Le 30 septembre 1928, Alexander Fleming découvre la pénicilline.
Le savant écossais doit sa découverte au hasard, grâce à une culture de champignons oubliée plusieurs jours dans son laboratoire. Il découvre qu’autour des champignons, les bactéries de type staphylocoques ont disparu.
La pénicilline, produite par cette moisissure, est une substance antibactérienne d’une grande activité et très efficace dans le traitement de certaines infections.
En 1939, Chain et Florey reprennent les travaux de Fleming, isolent chimiquement la pénicilline et en font l’étude pharmacologique et clinique.
Produite de manière industrielle, la pénicilline comme antibiotique est introduit en thérapeutique en 1941.
Quatre ans plus tard, Fleming, Chain et Florey obtiennent le prix Nobel de médecine.
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Archive mensuelle de septembre 2015
Le 29 septembre 1913 décède Rudolf Diesel, ingénieur allemand.
En route vers Londres, il disparaît du pont du navire Dresden et est présumé mort noyé.
Le suicide est probable mais cette mort reste mystérieuse.
Inventeur du moteur éponyme pour lequel il a obtenu en Allemagne un brevet en 1892, ses recherches l’amènent à fabriquer le premier moteur diesel en 1897 qui utilise des huiles végétales comme carburant.
En récompense de ses travaux, il a reçu en 1900 la médaille d’or de l’Exposition universelle de Paris.
Le 28 septembre 1924 se termine le premier tour du monde en avion.
Le 6 avril de cette même année, quatre avions et huit pilotes quittent Seattle aux Etats-Unis pour tenter un tour du monde en avion.
Chaque avion représentait une ville : Chicago, Boston, New Orleans et Seattle.
Cent soixante-quinze jours plus tard, trois appareils et six hommes deviennent les premiers à avoir effectué cet exploit.
Malheureusement, l’appareil qui représentait la ville de Seattle ne revient pas, perdu dans les montagnes de l’Alaska.
Pour réussir cette performance, à cette époque, il a fallu la collaboration de 28 pays pour établir les postes de ravitaillement.
Le 27 septembre 1748, la peine des galères disparaît en France.
Par une ordonnance signée par Louis XV, une partie des personnes condamnées aux galères est dirigée vers des bagnes.
Apparue vers le début du XVIe siècle, la peine des galères était très utile en temps de guerre.
Ces bateaux étaient en effet les principaux navires de combat sur la Méditerranée. L’apparition de l’artillerie lourde signifia progressivement la fin des galères, cependant encore utilisées jusqu’au XIXe siècle.
Bateau fragile, la galère ne pouvait être utilisée que pendant la saison estivale. Elle était propulsée par des rameurs qui pouvaient être des prisonniers de guerre, des renégats, des esclaves ou des hommes libres.
Ceux qui me connaissent bien le savent : je n’aime pas les gosses ! Et encore moins les bébés ! Je les trouve généralement bruyants, sales et terriblement ennuyeux !
Hormis mon fils, enfant adorable, quelques-uns parviennent à m’intéresser, comme ce petit bonhomme dans la famille de Monique qui sut très tôt s’exprimer et se comporter en enfant civilisé et non en sauvage qui hurle et court partout ! Le plus insupportable étant ceux qui se comportent ainsi dans les restaurants ! Alors que je me plaignais récemment à un serveur de la présence de nombreux enfants dans l’établissement, il eut cette réplique délicieuse : « On devrait les accrocher à des anneaux, comme les chiens aux portes des magasins ! »
Bref, les bébés souvent m’insupportent, mais vendredi, au vernissage d’une exposition, j’ai fait la connaissance d’un petit Maxime tout à fait extraordinaire !
