Les vacances se terminent ; nous reprenons la route demain matin. La météo ne s’annonce pas très favorable pour conduire, mais nous n’avons pas le choix !…
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Archive pour la Catégorie 'Voyages'
Météo très mitigée : ciel bleu, pluie, vent, grêle…
Eglise de Saint-Thurien près de Bannalec et ci-dessous la chapelle de Saint-Cado près de Bannalec.
Malheureusement, ces deux édifices religieux étaient fermés… Dommage, car la chapelle Saint-Cado est réputée très jolie, avec notamment une magnifique charpente en forme de coque de bateau renversé… Ce sera peut-être pour une autre fois…
La Laïta est un fleuve côtier d’une vingtaine de kilomètres qui prend sa source à proximité de Quimperlé et se jette dans l’océan à la hauteur du Pouldu.
Mon podomètre cette fois a perdu la connexion en cours de balade ! Total d’environ 2,6 km par cette belle et douce journée du 11 novembre.
De l’abbaye Saint-Maurice, jolie promenade dans la forêt et le long de la Laïta.
Mon podomètre a déconné ! La ligne droite du point vert au point rouge est une erreur !
Nous avons fait la promenade en suivant le sentier côtier au départ du point rouge. En tout donc 2,2 km et non 3,6 !
Aujourd’hui, nous avons eu droit à l’océan comme nous l’aimons : dans les teintes gris et vert surmonté d’un ciel aux nuances de blanc, bleu pâle, gris souris, gris foncé et anthracite. Une merveille !
Pas de balade aujourd’hui par ce temps pluvieux. Alors nous en avons profité pour faire les magasins. Ce n’est pas la tasse de thé de Hella, mais elle est assez philosophe pour en prendre son parti et dormir dans le caddie !
Encore une belle journée. Trop belle d’ailleurs ! Car un ciel bleu et une mer d’huile ne sont pas nos paysages préférés ! Mais nous n’avons quand même pas boudé notre plaisir !
Malheureusement, à la fin de notre balade, le soleil a disparu derrière un rideau de brume…
Après deux jours passés chez nos amis sarthois, nous avons poursuivi notre route vers la Bretagne. Nous sommes arrivées hier avec le soleil.
Aujourd’hui, météo mitigée : soleil, ciel bleu et crachin.
Ipso, le chien de nos amis sarthois, a été aussi triste de nous voir partir qu’heureux de nous avoir vues arriver !
Hier à eu lieu la sortie annuelle de l’association Cercle des Arts de Champ-le-Boeuf : destination Verdun.
Nous étions 26, adhérents et non adhérents, à monter dans le minibus à 8h au départ du CILM (Centre Intercommunal Laxou-Maxéville).
Notre guide, Jean-Luc Quémard, nous attendait sur le parking du restaurant proche de l’ossuaire de Douaumont.
Ce monument, dont l’architecture évoque une épée rentrée dans la terre jusqu’à la garde, symbole d’un désir de paix durable, porte sur sa façade les écussons des villes qui ont contribué à son édification.
Composé d’un cloître de plus de 130 m de long contenant les ossements de 130 000 soldats inconnus français et allemands, d’une chapelle et d’une tour de 46 m de haut, le monument surplombe un immense champ de croix blanches où reposent plus de 16 000 soldats français. De part et d’autre de la nécropole nationale, un mémorial est consacré aux soldats de confession juive et un autre à ceux de confession musulmane.
Malgré la pluie, le sourire est là !
Puis nous prenons le chemin vers le village détruit de Douaumont. Avant d’aborder les choses graves, notre guide fait le clown !
Il nous raconte, de manière vivante et passionnée, le déroulement de la bataille et la disparition de ce village vidé de ses habitants. Pour indiquer l’emplacement des maisons, une borne est fichée en terre.
Puis nous nous rendons au fort de Douaumont, extérieur et intérieur. Les images se passent de commentaires.
Le dortoir des Poilus…
L’ambiance est glauque… l’imagination galopant, je manque d’air… Monique me surveille d’un oeil inquiet…
Une hirondelle vient mettre un peu de gaieté dans ce décor de désolation.
Notre guide a été tellement disert dans ses explications que nous sommes arrivés au restaurant « La Cloche d’Or » avec deux heures de retard ! Heureusement, le patron, joint par téléphone, fait preuve d’une extraordinaire bonne humeur et tolérance. Après un succulent repas, nous effectuons un mini-tour de la ville. Notre guide avait prévu beaucoup plus long, mais nous avons rendez-vous à la mairie de Verdun pour une visite commentée par Monsieur le Maire, et le retard pris en matinée ne se rattrape plus !
Le monument « A à la Victoire et aux soldats de Verdun, construit en 1929.
Le mess des officiers
La Porte Chaussée
Monument aux Enfants de Verdun morts pour la France.
Puis nous nous dirigeons à pied vers la mairie où nous reçoit en personne Samuel Hazard, maire de Verdun.
