Combien je comprends cette boulimie d’activités, toujours un film ou un livre d’avance, voire de front, et cette frustration liée au temps qui file trop vite. Patrice Leconte, qui a commis un certain nombre de films dans des registres très différents et dont tous ne sont pas des chefs-d’oeuvre, est un cinéaste attachant et très drôle.
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Archive pour la Catégorie 'Coupures de presse'
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En costume bleu marine et cravate sobre, les jeunes sont accusés de conformisme, en pantalon taille basse dont le fond leur arrive aux genoux, ils sont accusés de négligence…
Bon ! je mentirais si je disais que le mariage princier me passionne ! Mais comme c’est l’actualité du jour… :
Tantonville
Des petits écoliers poètes
La poésie étant inscrite dans le projet d’école 2010-2011, Mme Gaspard, directrice de l’école St Firmin-Tantonville a fait appel à une professionnelle de la plume, Isabelle Chalumeau, pour démystifier cette forme d’art du langage. Toute l’école…
Les élèves inventant un poème.
La poésie étant inscrite dans le projet d’école 2010-2011, Mme Gaspard, directrice de l’école St Firmin-Tantonville a fait appel à une professionnelle de la plume, Isabelle Chalumeau, pour démystifier cette forme d’art du langage. Toute l’école, pendant quelques heures a bénéficié de la science de l’écrivain public.
Pour les grandes classes, l’objectif était de construire un poème sur un thème choisi préalablement comme le printemps, l’arbre ou les voyages. Après avoir eu un rappel par les enseignants et l’écrivain sur les notions de base de la poésie comme les strophes, les quatrains, les pieds, ou les rimes… les élèves ont élaboré ensemble des poèmes en respectant le thème choisi. Exemple d’une strophe sur l’Australie bâtie par les élèves du CM en une petite demi-heure : « Dans le bush des arborigènes-Les kangourous sautant partout-Regardent l’horizon des plaines-Et rêvent d’un monde sans cailloux ».
Bravo aux futurs poètes pour leur travail.
Dédicace
Les Vies croisées de Zaz, écrivain public
A L’OCCASION de la sortie de « Vies croisées », son 13e ouvrage et 3e tome de la saga « Colin-Maillard », Isabelle Chalumeau – dite Zaz – était au CILM afin de présenter ses œuvres et de les dédicacer. Pour rappel, la saga familiale a débuté par « La lavandière d’Igney », sorti en 2009…
Isabelle Chalumeau présentait son nouvel ouvrage au CILM de Laxou, un franc succès.
A L’OCCASION de la sortie de « Vies croisées », son 13e ouvrage et 3e tome de la saga « Colin-Maillard », Isabelle Chalumeau – dite Zaz – était au CILM afin de présenter ses œuvres et de les dédicacer. Pour rappel, la saga familiale a débuté par « La lavandière d’Igney », sorti en 2009, retraçant l’histoire de cette dame qui a eu 11 enfants et qui en a accueilli de nombreux autres, issus de l’assistance publique. Personnage ayant réellement existé, la lavandière d’Igney était la mère adoptive de Malou et celle-ci a eu une fille, Monique Colin, l’amie de Zaz.
« Malou » est par ailleurs le titre du second tome sorti en 2010. Alors que l’histoire de la famille Colin s’inspire largement de faits réels, l’histoire de la famille Maillard est elle plus fictive, bien qu’elle soit basée sur les ascendants de Zaz. Egalement en auto-édition, « Vies croisées » aborde la rencontre entre ces deux familles et sera suivi par le 4e et dernier tome « Elles » dont la sortie est prévue pour 2012.
« Ça m’a fait plaisir que tout le monde réclame ce 3e tome, des amis mais aussi des gens que je ne connais pas », a confié Isabelle Chalumeau lors de la présentation, remerciant également Monique pour l’aide qu’elle lui apporte. Ecrivain public, Zaz est également auteur de recueils de poésies et de nouvelles, ainsi que du roman épistolaire « Ecrivez-moi ». Isabelle Chalumeau fera une nouvelle séance de dédicaces le 9 avril à Cora Houdemont. Informations sur ichalumeau.free.fr.
Voici l’article paru dans l’Est républicain du 25 février 2011. Me concernant, il comporte quelques petites erreurs que je pardonne volontiers au journaliste !
Mardi soir, plusieurs auteurs qui seront présents dimanche au salon « Autour du Livre » de Chaligny, sont venus parler de leurs ouvrages, les dédicacer et expliquer leur besoin d’écrire.
Cette rencontre était organisée par Michèle et Béatrice du club Imacréa et animée par Emmanuel Parmentier, responsable des bibliothèques en réseau de la CCMM.
Fabrice Gœury est un jeune auteur qui a pris la plume il y a 2 ans. Après un premier essai avec « Sous le grand cerisier blanc », dont l’intrigue se situe en Lorraine, il a réitéré avec un recueil de nouvelles « Clara et les nouvelles du monde ».
Christian Ingret-Taillard a déjà écrit des poèmes et des musiques de chansons. Dans son métier d’éducateur spécialisé, il a puisé des personnages et des situations qui l’ont inspiré. Son roman, « Le rêve de papier » relate l’accouchement d’un livre, tandis que dans « Clair-obscur » il nous emmène dans une enquête policière.
Le monde de Bernard Trésor est bien plus visuel car il s’adonne à la B.D. Il s’est lancé à sa retraite. Ses scénarios sont ancrés dans le réel, puisque partant de faits divers et il les fait évoluer entre réalité et fiction.
Les décors sont ceux de Nancy et du patrimoine local. Son trait n’est pas celui de la palette graphique mais bien celui de la B.D. artisanale qui se colorise à l’aquarelle comme sa dernière sortie « Mortel Blues ».
Etait également présente Isabelle Chalumeau. Elle a participé à de nombreux concours littéraires et a notamment reçu l’Alérion d’or en 2002. Elle s’est beaucoup enrichie, nous dit-elle, au contact des gens car elle est écrivain public.
Elle sera présente à Chaligny dimanche avec le dernier volume d’une saga familiale « Malou ».
Si tous les quatre trouvent certains salons du livre peu enrichissants mais souvent des passages obligés, ils se sentent beaucoup plus proches du public quand ils viennent à des salons comme « Autour du Livre ». « L’auteur est plus abordable, le public ose davantage même s’il a peur parfois de ne pas trouver les mots ».
J’comprends pas, j’croyais qu’en Chine, on ne trouvait les chiens que dans les nems ! Non, j’déconne !!!
Tout à fait d’accord avec cet article. C’est vrai qu’à force de ne plus appeler un chat un chat, on finit par ne plus savoir de quoi l’on parle exactement. Lorsque j’entends « non-voyant » ou « non-entendant », je me demande toujours où est l’insulte si on dit de quelqu’un qu’il est aveugle ou sourd ! Pourquoi ne pas dire d’un paraplégique qu’il est « non-marchant » et d’un chômeur qu’il est « non-travaillant » ? La peur des mots conduit à l’absurde.
Il y a des gens qui ne doutent de rien ! Non contente d’avoir effrayé l’animal, cette visiteuse indélicate voudrait par dessus le marché lui faire ouvrir le ventre !
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