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Archive pour la Catégorie 'Coupures de presse'
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N’hésitez pas à aller sur le blog http://delitmail.blogspot.com/ , c’est assez drôle !
C’est quand même vrai que si on traitait toutes les arthroses par médicaments, tous les chirurgiens orthopédistes n’auraient plus qu’à aller pointer à l’ANPE, et moi avec puisque j’en compte un certain nombre parmi mes clients !… Mais c’est pour beaucoup de choses ainsi. Quand on veut supprimer la drogue, pense-t-on à tous les gens qui vivent de la culture puis de la vente et enfin des méfaits de la drogue ?
Quarante mille dollars pour du touche-pipi, c’est quand même sévère ! Tout le monde sait que les footballeurs se tripotent pendant un match !…
Moi j’aime bien quand Gloria est à ce point égocentrique qu’elle en oublie le dessert de son fils ! Pauvre Doudou !!!
Les interprètes ne sont pas suffisamment mis à l’honneur car sans eux, combien d’auteurs resteraient inconnus des lecteurs étrangers à sa langue ?
On n’arrête pas le progrès ! Mais pourquoi pas ? Personnellement, je n’ai pas le culte des tombes, donc déposer un bouquet de fleurs virtuelles sur une tombe virtuelle confortablement assis dans son fauteuil de bureau, devant son écran d’ordinateur, ne me paraît pas plus absurde ou ridicule ou inutile qu’aller à la Toussaint fleurir la tombe familiale dans un cimetière glacial. Et cela peut, a contrario, séduire les personnes qui ne peuvent pas se déplacer.
C’est en quelque sorte un container de recyclage comme il y a des bennes pour récupérer le verre et le papier. En plus, les mioches tombent dans du coton… Elle est pas belle la vie !… Je sens que je vais me faire lyncher !!!
Ceux qui doutaient encore qu’on est pisté peuvent dormir sur leurs deux oreilles, on les retrouvera quoi qu’il arrive et où qu’ils soient !…
D’ici peu, il y aura un livre et un film sur le sujet, car les grands malheurs mis en mots ou en images font de grands chefs-d’oeuvre :
Saint-Max Des auteurs en salon
L’écrivain face à son lecteur.
Ils étaient une trentaine d’auteurs à avoir répondu présent pour le premier salon littéraire organisé par la ville de Saint-Max.Un mini-événement dans la commune, résolument tournée vers le culturel avec la réhabilitation future du Château du Pont de la Meurthe, pôle d’animations culturelles.
Dès 10 h du matin,ce dimanche, les écrivains, essentiellement lorrains prenaient leurs quartiers pour la journée dans cette grande salle du foyer Léonard,en espérant passer de bons moments de « communion avec le public ». Marie-Thérèse Wininger, l’auteure locale avait fait « marcher » son carnet d’adresses et ses relations. Chacun avait son box individuel et ceux qui sont venus, ont pris le temps de discuter et d’apprécier la diversité des ouvrages proposés : de l’histoire de l’Opéra de Nancy par Paul Leboeuf au roman de Gérard Coppens, président de l’Adill,au recueil de poésies de Bernard Appel ou bien encore les contes pour enfants de Fred Fort,venu tout exprès de Bayonne. Danièle Verdenal a présenté « Mémoire enfouie » en deux tomes : un gros travail d’archives pour relater l’histoire de Saint-Max qui a impressionné les visiteurs et qui a d’ores et-déjà été acheté par le maire Eric Pensalfini. « Une mine d’or » pour les Maxois. Impossible de citer tous les écrivains présents mais une seconde édition est déjà en réflexion pour l’année prochaine.
Voilà le message que m’écrivait ce matin une amie en joignant le fichier ci-dessous.
Bon, déjà, je savais pas qui était ce Solal… Jamais entendu parler de cet oiseau ! Alors boum ! je saute sur mon clavier et tape avec frénésie le mot magique : GOOGLE. J’comprends pas trop pourquoi la nana dit que le fameux Solal est beau à s’en arracher le soutien-gorge… Chais pas… chuis p’tet pas bon juge… Enfin bon, je vous livre le truc, y en a sans doute qui savent !
M’est avis que cette grand-mère voulait à tout prix être chez elle pour le coup d’envoi du match de rugby France-Angleterre ! En plus de la défaite de son équipe, elle aura peut-être écopé d’une amende et qui sait, d’un retrait de permis… Damned !
Ben oui quoi ! on n’a pas toujours envie, en rentrant du boulot, de se mettre à éplucher une tonne de légumes pour cuire une vraie soupe ! Moi j’en connais un qui mange une boîte de bonbons Haribo pour dîner ! hi hi hi !
L’article ci-dessous dénonce un affreux tic de langage : le mot « quoi » dont certains, et pas uniquement des gosses du 93, ponctuent toutes leurs phrases. Je pense qu’ils ne s’en rendent pas compte et seraient bien étonnés de s’entendre parler ! Cela me fait penser au tic qu’avait mon fils en commençant ses phrases par « T’sais ». Je répondais « non, je ne sais pas » et quand cela devenait trop agaçant, je disais : « Tsé ? La mouche ? ». Cela l’énervait un peu mais il prenait conscience de son tic et cela lui est un peu passé même si la bestiole essaie toujours de revenir sous la langue de mon garçon !
Mais ce qui m’agace le plus est la tendance des quadras, quinquas et même plus à essayer de s’approprier un langage, des gestes (par exemple la manière dont les jeunes se saluent en se frappant les poings au lieu de se serrer la main) et des codes vestimentaires qui ne sont pas les leurs et qui les rendent ridicules alors qu’ils croient faire « djeun » ! Je trouve ces gens-là pathétiques, mais c’est peut-être moi qui suis réactionnaire !
Cette lettre codée est très connue mais je ne résiste pas au plaisir de la publier quand même. La version codée est une superbe lettre d’amour et la version décodée un message salace qui frise la vulgarité. Mais quel grand art !
A l’heure des messages bâclés et rédigés dans un langage phonétique et abrégé, je ne peux être qu’admirative devant la subtilité de cette lettre même si j’imagine bien que Sand, le talent aidant, a sans doute mis moins de temps à la composer que moi à taper un sms sur mon portable !
A signaler quelques erreurs de retranscription vers la fin de la missive de George Sand, mais vous saurez les rectifier par vous-mêmes !
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