Âgé de huit mois, il accompagnait sa maman, sagement assis dans sa poussette. Dès que je me tournai vers lui, il me lança un sourire lumineux et je me sentis fondre. Perplexe, je demeurai immobile, m’attendant à des cris et des pleurs. Mais non, il me regardait toujours et souriait ! Alors je m’accroupis et tentai sur lui le seul jeu que je connaisse : celui de la petite bébête qui monte ! Sous mes doigts qui escaladaient ses jambes puis son torse, le bébé se trémoussa puis lança un petit gloussement lorsque mon index toucha brièvement le bout de son nez. Et il me regarda, manifestement désireux de sentir encore une fois la bébête monter à l’assaut de son nez ! Puis une troisième fois, et une quatrième… Etonnée moi-même, je ne me lassais pas d’entendre les grelots de son rire ! Jusqu’à ce que la maman s’éloigne de quelques pas et que le bébé émette une sorte de gémissement et que sa bouche se torde. De toute évidence, il allait bientôt se mettre à crier !
Ouf ! le monde rentrait dans l’ordre ! Je pouvais me relever et cesser d’imiter les mamies gâteuses qui souvent m’horripilent !…
Hier avait lieu le vernissage du 22e Salon d’Automne organisé par l’association Cercle des Arts de Laxou-Champ-le-Boeuf.
L’exposition réunissait vingt-six artistes, dont huit enfants de l’atelier du mercredi animé par la Présidente, Monique Colin, qui présentaient plus de 130 tableaux, toutes techniques confondues : huile, pastel, aquarelle, acrylique, et même des photos et des poèmes illustrés.
L’invité d’honneur était André POIRISSE, de Cornimont dans les Vosges, un jeune homme de… 95 ans !!! Alerte, pétillant et plein de projets dans la tête !
L’exposition est visible encore jusqu’au 2 octobre 2015 (sauf dimanche) dans la salle de spectacle du CILM, 23 rue de la Meuse, 54520 LAXOU-CHAMP-LE-BOEUF.
Deux peintures à l’huile d’André POIRISSE
André POIRISSE et son épouse, très élégants et souriants tous les deux.
De gauche à droite : la Présidente, Monique COLIN, Elisa, la plus jeune exposante, Laurent GARCIA, maire de Laxou, et André POIRISSE.
Photo de groupe des exposants (il en manque quelques-uns)…
Pour voir toutes les photos (toutes réalisées par Jacques METIVIER que je remercie vivement) cliquer sur l’album ci-dessous :
Le 26 septembre 1897 naît Giovanni Montini.
Surnommé « Le pélerin » en raison de ses nombreux voyages, il deviendra le 260e pape sous le nom de Paul VI du 21 juin 1963 jusqu’à sa mort le 6 août 1978.
Le 25 septembre 1980 a lieu à Pittsburgh aux Etats-Unis le dernier concert de Bob Marley.
Le chanteur interprète seul « Redemption song » devant son groupe, effondré. En effet, l’ambassadeur du reggae est malade.
Atteint d’un cancer depuis 1977, il est de plus en plus affaibli ; il mourra durant son sommeil à l’hôpital de Miami le 11 mai 1981.
Il sera enterré en Jamaïque dix jours plus tard après des funérailles nationales.
― Le papier, c’est quelle poubelle ?
― La bleue.
― Et le verre ?
― La verte.
― Et le papier de verre ?
(Cette blague a dû être inventée pour moi !!! )
Le 23 septembre 1870 décède Prosper Mérimée, écrivain français, mais aussi historien et archéologue.
Né en 1803 à Paris, il est l’auteur de romans historiques mais il doit sa notoriété à ses nouvelles, notamment « Carmen ».
Il a été élu à l’Académie française en 1844.
Le 22 septembre 2001 décède Isaac Stern, violoniste américain.
Né en 1920 en Ukraine, il décède à New York à l’âge de 81 ans.
Violoniste exceptionnel, il interprétait avec brio des oeuvres très rythmées.
Le 21 septembre 1866 naît Herbert George Wells, écrivain britannique, mais aussi journaliste, sociologue et historien.
Il est notamment l’auteur de « La Guerre des Mondes » et « L’homme invisible ».
Il décède en 1946.
Le 20 septembre 1898 a lieu le premier vol dirigé.
L’ingénieur et aéronaute brésilien Albert Santos-Dumont réussit à faire voler son dirigeable équipé d’un moteur à explosion de Saint-Cloud à Paris, aller-retour.
Connu pour sa personnalité farfelue, Santos-Dumont se rendait en dirigeable à des rendez-vous mondains sur les Champs-Elysées et accrochait son véhicule volant aux lampadaires.
