Après avoir décidé, par référendum, de sortir de l’Europe, les Islandais viennent d’éjecter l’équipe de football anglaise de la compétition.
Il y a là une certaine logique…
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Archive journalière du 27 juin 2016
L’actrice française Nicole Courcel, de son vrai nom Nicole Andrieu, est décédée dimanche 26 juin 2016.
Elle avait tourné avec de nombreux réalisateurs, notamment Jean Cocteau, Marcel Carné, Claude Lelouch et Jacques Becker qui lui avait donné son premier rôle au cinéma en 1949 dans « Rendez-vous de juillet » où elle jouait le rôle de Christine Courcel, patronyme qu’elle avait gardé ensuite pour la scène.
Elle avait 84 ans.
L’acteur italien de western spaghetti Bud Spencer, connu pour ses duos au cinéma avec Terence Hill, est mort aujourd’hui 27 juin 2016.
Il avait 86 ans.
Ecrivain français, auteur d’ouvrages de science fiction, sa marque de fabrique était le pessimisme.
Son premier roman intitulé « La Sirène rouge », publié par Gallimard dans la célèbre Série Noire en 1993, avait été récompensé par le trophée du meilleur roman francophone. Deux ans plus tard, le même éditeur publie « Les racines du Mal », roman dans lequel l’auteur mélange le suspens, la science-fiction et l’anticipation politique. Cet ouvrage, traduit dans une quinzaine de langues, est considéré comme son chef-d’oeuvre.
Installé au Canada depuis la fin des années 1990, il avait écrit une douzaine de romans et était considéré comme l’un des grands auteurs francophone de science-fiction.
Il est décédé samedi 25 juin 2016 d’une crise cardiaque ; il avait 57 ans.
Autobiographie ou roman de fiction, ce récit est l’histoire d’un enfant maltraité, physiquement et psychologiquement.
Fils d’un professeur de collège mal considéré et d’une paysanne bornée, bête et méchante, Jacques Vingtras subit les coups et les humiliations avec le stoïcisme de tous les enfants battus qui assimilent les coups à des marques d’attention et qui souvent mettent longtemps à comprendre que le comportement de leurs parents n’est pas normal. Le petit Jacques aime ses parents et est convaincu qu’ils l’aiment en retour puisqu’ils le frappent « pour son bien ». Il est alors très étonné de découvrir que ses camarades ne reçoivent pas tous gifles et coups de fouet et il les plaint même d’avoir des parents aussi peu aimants ! Vers la fin de l’adolescence, alors qu’il séjourne à Paris, il cherche à s’émanciper, après avoir enfin compris qu’il était préférable pour lui de se séparer de ses parents afin qu’ils l’aiment un peu moins !…
Ecrit dans un style grinçant, avec un humour qui met le lecteur souvent mal à l’aise, cet ouvrage est celui de la maltraitance universelle et intemporelle.
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