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Archive pour la Catégorie 'Coupures de presse'
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Laxou
Zaz Chalumeau a dédicacé Malou
Zaz Chalumeau a dédicacé son roman Malou le 27 mars à la médiathèque Gérard-Thirion.
C’est son 12e roman et le 2e tome d’une saga familiale, Malou, qui fait suite à La Lavandière d’Igney.
Zaz Chalumeau, secrétaire commerciale trilingue de formation, a profité d’un licenciement pour se lancer en janvier 2004 comme écrivain public en profession libérale .
Passionnée d’écriture depuis l’enfance, elle a participé à un 1er concours en 1995.
D’autres ont suivi. Souvent récompensée, Zaz a obtenu le Grand Prix des Poètes Lorrains en 2002.
En 1999, elle publie en autoédition son premier recueil de poèmes. Depuis, elle édite un ouvrage par an.
Vous pouvez trouver la liste des ouvrages écrit par zaz Chalumeau sur son blog http://ichalumeau.free.fr
Tandis que je dédicaçais mes livres aux lecteurs de la médiathèque de Thaon-lès-Vosges, Monique animait un atelier dessin et peinture avec les enfants.
Le soir, nous étions toutes deux conviées à la grande soirée poétique qui clôturait le Printemps des Poètes.
« Malou », 2e tome de la saga familiale « Colin-Maillard » était à l’honneur à la Médiathèque de Thaon-lès-Vosges, commune voisine d’Igney où grandit la vraie Malou.
L’écrivain présente son nouveau livre.
Lauréate de l’Alérion d’or, prix décerné par la délégation lorraine de la Société des poètes et artistes de France, Isabelle Chalumeau a fait partie également d’un groupe d’auteurs sélectionnés pour le prix Erckmann-Chatrian. Elle vient de publier « Malou », deuxième ouvrage d’une saga familiale.
- ER : Quelle évolution présente Malou dans la tétralogie des « Collin-Maillard » ?
- Dans ce deuxième tome, on retrouve les familles Maillard, Gavot, Colin et Gaconnet, sur une période qui va des années 30 aux années 50. Malou, pupille de l’assistance publique, est élevée par la lavandière d’Igney. Les personnages de deux familles qui vont croiser leur destin sont exposés. Chacun a été confronté ou influencé par les évènements mondiaux comme le frère de cœur de Malou René – Camille qui a été fait prisonnier en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale.
- Vous aimer tenir le contact avec vos lecteurs, comment faites-vous ?
- Grâce à mon blog, je peux tenir des échanges avec mes lecteurs. Beaucoup se sont intéressés à la destinée de la lavandière et attendent de connaître la suite de son histoire. La lecture interpelle, la place des événements fortuits heureux ou malheureux a des effets qui peuvent peser sur toute une vie. Et on arrive à un degré d’échange très personnel.
- Vous défendez le statut d’autoéditeur. Quelles actions avez-vous projetées pour promouvoir votre livre ?
- Les séances de dédicaces me permettent de prendre contact avec mon public, celui qui s’intéresse à la vie en Lorraine. Samedi 20 février, de 15 h à 17 h , je serai à la salle communale d’Igney, berceau de mon héroïne. Je participerai à de nombreux salons du livre et à des séances de dédicaces dans des médiathèques qui accueillent les écrivains régionaux.
Le dimanche 28 février, de 9 h à 18 h, ce sera à Chaligny ; samedi 13 mars, de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h, à Thaon-les-Vosges ; dimanche 14 mars, de 10 h à 18 h, au Domaine du Chamois de Vandœuvre ; samedi 20 mars, de 10h à 18 h, à la médiathèque d’Essey-lès-Nancy ; samedi 27 mars, de 16 h 30 à 17 h, à la médiathèque de Laxou.
Il y aura aussi dimanche 28 mars, de 9 h à 18 h, le salon du livre au château Madame-de-Graffigny à Villers-lès-Nancy.
Samedi 3 avril, de 10 h à 12 et de 15 h à 18 h, je ferai une séance de dédicaces au rayon livre de Cora Houdemont qui me soutient depuis la parution de mon premier recueil de poésies.
Article paru dans l’Est Républicain du 16/02/2010
L’art pictural rejoint la poésie au CILM avec une exposition conjointe de Monique Collin et Isabelle Chalumeau, dit Zaz, proposée par le Cercle des Arts.
Membre de l’association depuis une dizaine d’années, Monique présente ses peintures à l’huile inspirées par la nature, les animaux ou par de jolis endroits.
Les détails ne manquent pas. Les couleurs y sont chaleureuses et accueillantes, notamment, les arbres verts et ensoleillés sur le pont aux fées, ou les couleurs chaudes d’un coucher de soleil sur la toile. « J’essaie de faire un petit peu de tout. Je ne suis pas à l’aise dans les portraits mais je vais essayer de progresser » précise l’artiste.
L’une de ses autres passions est la photo. En collaboration avec Zaz, Monique Collin a sélectionné des clichés pour les associer aux poèmes de l’écrivain. « Le travail s’est fait facilement. L’écriture et la poésie se marient bien » explique Zaz, écrivain public. Auteur d’une saga familiale intitulée Colin Maillard, elle présente le premier tome « La lavandière d’Igney » mais surtout le second, fraîchement paru, « Malou ». La complicité entre les artistes va jusqu’à la couverture de l’ouvrage puisque la dame en photo n’est autre que la mère de Monique Collin.