Livre d’Or de la ville récemment signé par François Hollande et Angela Merkel
Hélas, nous devons également abréger cette visite, car il est l’heure de partir ! Il y aurait encore tant de choses à voir : la cathédrale, le palais épiscopal, les quais, etc. Il faudra revenir !
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Pour cette dernière journée en Aveyron, nous décidons de nous rendre à Roquefort-sur-Soulzon, la cité du fromage, à une quarantaine de kilomètres au sud de Saint-Léons :
Il n’est malheureusement pas possible de visiter une cave de fromage avec Hella ; nous terminons dans le magasin d’une cave pour effectuer quelques achats avant de rejoindre Saint-Léons et commencer à préparer les bagages…
Le chemin du retour se fait sous la pluie et sur la terrasse, juste au pied de la porte d’entrée, gît un oiseau mort et détrempé…
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Aujourd’hui grande balade en voiture dans les Gorges de la Jonte jusque Florac puis retour par les Gorges du Tarn :
L’église de Quézac.
Arrêt sur l’aire des faucons
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Aujourd’hui, il a fait très chaud. Au programme, une petite excursion au lac de Pareloup, à environ 30 km de Saint-Léons où nous résidons pour les vacances.
Ce lac artificiel est situé entre Rodez et Millau, sur le plateau du Lévézou, à environ 800 m d’altitude. Il a une forme très particulière :
A notre retour, les roses nouvellement écloses nous accueillent !
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Grosse journée hier lundi 6 juin 2016.
Bien que levées relativement tôt, nous n’avons pas réussi à partir avant 11h !… Donc direction Albi et pique-nique en route.
Arrivées au parking extérieur de la cathédrale (une fliquette nous promet gentiment de ne pas nous verbaliser alors que nous n’avons pas de monnaie à glisser dans l’horodateur !), nous sommes saisies par l’aspect à la fois colossal et majestueux de la cathédrale toute en briques.
La cathédrale Sainte-Cécile a été construite à partir de 1282. Chef-d’oeuvre du gothique méridional, elle a été conçue pour lutter contre l’hérésie cathare et ainsi affirmer la puissance de l’Eglise Catholique. C’est la plus grande cathédrale de briques du monde.
Hella est prête, bien installée dans son sac, à visiter la cathédrale avec nous. Tandis que nous admirons les fresques, elle appréciera la fraîcheur des lieux :
L’intérieur abrite un décor exceptionnel – pas un cm² qui ne soit peint ! – dont le plus grand Jugement Dernier du Moyen-Âge (XVe siècle), un jubé et sa clôture de choeur également du XVe siècle et des fresques du XVIe siècle.
Sainte-Cécile, patronne des musiciens.
Malheureusement, après environ une demi-heure, je suis rattrapée par le gardien qui me rappelle – cela était signalé à l’entrée… – que les animaux ne sont pas admis dans la cathédrale. J’argumente, car Hella est sage dans le sac-à-ventre suspendu à mes épaules. Mais le bonhomme ne veut rien savoir et lorsque, un peu excédée, je lui signale que mon chien est quand même une créature de Dieu, il me répond qu’il ne fait que son travail. Je compatis et sors, laissant Monique terminer seule la visite ; j’y retournerai à son retour.
Le Pont Vieux.
En quittant Albi, nous nous dirigeons vers l’ouest pour aller faire un détour par Cordes-sur-Ciel :
Puis nous reprenons la route vers Saint-Léons en passant par la vallée du Tarn. Nous nous arrêtons à Brousse-le-Château :
Nous reprenons la route, il est tard déjà et nous avons encore beaucoup de kilomètres à faire sur des petites départementales sinueuses. Au loin, les éclairs zèbrent le ciel assombri… Nous arrivons à bon port mais à 23h !… Harassées… Même pas le courage de dîner… Quelques tranches de saucisson, une tasse de lait chaud, une bonne douche et au lit !
Aujourd’hui, mardi 7 juin, nous avons bien récupéré de cette journée à Albi. Nous avons fait relâche ; nous verrons demain pour d’autres aventures !
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Aujourd’hui dimanche 5 juin, c’est repos ! Pas envie de sortir, trop de monde partout. Alors on a décidé de faire la grasse mat’ et de se la couler douce ! Au programme de la journée : lecture, jeux, sieste. On accorde juste une balade d’environ 1,5 km à Hella dans le village.
L’existence du village remonte à l’Antiquité. De nombreuses fontaines alimentaient le village en eau potable, la principale servait d’ailleurs de lavoir.
Au XIXe siècle, la rivière, la Muse, alimentait en énergie une dizaine de moulins et toutes les scieries de la commune.
Le château, ancienne demeure du Prieur, domine le village et la maison natale du célèbre entomologiste, Jean-Henri FABRE.
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Aujourd’hui, grand beau temps ! Il fait presque trop chaud…
De Millau, nous rejoignons La-Roque-Sainte-Marguerite puis nous suivons la Dourbie, rivière affluent du Tarn, qui prend sa source dans le Gard et coule en Aveyron.
