godasse en buffle :
Le site des calanques de Piana est grandiose. Les roches rouges surgissent soudain au détour d’un virage. Dommage, le beau temps n’est pas au rendez-vous. Nous espérons pouvoir y retourner dans quelques jours, quand le beau temps sera revenu, et que les roches rouges trancheront sur le bleu du ciel et de la mer.
Après une nuit plutôt longue en comparaison avec celles que nous passons chez nous, nous nous levons à 6 h 00. L’arrivée à Ajaccio est prévue à 7 h 00 et dès 6 h 15, les haut-parleurs nous rappellent régulièrement l’arrivée du bateau en Corse. Tandis que Monique se douche, je sors Hella sur le pont supérieur, mais à peine installée dans le fameux carré, elle bondit en dehors du « pipi space ». Je décide donc de descendre du bateau avec les piétons. Mais hélas ! il n’y a que du béton partout et je crains de m’éloigner. Hella, très philosophe, se couche à mes pieds et nous attendons donc que Monique sorte du ventre du ferry ! Dès qu’elle arrive, nous nous dirigeons vers la gare toute proche pour nous renseigner sur les horaires et le coût d’une carte « liberté » d’une semaine. Auparavant, nous guidons Hella vers une bande herbeuse. Ouf ! elle se pose immédiatement. Cette chienne est vraiment extraordinaire !
Après les informations obtenues au guichet de la gare, nous allons prendre un petit déjeuner dans un café tout proche. Puis nous prenons la route pour Cargèse. La maison est belle et la vue à couper le souffle :
Dans l’après-midi, nous allons faire un tour dans Cargèse et visitons les deux églises, dont une orthodoxe :
En fin de journée, nous assistons à un beau coucher de soleil :
Nous quittons Nancy vendredi25 avril à 9 h 00, direction Toulon où nous prendrons un ferry pour Ajaccio.
Nous arrivons sans encombre à Toulon vers 18 h 00. Nous pouvons donc immédiatement embarquer. Enfin, quand je dis immédiatement, cela dure quand un peu plus d’une heure avant que nous puissions rejoindre notre cabine. Le bateau est presque aussi beau que ceux que nous avions pris pour nos deux croisières, mais surtout, contrairement à nos cabines lors des croisières, celle que nous avons sur ce ferry a un grand hublot de forme rectangulaire !
Le temps d’un sandwich et nous pouvons assister au départ à 21 h 00 pile.
Une fois n’est pas coutume : nous nous retirons dans notre cabine vers 22 h 00. Hella n’a pas voulu faire son pipi dans l’espace dédié (un carré rempli de cailloux !…) Nous ne sommes pas inquiètes, car contrairement à Véga qui se soulageait là où ça lui prenait, sans se soucier de savoir si elle avait sous elle un carré d’herbe, du macadam ou de la moquette ! Hella en revanche a besoin d’herbe ! La pauvre bête devra donc attendre le lendemain matin…
Nous avons quitté la Bretagne sous le soleil qui nous a suivies jusque Nancy.
Tandis qu’il se couchait derrière nous, la lune se levait devant nous :
Pour voir toutes les photos de nos vacances, cliquer sur l’album ci-dessous :

Comme il faisait beau, sans vent, nous décidons d’aller nous promener sur le sentier côtier du Kérou pour bénéficier de sa lumière très particulière (cf la 4e de couverture du tome 4 de ma saga). Un grand soleil brille dans le ciel bleu tandis que nous cherchons une place pour nous garer.
Lorsque nous arrivons sur le bord de mer, surprise ! une brume assez épaisse nous empêche de voir le paysage si familier. Pourtant, le soleil est bien là, petit rond jaune dans le ciel blanc, comme une lune en plein jour.
Après notre balade, nous faisons un crochet par le port du Bélon : même brume !
Et de retour à Kergroës, la brume nous a rattrapées ! Là, ce soir, elle a envahi le jardin ! Espérons que la nuit l’emporte avec elle…
Encore une belle, chaude et ensoleillée journée sans un poil de vent.
Au départ de Toul Douar, nous prenons le sentier côtier en direction du Pouldu :
Encore une belle journée ensoleillée hier, un peu moins chaude à cause du vent.
A la sortie de Kervelan, nous avons garé la voiture et découvert un étrange paysage : une langue de terre permet d’avancer dans l’océan et d’avoir une vue sur la côte à gauche et à droite ainsi que, en se retournant, sur le goulot où s’engouffre la mer à marée montante.
De là, deux solutions : suivre le sentier côtier à gauche en direction de Kérou (Pouldu) ou de Doëlan. Nous choisissons cette seconde option et arrivons à la Roche percée :
Depuis notre dernier passage, il y a quelques années, le paysage a changé. L’arche s’est encore affinée, des morceaux de roche se sont encore détachés. D’ailleurs, un écriteau prévient du danger… Un jour, cette arche naturelle aura disparu.
