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Archive pour la Catégorie 'Coupures de presse'
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Depuis des mois, à l’issue du journal télévisé, le présentateur rappelle la détention de deux de ses collègues aux mains des Talibans, deux journalistes qui n’ont pas mis leur vie en danger par pure inconscience mais dans l’exercice de leur métier d’information.
Bientôt 365 jours, bientôt Noël que ces deux hommes, probablement, passeront loin des leurs. J’ai une pensée pour ces deux familles car ne pas savoir ce qu’est devenu un mari, un père, un fils, un frère est sans doute insupportable, même si cette ignorance entretient aussi l’espoir…
Le Cercle des arts expose les œuvres de ses artistes dans la salle de spectacle du Cilm, à l’occasion du 17e Salon d’automne. Des œuvres variées qui ne manquent pas d’attirer l’œil de part leurs couleurs vives et chatoyantes.
Au total dix-neuf artistes sont réunis pour afficher une palette de créations uniques. La palette, un sujet par ailleurs illustré dans l’une des toiles du président de l’association, Pierre Dufour, qui, au-delà du côté pictural, a ajouté une pointe d’originalité en collant de véritables pinceaux sur sa toile.
L’exposition présente également les paysages de Simone Dézavelle et de Monique Colin, les nus de Huguette Iung et de Marie-Jasmine Louise, l’auto-portrait de Philippe Ouillon, la place Stanislas de Mido Cordier et bien d’autres encore.
Ce 17e Salon d’automne compte également un invité d’honneur à titre posthume, un hommage à Pierre Hachet, figure du monde médical et aussi artistique, nancéien disparu le 3 mai au terme d’une vie riche et bien remplie. On y retrouve ses icônes et ses œuvres à l’encre de Chine à partir d’une technique de pointillés.
Un hommage salué par le maire Laurent Garcia et son adjointe déléguée à la culture, Anne-Sophie Roy, qualifiant Pierre Hachet « d’intelligent, sensible, brillant et esthète ». Une définition approuvée par son épouse, Françoise Hachet.
Les artistes ont également été remerciés par Pierre Dufour pour leur « beau travail ».
« C’est une exposition très variée. Elle donne envie de s’attarder sur certains artistes » confie Sylvie, venue à l’occasion du vernissage et séduite par un grand nombre de tableaux.
L’exposition est visible au Cilm jusqu’au vendredi 8 octobre.
(Photo et article parus dans l’Est Républicain du 06/10/2010)
Je ne sais pas ce qu’il leur raconte, à ses plantes, mais à la tête qu’elles tirent, ça ne doit pas être folichon !…
De mon temps – quand on commence à employer ce genre d’expression, c’est qu’on a définitivement passé un cap… – les princesses s’endormaient et espéraient le baiser d’un prince charmant pour renaître à la vie. Aujourd’hui, elles dansent nues en chantant des chansons grivoises. Ah ! ma pôôôôôôôvre, même les princesses ne sont plus ce qu’elles étaient !!!
Si comme moi vous ne savez pas ce que signifie « béliner le joyau », je vous invite à découvrir la chanson dont est extraite cette citation. Cela vaut son pesant de bijoux (de famille) !…
http://dicidense.free.fr/index.php/2007/02/19/que-cest-bon-detre-demoiselle/comment-page-1/
L’association du Cercle des Arts a invité ses membres, poètes et peintres, à une journée festive dans le parc du Champ-le-Bœuf.
Dans la convivialité et le partage des pratiques et des émotions, les artistes étaient pour certains venus avec leur matériel, se laissant inspirer par l’environnement naturel. Autour des tables et des tonnelles installées pour l’occasion au fond du parc, les membres et amis présents, ainsi que le maire Laurent Garcia, ont profité de ce moment sympathique avec grand plaisir avant les vacances. « C’est agréable de se retrouver », a confié le président, Pierre Dufour, qui organise l’évènement depuis six ans.
(Article paru dans l’Est Républicain du 14/07/2010)
Dès qu’il s’agit de poésie, j’ai les oreilles et les yeux en alerte. Un Monsieur Muscle poète ? Hum… pourquoi pas ? Pour en savoir plus, je fis appel à mon ami Google qui me dirigea vers de nombreux fichiers concernant Alexandre Franchini. Ma première impression semblait la bonne : le personnage est un cocktail détonnant de Schwarzenegger et Van Damme avec une pointe de Cantona. Encore un pseudo artiste qui se la pète !
Le bonhomme a publié un livre intitulé « La chair philosophale ou le muscle qui pense ». Bigre ! Quel programme ! Ça donne envie d’aller jeter un oeil, c’est déjà ça ! En cliquant sur le lien « Lire les premières pages du livre », j’ai découvert une prose… J’allais aiguiser ma plume pour écrire une critique bien acérée lorsque j’arrivai à la page 7 que je recopie ici textuellement :
« Avant que de lire mon ouvrage, cher lecteur, je souhaite vous informer, sur qui est son auteur.
Je mesure 1,75m, mon poids varie de 71 (sec) à 98 kgs avec 66cms de cuisses et 46 cms de bras au naturel.
Mes performances en 2004, à l’âge de 24 ans, et à l’entraînement, sont les suivantes : 220 kilos en triplé au développé couché (78 kilos de poids de corps), 130 kilos en série de six au développé nuque (90 kilos de poids de corps), 300 kilos au squat (entre 94 et 98 kilos de poids de corps) (voir photo), 200 kilos au soulevé de terre, 52 kilos haltères en développé, et 42 kilos pour les autres exercices. »
Oh p… ! J’ignore si cet Alexandre fait des alexandrins, mais je vois qu’il a des arguments qui savent d’emblée convaincre son public et clouer le bec à ses éventuels détracteurs ! Alors réflexion faite, je remets ma plume acérée dans ma culotte et laisse mes lecteurs se faire par eux-mêmes une opinion sur la prose et la poésie de notre Monsieur Muscle lorrain. Ah ben voui, quand même cocorico ! Quoique…
Pour découvrir le livre publié chez Publibook : http://www.publibook.com/boutique2006/detail-3022-PB.html
Nous n’avons pas pu nous y rendre en raison d’une fête familiale. L’année prochaine peut-être, car à n’en pas douter, les problèmes dans un an seront toujours les mêmes…
Pendant plus d’un an, nous allions chaque jeudi déjeuner au restaurant « Les Césars » situé sur notre belle Place Stanislas. En journée continue chez un client sis Place Carnot, je ne rentrais pas à la maison ; Monique venait me chercher et nous allions donc aux Césars où nous prenions invariablement le menu à 10 euros (plat du jour ou pizza du jour ou salade du jour, boisson et café).
Certes, pour un établissement ayant pignon sur la prestigieuse place nancéienne, la propreté du personnel laissait à désirer. Non seulement l’uniforme n’était pas de rigueur, mais les taches, les accrocs, les ourlets décousus, les chaussures ternes voire boueuses contrastaient considérablement avec le faste de la place et du décor du restaurant lui-même.
Mais nous mangions sur le pouce et pouvions bénéficier de la vue sur la place. Car bien que Nancéiennes, nous ne nous lassons pas de l’architecture grandiose du lieu.
Cependant nous ignorions risquer l’intoxication alimentaire chaque semaine ! L’état d’insalubrité des lieux, dévoilé par le Département des Fraudes, est édifiant… Voir ci-dessous les différents articles parus dans l’Est Républicain :
estrpublicain22janvier2010restaurantcsars.doc
estrpublicain30mars2010restaurantcsars.doc
estrpublicain31mars2010restaurantcsars.doc
estrpublicain27avril2010restaurantcsars.doc
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