Nous atteignons Saint-Jean-du-Bruel :
Nous poursuivons par des routes très étroites et la végétation, hélas, nous empêche de profiter du paysage… Heureusement, de temps en temps, nous parvenons à garer la voiture :
Puis nous arrivons à Cantobre, village médiéval accroché à la paroi rocheuse d’un causse.
Malgré l’orage qui menace, nous grimpons jusqu’à l’église et découvrons un magnifique paysage :
Un dernier regard en arrière avant de reprendre la voiture :
Une dernière halte sur le chemin du retour au Moulin de Corp, pont en dos d’âne enjambant la Dourbie :
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Aujourd’hui 3 juin, le beau temps est enfin revenu ; il fait presque trop chaud !!!
Nous en profitons pour nous rendre sur le Causse du Larzac et suivre le circuit des Templiers et Hospitaliers.
Sur le Causse, j’ai une pensée pour ma mère. A l’adolescence, dans les années 70, j’avais décidé de lui mener la vie dure et avait décrété vouloir tout abandonner pour aller dans une ferme hippie sur le Larzac pour ne pas suivre son exemple, capitaliste et matérialiste… Elle avait gentiment souri après m’avoir regardée avec indulgence, se contentant de dire que je ne supporterais pas la vie communautaire plus de trois jours, mais que si le coeur m’en disait vraiment, elle ne s’y opposait pas. Cela suffit à mettre un terme à ma rébellion… qui me reprit plus tard, troquant toutefois le désert du Larzac pour la capitale britannique !
Nous suivons le circuit des Templiers et Hospitaliers qui ont laissé une forte empreinte de leur présence sur le Larzac. Le premier arrêt est à La Cavalerie.
Ce village fut créé par les Templiers au XIIe siècle :
Nous poursuivons notre route jusque Sainte-Eulalie-de-Cernon.
Jusqu’à la fin du XIIe siècle, la cité constituera l’unique commanderie des Templiers du Rouergue (actuel département de l’Aveyron), une des mieux conservées de France.
Le village est entouré de murailles et de tours du XVe siècle ; la fontaine de pierre sur la place date du XVIIe siècle.
Le prochain village s’appelle Le Viala du Pas de Jaux, créé à partir de 1312 par les Hospitaliers. Ils construisent une église et un logis avec une galerie intérieure en bois. Au siècle suivant, l’insécurité chronique du plateau du Larzac amène les Hospitaliers à bâtir une tour, la plus grande du département de l’Aveyron, destinée à servir de refuge à la population et lieu de stockage des céréales.
L’étape suivante est Saint-Jean d’Alcas, village fortifié durant la guerre de Cent Ans. Les tours circulaires incluent l’église paroissiale.
La cinquième et dernière étape du circuit des Templiers et Hospitaliers est La Couvertoirade.
Nous avons fait l’impasse sur ce magnifique village médiéval, car nous l’avions visité l’an dernier alors que nous n’avions pas pu nous rendre dans les autres villages en raison de travaux et de déviations dont notre GPS n’avait su se dépêtrer…
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Alors que nous avions passé une semaine l’an dernier à Saint-Léons, à quelques kilomètres de Millau, nous n’avions pas visité la ville, nous contentant du viaduc et poussant plus loin nos balades.
Aujourd’hui 2 juin, la météo locale sur nos portables prévoyait un après-midi relativement clément, en tout cas sans ondée ! Un plan de la ville entre les mains, nous commençons un petit circuit dans le centre et jusque sur les rives du Tarn.
La tour des rois d’Aragon surmontée de la tour polygonale, symbole de la domination des rois d’Aragon à la fin du XIIe siècle.
L’église Notre-Dame-de-l’Espinasse, art roman, du XIe siècle.
Lavoir de l’Ayrolle, du XVIII siècle. Les deux bandes de terre à droite et à gauche de l’ancien lavoir sont exploitées par des élèves des écoles primaires pour occuper les TAP (temps d’activités périscolaires). Les enfants cultivent et récoltent pour eux-mêmes, mais également pour n’importe quel passant. Une bien belle initiative !
Point de vue sur le Tarn, du Quai de la Tannerie.
La Porte du Voultre du XIII e siècle.
Puis nous rejoignons le parking par un dédale de rues étroites :
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Arrivées lundi 30 mai à Saint-Léons en Aveyron, notre lieu de vacances pour deux semaines, nous avons passé la journée du mardi à flemmarder en raison d’une météo épouvantable. Hella guettait l’accalmie qui ne vint pas…
Alors nous avons dormi, joué, lu… Mercredi, le temps n’était pas folichon, mais la météo locale prévoyait une éclaircie de quelques heures. Nous avons donc décidé de nous rendre à Rodez. Nous avons visité l’église du Sacré-Coeur :
Puis nous « montons » jusqu’à la cathédrale Notre-Dame de l’Assomption, édifice gothique construit en grès rose entre le 13e et le 16e siècle, dont le clocher culmine à 87 m.