Jusqu’à vendredi
Lors du vernissage en présence des artistes et d’élus, Zaz a procédé à une séance de dédicaces. « Les tableaux sont d’une finesse, d’une précision et d’un réalisme. C’est magnifique et très varié. Les illustrations qui correspondent aux poèmes, c’est très beau » commente Michelle.
L’exposition est visible dans le hall du Centre Intercommunal Laxou-Maxéville jusqu’au vendredi 19 février.
Voici un article qui illustre parfaitement mon ressenti face à la prétendue évolution de notre langue terriblement mise à mal depuis l’arrivée du langage sms que nos enfants – certains adultes pour faire « djeun » - utilisent de plus en plus, avec le risque de le confondre avec le français authentique, ceux que parleront bientôt le mieux, effectivement, les Québécois ou les Africains francophones.
(cliquer sur l’image pour pouvoir mieux lire)
Article paru dans l’Est Républicain du 1er octobre :
Publié le : jeudi 1er octobre 2009
Les 30 ans du quartier des Gravières
Convivialité et témoignage d’amitié pour l’anniversaire du quartier.
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Une quarantaine de personnes ont fêté dernièrement les trente ans du quartier des gravières dans une ambiance chaleureuse.
Dans un îlot de verdure, les habitants se sont retrouvés pour savourer un délicieux couscous élaboré avec beaucoup de talent par une dame du quartier et la participation active de tous. Comme l’évoque Armand, longtemps porte-parole des habitants lors de la construction du quartier :« Nous portons l’appellation VS 2 , pour Vigne des sables n° 2 ,le suivi du chantier a donné lieu à des réunions hebdomadaires qui se sont poursuivies pendant des années dans le cadre d’une association syndicale.La gestion et le transport d’une trentaine d’enfants allant à l’école Emile-Gallé, les requêtes pour obtenir un accès au centre de Heillecourt, aménager et entretenir des voies et espaces verts ont forgé l’unité du quartier».
Le quartier est caractérisé par une grande stabilité,il y a encore 12 familles de l’origine sur les 17 maisons construites.Cependant ce sont vers Nancy et sa banlieue, Paris, l’Afrique du Sud et même la Californie que les enfants de cette première génération se sont tournés pour s’installer. Aujourd’hui, quelques nouvelles familles sont arrivées avec de jeunes enfants.
L’Est Républicain a publié aujourd’hui un article sur la soirée présentation de mon dernier livre qui a eu lieu à Heillecourt le… 5 juin dernier !
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Publié le : vendredi 17 juillet 2009
Au contact des lecteurs
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Isabelle Chalumeau parmi ses lecteurs dans la salle arc-en-ciel. |
Tenir le contact avec son public, voici certainement une aspiration qui tient beaucoup au cœur d’Isabelle Chalumeau qui vient de publier la « Lavandière d’Igney ».
Dernièrement, une séance de dédicaces a réuni dans la salle arc-en-ciel, bon nombres de fidèles et amis toujours sensibles à la parution de ses nouveaux livres.
Le maire Didier Sartelet et plusieurs membres du conseil municipal ont accueilli l’écrivain heillecourtois qui a déjà édité un nombre conséquent d’ouvrages.
Face à ses lecteurs, « Zaz » a livré les ressorts de sa passion pour l’écriture.
Le roman qu’elle dédicaçait « La lavandière d’Igney » retrace la vie et le portrait d’une femme au caractère bien trempé.
Ce livre est aussi le premier tome d’une saga qui ramène l’auteur à sa propre famille et à celle de sa compagne.
Isabelle Chalumeau a aussi témoigné de la solitude de l’écrivain et de la pugnacité nécessaire pour assumer les contraintes de l’édition à compte d’auteur.
Franchissant les rangs du public, Joëlle di Sangro membre de la délégation lorraine de la « Société des poètes et artistes de France », est venue apporter son soutien à l’auteur.
« Isabelle a déjà remporté notre grand prix littéraire et l’alérion d’or, elle fait partie des rares écrivains a maîtriser l’art de la poésie » a-t-elle déclaré.
Le livre « La Lavandière d’Igney » est disponible au rayon librairie de Cora Houdemont.
Renseignements sur le site : http://ichalumeau.free.fr »
Ci-dessous la preuve par l’image (Est Républicain) de mon sérieux quand je réalise des reportages pour www.toutnancy.com !!!
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Publié le : samedi 27 juin 2009
Communauté urbaine
Culture et musique à Bon-Secours
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Un public de mélomanes. |
L’église Notre-Dame-de- Bon-Secours vient de servir d’écrin à un grand moment culturel et musical organisé par les amis du musée des Beaux-Arts et l’association PHARE .
François Pupil, créateur de PHARE, professeur honoraire d’histoire de l’art a donné une conférence portant sur l’historique de ce sanctuaire, évoquant le cimetière des Bourguignons, la Vierge de la Miséricorde, la première chapelle, les diverses transformations pour en arriver à l’église construite par Emmanuel Héré à la demande du roi Stanislas . Puis François Pupil a évoqué sa rénovation : une vitrine du savoir-faire des restaurateurs français, parlé de l’implication de PHARE et de ses 12 ans de bénévolat au service de Bon-Secours….
Conférence en trois parties qui était entrecoupée par le merveilleux récital de violoncelle donné par Pierre Fourcade, violoncelle solo de l’Orchestre symphonique et lyrique de Nancy qui a magistralement interprété trois suites de Jean-Sébastien Bach , une immersion totale dans la musique du 18e siècle.
Jamais d’épanchements superflus, de l’académisme dans le bon sens du terme, aucune raideur, un musicien qui vit sa musique et qui la fait vivre aux mélomanes .
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