De retour à la voiture, le soleil est déjà bien bas :
Hier, invitées chez la voisine, Hella cloîtrée seule à la maison car la voisine a un chat qui n’aime pas les chiens !
Et aujourd’hui, pas de balade non plus car jour de bricolage ! La maison demande toujours de nouveaux aménagements et les choses ne se passent jamais comme elles le devraient !
Il s’agissait cette fois de visser des plaques au sol des combles pour faciliter la marche, en prévision du prochain changement du chauffe-eau par un cousin. Mais les plaques achetées en octobre dernier finalement ne conviennent pas ou ne suffisent pas ; Monique est donc partie à Lorient, au Leroy-Merlin.
En l’attendant, je bouquine en T-shirt sur la terrasse tandis que Hella se dore la pilule, vautrée dans l’herbe !
J’en connais qui boulonnent en Lorraine et qui hument en vain leur ordinateur à la recherche des embruns que je leur envoie… Aujourd’hui, pas d’embruns !…
Encore une belle, chaude et ensoleillée journée. Heureusement, une bonne brise faisait moutonner l’océan !
Balade encore à Doëlan, ce très joli petit port de pêche, mais cette fois rive gauche que nous découvrons ! C’est fou que depuis plus de quinze ans, nous n’ayons encore jamais expérimenté ce sentier côtier ! Il est d’ailleurs très agréable, pas très escarpé et bien aménagé.
Un bateau de pêcheur rentre au port, escorté par des mouettes :
Sur une avancée de terre, un calvaire se dresse, très rudimentaire mais très émouvant dans son expressivité :
Journée un peu grise aujourd’hui, sans soleil ni pluie ni vent. Donc mer étale et en plus, à marée basse…
Un cormoran fait sécher ses ailes :
Ban de sable où la Laïta se mélange à l’océan :
Heureusement qu’il n’y a plus de pellicule, car pour avoir une photo où Hella est « visible », il faut « gâcher » quatre ou cinq clichés !
Sur le chemin du retour, arrêt à la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix dans le village du Pouldu. C’est la première fois que nous voyons sa porte ouverte ! Nous nous engouffrons :
Après un mardi très pluvieux, nous avons eu hier une très belle journée. Nous en avons profité pour aller nous promener sur le sentier côtier du Kérou. Malheureusement, Monique avait oublié son appareil photo !… Oui oui, cela arrive !!!
Aujourd’hui, de nouveau une superbe journée avec ciel bleu, chaud soleil et mer calme. Trop calme, d’ailleurs, car du coup, plus de belles vagues. Et à Doëlan comme au Kérou, les sentiers côtiers sont partiellement interdits au public car des pans de falaise se sont éboulés. Les plages et les rivages en général ont beaucoup souffert des multiples tempêtes de cet hiver.
Nous savions qu’il nous serait impossible de nous balader sur le sentier côtier à cause de la pluie mais surtout du grand vent.
Aussi avons-nous décidé de nous rendre à Trenez pour admirer l’océan en mouvement :
En route pour la Bretagne vendredi 28 février, nous avons fait halte à la Ferté Bernard chez ma meilleure amie, Jeannette, et son compagnon Philippe.
Nous avons passé deux soirées délicieuses et deux très très grandes nuits !
Nous avons également fait connaissance avec Ipso, le nouvel ami à quatre pattes de Jeannette et Philippe : Ipso est un ratier de sept mois très gentil, très câlin, mais aussi très jaloux ! Hella et lui ont beaucoup joué, sous les yeux tour à tour inquisiteurs et réprobateurs de la chatte Félicie.
Au moment de rependre la route pour la Bretagne, nous avions dans nos bagages un sac supplémentaire contenant une baguette, un pot de rillettes du Mans et… deux oeufs d’oie !!! Ils sont monstrueux ! Un seul suffit à rassasier un homme ! Pour se rendre compte de la grosseur de l’oeuf, considérez le verre sur lequel il repose, un coquetier habituel ne pouvant évidemment pas contenir un oeuf d’oie !
Sur la route, beaucoup de pluie et un peu de vent. Mais la tempête annoncée, c’est pour demain !
Nous étions dimanche et lundi en week-end décalé pour une petite balade en Suisse et en Italie.
Parties dans la nuit de samedi à dimanche, à 4 h 15 de Dombasle, nous avons tout de suite sombré dans le bus car, bien sûr, nous ne nous étions pas couchées ! C’est habituellement l’heure à laquelle nous nous couchons le samedi.
En soirée, nous étions allées déposer Hella en pension chez une copine qui a également une chienne, Isia, que Hella connaît bien puisque nous l’avons gardée plusieurs fois. Pour Hella, en revanche, c’était la première fois qu’elle partait en pension…
Petit déjeuner en Suisse sous un soleil radieux :
Nouvel arrêt, toujours en Suisse, pour déjeuner puis arrivée à la gare de Thusis où nous prendrons le chemin de fer rhétique pour aller jusqu’à Saint-Moritz en traversant l’Albula :
Les paysages sont magnifiques, malheureusement difficiles à photographier à travers la vitre du wagon :
La quantité de neige est impressionnante et surtout insoupçonnée de la vallée !