Les vitraux contemporains sont l’oeuvre de Stéphane Belzère.
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Parties de Lorraine dimanche en fin de matinée, nous avons pique-niqué entre deux averses orageuses avant de rejoindre Clermont-Ferrant où nous avons réservé une chambre d’hôtel.
Le lendemain matin, nous prenons la route de Saint-Léons (près de Millau) pour rejoindre la maison que nous avons louée, la même que celle de l’année dernière. En effet, un peu frustrées après une seule semaine en Aveyron, nous avions décidé d’y revenir. Et comme la maison était très agréable, absolument sécurisée pour Hella, nous n’avions pas hésité à la réserver dès le mois de janvier, mais cette fois pour deux semaines.
En chemin, nous nous arrêtons à Issoire, ville située dans le Puy-de-Dôme en Auvergne, pour visiter l’abbatiale Saint Austremoine, vaste église romane du XIIe siècle construite en pierre d’arkose blonde.
Lorsque nous arrivons, un corbillard attend devant le portail… Nous décidons de nous rendre sur la Place de la République où se dresse la Tour de l’Horloge, ancien beffroi de la ville.
Lorsque nous revenons vers l’abbatiale, l’accès est libre. Sagement installée dans son sac à ventre, Hella peut faire la visite avec nous.
Dès l’entrée, on est frappé par la couleur qui domine dans cet édifice religieux. Piliers et chapiteaux sont richement peints :
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La ville médiévale de Provins était le lieu choisi par le club d’Histoire de l’Art que fréquente Monique depuis de nombreuses années pour le voyage de fin d’année.
Après un départ à l’aube samedi 28 mai – à 6 h 30 de Saulxures ! – j’ai profité du trajet pour faire ma nuit !
Un peu avant Provins, halte à Saint-Loup-de-Naud pour visiter l’église qui est un des monuments les plus célèbres du département de Seine et Marne.
Classé depuis le milieu du 19e siècle parmi les Monuments historiques, l’édifice a fait l’objet de nombreuses restaurations.
Malheureusement, l’église est fermée et nous ne pouvons donc pas la visiter…
Nous poursuivons jusqu’à Provins où, après un excellent déjeuner, nous suivons notre guide pour une découverte à pied.
Provins est l’une des cités médiévales les mieux conservées de France.
Capitale économique au Moyen-Age, elle compte 58 monuments classés ; la ville est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2001.
Témoin de l’histoire médiévale du XI au XIII siècle, Provins recèle de lieux typiques, de maisons en pierre et à colombages.
La Grange aux Dimes
La collégiale Saint-Quiriace, église du XIIᵉ siècle.
Une partie des remparts. La ville était ceinte par une muraille de 5 km.
La Tour César, donjon du XIIe siècle, au sommet de la colline où s’est installée la ville haute.
Tour octogonale à base carrée, elle servit également de prison. Nous visitons à l’intérieur la salle des gardes, la chambre du gouverneur ainsi que, au prix d’un gros effort physique en raison d’un escalier très étroit et garni de marches inégales dont certaines sont très hautes, la charpente et une vue imprenable sur la ville.
Puis nous assistons à un spectacle médiéval : « La Légende des Chevaliers ». Il s’agit d’un spectacle en plein air avec acrobaties équestres, cavalcades, voltige, combats, cascades et animaux.
Enfin, au détour d’une rue, le symbole de la ville : la fameuse rose de Provins !
Pour voir toutes les photos prises par Monique Colin, cliquer sur l’album ci-dessous :
Après quinze jours d’un grand beau temps, le ciel n’a cessé aujourd’hui de déverser toute son eau… Et ce soir, le vent souffle, une tempête est annoncée…
Lever demain à 6h pour rentrer après avoir nettoyé la maison, terminé les bagages et rangé le coffre. En espérant que la pluie cesse car l’avantage d’être en bout d’allée piétonne devient un inconvénient quand il pleut, car Monique ne peut pas tout entasser sur la terrasse pendant que je fais le ménage.
Reprise du boulot mardi et enterrement (maman d’une cliente) mercredi matin…
Pour voir toutes les photos de notre séjour breton, cliquer sur l’album ci-dessous (toutes les photos ont été réalisées par Monique Colin)
Après une nuit bien arrosée et une matinée un peu grise, le soleil a refait son apparition en début d’après-midi.
Nous rendons à Merrien dans le but d’acheter des huîtres chez l’ostréiculteur du port et faisons une petite promenade sur le sentier côtier rive gauche.
Aujourd’hui, première petite pluie – un tout petit crachin à peine perceptible – depuis notre arrivée.
Nous en avons profité pour nous rendre à Pont-Aven afin d’effectuer nos achats de fin de séjour pour nos proches : cartes postales (avec un peu de chance, elles partiront de Kergroës…) galettes, caramels, soupes de poissons…
Et nous sommes entrées dans la boutique la plus gourmande de la ville pour acheter des kuign-aman que nous avons dégustés avec un thé au lait à notre retour !
La nouvelle copine de Hella : Taisy, la minette de la voisine.
Encore une journée ensoleillée. Nous en avons profité pour nous rendre sur un sentier côtier du Kérou, un lieu-dit près du Pouldu.
L’île de Saint-Cado se trouve sur la commune de Belz dans le Morbihan.
A notre arrivée, nous constatons que le pont est en réfection. Un peu de difficulté pour se garer car une grande partie du petit parking est réservée aux habitants de l’île.
Mais quel plaisir de revoir « ma » petit maison !
Nous traversons grâce à la passerelle aménagée et nous rendons sur l’île de Saint-Cado.
Fils d’un prince gallois, Cado abandonne la carrière des armes pour la vie monastique. Après avoir fondé un monastère près de Bristol, il vient s’installer sur l’îlot de la rivière d’Etel au VIe siècle et bâtit un oratoire. Pour faciliter le passage des nombreux fidèles désireux de venir l’écouter, il fait construire un pont qui ne tarde pas à s’écrouler. Le diable lui propose de reconstruire le pont en échange du premier être vivant. Saint Cado accepte et fait passer un chat. Les moines de Quimperlé héritent de l’ermitage de Saint-Cado et y établissent un prieuré au XIe siècle, la chapelle devenant un centre de pèlerinage. Les malentendants viennent chercher la guérison en introduisant leur tête dans la cavité d’un petit autel appelé « le lit de Saint-Cado ».
A proximité se trouvent un calvaire et une fontaine, partiellement submergée par marée haute.
Encore une belle journée ensoleillée mais plus fraîche ; le vent qui souffle ressemble beaucoup à la bise qui sévit en Lorraine !
Nous nous garons sur le petit parking à proximité de l’anse où se trouve le cimetière à bateaux : les marins pensant que leurs bateaux ont une âme ne les détruisent pas, mais les laissent mourir dans l’eau.
Le sentier longe la rive bordée d’arbres : chênes, hêtres, pins…
Des animaux sont également présents, notamment des hérons cendrés :
Parties dimanche dernier de Lorraine, nous avons fait une halte de deux jours dans la Sarthe chez nos amis Jeannette et Philippe où nous avons fait une cure de sommeil ! C’est donc très en forme que nous sommes arrivées en Bretagne mardi en fin d’après-midi. La journée d’hier fut consacrée aux courses et aujourd’hui, par un soleil radieux, départ en début d’après-midi pour la Pointe de la Torche en espérant voir les champs de tulipes… Finalement, ce sont des champs de jacinthes à perte de vue qui s’offrent à nous.
Puis nous nous rendons à proximité, à la Pointe de la Torche :
Hella et son sourire carnassier !…
Après plus de deux semaines de vacances, nous avons quitté hier nos amis sarthois et sommes rentrées en Lorraine. Et ce matin, c’est la reprise…
Si la tête est au boulot, le coeur est encore un peu là-bas, dans ce petit coin de la Sarthe où il fait bon vivre, comme vous pourrez en juger par ces quelques photos :
La chèvre Blanchette, la dernière arrivée, avec laquelle nous avons fait connaissance.
Une partie des animaux : les deux brebis, dont Pâquerette à droite.
Un peu à la traîne derrière sa mère, le dernière née, une jolie petite poulette !
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Aujourd’hui, une toute petite balade au Poul Douar pour voir une dernière fois l’océan avant de quitter notre chère Bretagne demain matin.
Arrêt chez nos amis sarthois jusque dimanche midi, puis retour en Lorraine et lundi boulot…
Pour son dernier jour, Hella a eu droit à une cour assidue de la part d’un beau labrador sable qui nous a suivies durant toute la promenade.
Le soleil n’a pas daigné montrer le bout de ses rayons, mais il faisait toujours aussi doux et le spectacle offert par la fureur des vagues a largement compensé l’absence de ciel bleu.
Aujourd’hui, plutôt beau temps mais assez venteux. Du coup, il a fallu de temps en temps porter la miss Hella qui n’aime pas avoir le vent qui lui souffle dans les fesses !
Aujourd’hui météo mitigée, air très doux, petit crachin intermittent, ciel plombé : la Bretagne que j’aime !
Sur le chemin du retour, nous avons fait le détour par le port de Merrien pour acheter des huîtres et nous renseigner sur les tourteaux que nous allons ramener le dernier jour à nos amis sarthois :
Moins belle journée qu’hier, moins ensoleillée et donc plus fraîche, et surtout un vent assez fort qui nous a littéralement saoulées !!!
Mais très belle balade sur un de mes sites préférés : Le Pouldu !
Après une nuit passée à Chartres, nous sommes bien arrivées à Kergroës, notre coin de Bretagne préféré où nous avons notre petite maison de vacances, dans le Finistère, tout près de Moëlan/mer.