Arrivée à Saint-Moritz. Petit arrêt d’une heure avant de reprendre le bus. Devant nous, le lac… gelé :
Puis départ pour le lac de Come. Nous dormons à Cadenabbia et, le lendemain, traversée du lac avec un bac jusque Bellagio :
Après le déjeuner, départ pour Come avant de reprendre le chemin du retour :
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Un week-end en décalé, c’est épatant ! D’autant que mes week-ends à la maison sont souvent des journées travaillées à temps partiel !… Alors que là, c’était un vrai week-end sans téléphone ni ordinateur.
Nous sommes parties hier midi pour arriver à Strasbourg à 14 h 00, heure à laquelle nous pouvions prendre possession de notre chambre au château de Pourtalès, un hôtel de charme trois étoiles.
Situé à l’écart de la ville, au nord-est de la Robertsau, l’ancien faubourg maraîcher de Strasbourg, il est entouré d’un grand parc arboré.
Une fois installées, nous avons garé la voiture au terminus du tram et avons donc emprunté les transports en commun (pris de deux billets A/R compris dans le prix du parking = 3,50 € !) pour nous rendre au centre-ville. De la Place de la République, nous allons à pied jusqu’à la cathédrale puis flânons un peu dans le quartier avant d’aller dîner.
Tandis que nous déambulons dans la cathédrale, Hella sagement installée dans un sac à bretelles que je porte devant, comme les mamans portent parfois leur bébé, deux individus s’interposent ; l’un d’eux nous demande assez sèchement de quitter les lieux, les chiens n’étant pas autorisés. J’essaie d’argumenter : notre chienne ne fait pas de mal, elle ne peut pas laisser de salissures sur le sol et elle n’aboie pas. Mais le bonhomme n’a pas l’air de vouloir discuter et répète son injonction d’un air menaçant. J’allais lui dire que notre chienne était une créature divine, car ce comportement péremptoire m’énerve. Mais Monique me tire par la manche et nous sortons. Comme elle dit : de toute façon, nous avons fait le tour ! Mais quand même ! Héla comme Véga est ainsi entrée dans de nombreuses églises, cathédrales et basiliques, sans aucun problème…
Après une bonne nuit – j’ai fait trois nuits en une ! – de sommeil, nous prenons un solide petit déjeuner. Hella nous attend dans la voiture car elle n’est pas autorisée à franchir la porte…
Nous prenons à nouveau le tram pour aller faire une balade en bateau-mouche. Nous avions repéré le quai la veille ainsi que les horaires. Malheureusement, arrivées sur place, on nous dit que les chiens ne sont pas autorisés à bord !!! Décidément, Hella n’est la bienvenue nulle part, dans cette ville ! Car ce n’est pas la première fois qu’elle monte dans un bateau. En Bretagne, en Belgique et même en Italie (où les chiens ne sont pas toujours les bienvenus…), nous avons toujours pu profiter des balades en bateau avec nos cabots. Mais là, niet, la dame au guichet est aussi inflexible et peu aimable que le type de la veille dans la cathédrale ! En désespoir de cause, très déçues, nous partons à pied découvrir « La Petite France ».
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Les vacances sont terminées !… La dernière journée fut très belle et nous n’avons pas regretté de l’avoir raccrochée. Surtout que sur la route aujourd’hui, nous avons évité les camions et les bouchons de l’après-midi aux abords de Paris.
Nous avons donc fait le plein d’air iodé, de crêpes, de galettes… pour tenter de tenir jusqu’au printemps prochain.
Demain salon du livre à Illange en Moselle et dès lundi, reprise du boulot avec un programme très chargé…
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Quelle bonne idée d’avoir prolongé notre séjour d’une journée ! Car le beau temps de ces deux dernières années nous avait privées des belles images de vagues écumeuses partant à l’assaut des rochers et de la plage et du chant lancinant de l’océan. Aujourd’hui, le ciel était gris et bas, mais nous avions le son et l’image, sur le sentier côtier du Kérou !
Belle journée aujourd’hui. Aussi avions-nous décidé de faire une balade en bateau au départ de Pont-Aven. Nous avons commencé par un repas de crêpes dans un restaurant à proximité du port. Puis nous avons pris une vedette pour une balade d’une heure et demie direction le large, puis une petite boucle jusqu’à l’embouchure du Bélon et retour par l’embouchure de l’Aven.
Nous avons finalement décidé de rallonger notre séjour d’une journée et ne rentrerons donc samedi et non vendredi.
Donc dernière journée demain et… kenavo Breizh !
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