Aujourd’hui, très belle journée ensoleillée et jolie balade à Trenez.
À une vingtaine de kilomètres au nord-est de Millau se trouve le plus grand labyrinthe rocheux d’Europe.
Situé dans le causse noir, le site a été découvert par M. de Barbeyrac et L. de Malafosse, mais c’est l’avocat et grand spéléologue Édouard Alfred Martel qui trace des cartes et contribue ainsi à la popularisation du site.
Son appellation vient des bergers en transhumance qui venaient avec leurs troupeaux de Montpellier vers le Causse. Voyant de loin ces remparts rochers, ils nommèrent l’ensemble Montpellier-le-vieux.
Il existe cinq circuits pédestres balisés d’une à trois heures de marche pour bons randonneurs. Pour les plus sportifs, il y a la via ferrata : circuit souterrain puis aérien agrémenté de quatre tyroliennes et encadré par des moniteurs.
Nous optons pour la balade en petit train pour avoir une vue d’ensemble du site ! Puis une petite promenade vers un belvédère, réputée facile et qui nous donne une idée de ce que doivent être les circuits plus difficiles !!!
La Porte de Mycènes. La cavité a été creusée par un cours d’eau…
Certaines roches ont de curieuses formes, comme ici une morille !
Ici un visage.
Hélas ! Une semaine de vacances, c’est bien trop court pour visiter cette région si riche en paysages et patrimoine historique et culturel. Il nous faudra revenir…
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Nous traversons le Causse du Larzac pour nous rendre, au sud-est de Millau, en suivant le Circuit du Larzac Templier et Hospitalier, à La Couvertoirade, vestige historique entouré de remparts datant du XVe siècle. Après quelques hésitations et moult détours en raison d’une route barrée et d’un GPS qui s’obstinait à nous y reconduire, nous arrivons enfin sur le site.
On se gare à l’extérieur de la cité qui se visite exclusivement à pied. Les maisons sont typiques, chacune abritant un commerce ou un atelier d’artisanat.
Sur le chemin du retour, nous rencontrons un troupeau de brebis qui nous offre un joli concert de sonnailles !
Et le soleil se couche sur le causse du Larzac…
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Nous démarrons le circuit à La Malène, à l’est de Millau, et suivons les méandres du Tarn.
Nous nous arrêtons dans la jolie petite ville de Sainte Enimie :
Nous poursuivons vers Florac dans le département de la Lozère.
Capitale du parc national des Cévennes, la petite cité est au carrefour de trois sites géologiques qui lui offrent des paysages très variés : le schiste des Cévennes, le granit du mont Lozère et le calcaire des Causses. La ville aux dimensions modestes, parcourue par plusieurs cours d’eau, a été particulièrement active dans la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale.
Nous rentrons par Meyrueis et les Gorges de la Jonte et traversons la région des Grands Causses dans laquelle des vautours ont été réintroduits dès le début des années 70.
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De Millau, on se dirige vers l’est en suivant la Dourbie qui se jette dans le Tarn. Entre le Causse noir et le Causse du Larzac, la rivière suit un parcours sinueux. En route, petit détour par l’église du Vigan par un chemin vicinal sur lequel nous avons failli abandonner le pot d’échappement de notre véhicule !
A l’intérieur, l’église est réduite à son strict minimum… Le dénuement prend ici tout son sens !
Sur le retour, un joli moulin :
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À moins de 10 km à l’ouest de Millau, en longeant le Tarn, se situe Peyre, un des plus beaux villages de France.
Bâti sur le flanc d’un roc gigantesque, le village domine le Tarn. Sur le parking en haut du village, quelques amandiers sont en libre accès pour la cueillette. Puis on descend à pied dans les ruelles étroites.
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Les premiers plans ont été ébauchés en 1987 et la mise en service en décembre 2004 ; le viaduc est partie intégrante de l’autoroute A75 qui relie Clermont-Ferrand à Montpellier.
D’une longueur de 2460 m, il repose sur sept piles dont la plus haute culmine à 343 m, soit 19 m de plus que la Tour Eiffel. Chaque pile déploie 2 x 11 haubans. Le tablier d’acier pèse 36.000 T soit cinq fois plus que la Tour Eiffel et l’ensemble a nécessité pas moins de 85.000 m3 de béton soit 206.000 T ! L’ensemble a coûté 400 M€ et bénéficie d’une garantie de 120 ans. Pour le traverser en voiture, en pleine saison touristique, il faut débourser 9,40 €.
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Depuis longtemps, j’avais très envie de voir le célèbre viaduc de Millau. Et puis aussi, à proximité, les Gorges du Tarn. Pour nous rendre à la maison que nous avons louée pour cette semaine de vacances, nous passons sur le viaduc. À l’excitation succède la déception ! Il faudra revenir le lendemain et aller au pied de l’ouvrage pour en apprécier la beauté, la majesté, la grandeur monstrueuse. A peine arrivée, Hella s’installe sur la terrasse. 
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Avant de nous rendre à Saint Leons en Aveyron, près de Millau, où nous avons loué une maison, nous nous arrêtons à Avignon où j’ai réservé une chambre dans un hôtel quatre étoiles (mon péché mignon !…)
Nous arrivons sans encombre un peu après 19h et prenons possession de notre suite.
Le temps de se rafraîchir, qui dans la baignoire qui dans la douche (quand on est pressé, c’est pratique de disposer des deux dans la même chambre !), nous nous dirigeons à pied au restaurant de l’hôtel Cloïtre Saint Louis, également un établissement quatre étoiles, situé à une vingtaine de minutes à pied de notre hôtel.
Nous peinons un peu à trouver l’entrée – pas d’enseigne tapageuse – mais nous finissons par pénétrer dans le jardin intérieur puis dans la galerie couverte de ce cloître du XVIe siècle.
Dès le seuil, on sent qu’on se trouve dans un établissement de qualité : les conversations se font sans éclats, le ballet des serveurs est feutré et les enfants – il y a toujours des enfants partout où je vais !!! – sont bien élevés, ils ne crient pas et ne courent pas entre les tables !
Au menu : foie gras – souris d’agneau et baba au rhum.
Monique quant à elle prend une entrée différente, du thon cru au nom japonais qu’elle a modérément apprécié…
Après ce dîner somptueux, nous nous rendons à pied au fameux pont :
Après cette longue marche, nous rentrons fourbues à l’hôtel…
Le lendemain matin, après une bonne nuit et un plantureux petit déjeuner – très vaste buffet – nous retournons dans le quartier du pont pour aller voir, de l’extérieur seulement à cause de notre Hella, le célèbre Palais des Papes :
Puis nous prenons la route pour l’Aveyron.
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Samedi 27 juin dernier, nous étions à Trèves, voyage de fin d’année du Cercle des Arts.
Départ à 7h30 du CILM de Laxou-Champ-le-Boeuf dans un minibus de la société de transport Tourisme Néodomien.
Arrivée à Trèves et départ immédiat avec Marianne, guide locale francophone, pour une balade à pied de deux heures.
La Porta Nigra (photo de Jacques Métivier)
Emblème de la ville de Trèves, la Porta Nigra est la porte la mieux conservée de l’époque romaine au nord des Alpes.
Construite à une époque (env. 180 après JC) où les Romains aimaient édifier des bâtiments publics à partir de grosses pierres de taille, les plus grandes pèsent environ six tonnes. Superposées sans mortier, elles sont reliées à l’horizontal par des crochets de fer plombés.
La Maison des Rois Mages (photo de Monique Colin)
Cette maison d’habitation date des débuts du gothique. Erigé en 1230 comme tour d’habitation, cet édifice doit son nom à une peinture de l’épiphanie placée autrefois dans la maison.
La particularité est la porte d’entrée, située à quelques mètres du-dessus du sol pour se protéger et laisser au propriétaire le temps de se défendre en cas d’attaque.
Entièrement rénovée au 19e siècle, la façade très colorée a retrouvé son aspect original ; les centrées cependant sont d’époque contemporaine; le bâtiment abrite un café.
Place du Marché (photo de Monique Colin)
De cette place, on peut voir entre autres la « Steipe », salle festive du conseil municipal, la cathédrale, la fontaine Saint-Pierre et la croix du marché qui date de 958.
La fontaine du Marché (photo de Monique Colin)
Statue de Saint Pierre au sommet de la fontaine du Marché (photo de Jacques Métivier)
La fontaine du Marché date de 1595 et est couronnée par St Pierre, Saint Patron de la cathédrale et de la ville. Il est entouré au pied des quatre vertus cardinales : Justice, Force, Tempérance et Prudence, mais également de petits monstres et singes farceurs.
La cathédrale (photo de Jacques Métivier)
Située à proximité de la Place du Marché, elle a été construite sur un ancien palais de l’époque de l’empereur Constantin.
La cathédrale a été détruite au 5e et au 9e siècle, mais le noyau resté intact a été agrandi par des constructions romanes. Avec ses trois cryptes, son cloître, son trésor et sa salle des reliques, la cathédrale actuelle représente un témoignage architectural et artistique de plus de 1650 ans.
L’église Notre-Dame (photo de Jacques Métivier)
Juste à côté de la cathédrale se trouve l’église Notre-Dame, construite au 13e siècle et première église gothique en Allemagne.
Quelques détails de l’intérieur (photos de Monique Colin)
Le cloître (photo de Monique Colin)
La basilique de Constantin (photo de Monique Colin)
Ancienne salle du trône de l’empereur Constantin, c’est le plus grand espace fermé de l’Antiquité à avoir survécu. L’architecture est à ce point grandiose qu’un écho de 7 secondes répond au grand orgue.
Pour preuves du gigantisme de l’édifice : 27 m de large, 33 m de haut et 67 m de long (75 m porche inclus).
Orné à l’intérieur de marbre, de mosaïques et de statues, le bâtiment à son origine était déjà pourvu d’un système de chauffage au sol !
Détruit au 5e siècle par les Francs, ses ruines dépourvues de toit accueillirent tout un lotissement construit par les Français.
Transformée au 17e siècle en centre administratif,la basilique depuis le milieu du 19e siècle sert de lieu de culte protestant.
Le Palais électoral (photo de Jacques Métivier)
Situé tout près de la basilique de Constantin, ce palais est considéré comme l’un des plus beaux palais rococo du monde.
Il est aujourd’hui le siège de l’ADD, le service administratif du Land.
Détails du palais (photos de Monique Colin)
Notre matinée s’achève là, dans le jardin du palais, à proximité des Thermes impériaux.
Nous rejoignons le bus pour nous rendre au restaurant situé en face de la maison natale de Karl Marx, et la journée se termine par une mini-croisière d’une heure sur la Moselle.
(photo réalisée par Monique Colin)
Photo réalisée par Monique Colin.
Pour finir, quelques souvenirs des participants à ce voyage :
Toute la troupe derrière Marianne, notre guide. (photo réalisée par Jacques Métivier)
En attendant le repas, Jacques mitraille :
Etienne et Fabienne
Josette, la trésorière de l’association.
De gauche à droite : Jocelyne, Sakiko et Simone.
Nicole et Marie-France… en flagrant délit de micro sieste !
De gauche à droite : Francine, Claude, Françoise et Claude.
Claudine (à gauche), secrétaire adjointe de l’association, et Huguette.
Nicole Métivier, songeuse…
Monique, présidente de l’association, radieuse mais heureuse de pouvoir souffler un peu pendant deux mois !
A bientôt le plaisir de vous retrouver à l’occasion des nombreuses activités proposées par le Cercle des Arts de Laxou-Champ-le-Boeuf.
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Fin mai, nous sommes allées à Reims avec l’association d’Histoire de l’Art de Saulxures-devant-Nancy.
Nous passons à proximité de la cathédrale, mais la visite ne fait pas partie du programme…
En revanche, la bibliothèque Carnegie fait partie du circuit et elle vaut vraiment le détour !
Construite dans les années 1920 par Max Sainsaulieu, elle a été financée par la dotation du magnat américain de l’acier Andrew Carnegie. C’est le principal édifice de style Art déco de la ville.
Dans le hall d’entrée, on peut voir plusieurs mosaïques dans un décor de marbre et d’onyx ; au plafond, une lanterne monumentale.
A l’intérieur de la bibliothèque, les rayonnages sont impressionnants.
Au gré de notre cheminement, nous découvrons plusieurs maisons art nouveau.
Arrêt obligatoire à la biscuiterie Fossier, mondialement connue pour ses biscuits roses.
Les Halles du Boulingrin, inaugurées en 1927 et fermées en 1988, accueillent de nouveau, depuis 2012, le marché couvert du centre-ville.
Après déjeuner, nous nous rendons à la Villa Demoiselle, monument architectural construit à Reims en 1890, partie intégrante du Domaine Pommery :
On commence par la cave avant de parcourir les deux étages dont les pièces sont richement meublées et décorées en style art déco :
Nous terminons par la visite guidée de la basilique Saint Rémi.
Statue de Saint Rémi baptisant Clovis 1er
Pour voir toutes les photos (réalisées par mon amie Monique Colin), cliquer sur l’album ci-dessous :
Nous étions samedi à Reims en voyage annuel du club d’Histoire de l’Art de Saulxures auquel Monique adhère depuis une dizaine d’années maintenant.
Petit tour du centre-ville historique, riche en constructions art nouveau et art déco, avec une guide conférencière. J’ai particulièrement apprécié la bibliothèque !…
Déjeuner tout près des Halles puis départ pour la Villa Demoiselle, magnifique bâtiment art nouveau, dédiée au champagne. Visite guidée puis dégustation appréciée en fin de parcours !
Enfin visite guidée de la magnifique basilique Saint Rémi.
Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je ne suis pas en capacité d’inclure des photos, mais je m’y emploierai dès que possible !!!
Après la Bretagne, nous avons fait une halte de deux jours chez nos amis dans la Sarthe. Nous avons bien lézardé, bien mangé et bien bu !!! Dès demain, il faut se remettre au boulot et au régime !…
Chez Jeannette et Philippe, il y a des moutons, des oies, un jars, des poules, une canne et bien sûr, un chat et un chien !
Née le lendemain de Pâques, Pâquerette a été rejetée par sa mère et a dû être nourrie au biberon… quatre par 24h au début et maintenant plus que deux. Heureusement, les trois autres agnelles sont nourries par leur mère !
Hella a fait bon ménage avec Ipso et sa jalousie et Félicie et sa très grande réserve !
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