Le 19 septembre 1928 naît Adam West, acteur américain.
Il est surtout connu pour son rôle de « Batman » dans la série télévisée du même nom de 1966 à 1968.
Le 18 septembre 1981, la peine de mort est abolie en France.
Les députés votent pour à une grande majorité (369 sur 482) et ce vote amènera la loi d’abolition du 9 octobre suivant.
Abolie une première fois en 1795 par la Convention, la peine capitale avait été rétablie en 1810.
Un peu moins d’un an plus tard, nouvelle tentative d’abolition pour transformer la peine de mort en emprisonnement perpétuel, mais le projet de loi est rejeté.
A partir de 1939, les exécutions ne sont toutefois plus publiques et à partir de 1951, les journalistes ne sont plus autorisés à en rendre compte.
Mais il faudra attendre la présidence de François Mitterrand en mai 1981 pour que le dossier soit de nouveau débattu à l’Assemblée nationale.
La dernière exécution avait eu lieu en 1977.
Encore quelques photos en souvenir du Livre sur la Place de Nancy :
De gauche à droite : Bernard APPEL, Nicole METIVIER, Zaz CHALUMEAU et Maïté WININGER
Merci à Jacques METIVIER pour ces photos !
Merci à Daniel MAZZUCOTELLI pour ce cliché.
Pour voir l’ensemble des photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Un établissement entre cantine et restaurant.
Comme dans n’importe quel self d’entreprise, on prend son plateau, on choisit son entrée et son dessert avant de se diriger vers la chaîne des plats chauds.
Dans la salle, de très grandes tables et des bancs en bois. Un distributeur d’eau et une machine à café sont à la disposition des clients.
L’endroit est très propre (neuf) et c’est une façon agréable de sortir de l’entreprise pour se retrouver entre collègues et déjeuner à un prix très raisonnable.
Les moins :
– un peu difficile à trouver dans la zone industrielle de Maxéville
- pas de parking dédié
- pas de site Internet
Les plus :
- très propre et très fonctionnel
- excellent rapport qualité/prix
Adresse :
rue Bisieaux
54320 MAXEVILLE
Tel : 03 83 48 66 42
Page Facebook : https://www.facebook.com/pages/La-Kantine/388548988011670
Tistou est berger transhumant originaire de la Camargue. Un jour, alors qu’il séjourne avec son troupeau sur un plateau en Lozére, il rencontre Jacquotte et les deux jeunes gens tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Mais leur projet de mariage ne plaît pas à Maria, la sœur aînée de Jacquotte qui l’a élevée seule dès sa naissance, après la mort de leur mère en couches puis du père.
Maria a épousé Philippe, un fermier pour le compte d’un riche propriétaire, et a trouvé un bon parti pour sa sœur. Mais Jacquotte lui tient tête et épouse Tistou qui accepte de renoncer à la vie errante de berger transhumant pour se fixer avec son épouse et emménager dans la petite maison dont Jacquotte a héritée. La vie est difficile, mais ils vivement heureux.
Une nuit d’hiver 1870, Tistou tue accidentellement un maquignon malhonnête qui lui devait de l’argent. Cette mort passe pour un accident à cause du sol verglacé et Tistou, qui a récupéré son argent sans rien voler, reprend sa vie auprès de son épouse sans rien révéler de son secret.
Alors que le jeune couple se réjouit de la naissance prochaine de leur premier enfant, un homme laisse sous-entendre à Tistou qu’il a été témoin de l’accident mortel…
Après la mort soudaine de Philippe, Maria demande à sa sœur et son beau-frère de venir habiter à la ferme afin de l’aider à l’exploiter et surtout rassurer le propriétaire par la présence d’un homme pour gérer l’exploitation. Mais ce n’est qu’une façade, car Maria n’a nullement l’intention de mêler Tistou à la gestion de ses affaires. Pour elle, il reste un bon à rien et le traite en domestique.
Lorsque Maria apprend les vraies circonstances de la mort du maquignon, elle voit là enfin une occasion de se débarrasser de Tistou qu’elle chasse en le menaçant de dénonciation auprès des gendarmes s’il ne quitte pas la ferme sur le champ, sans même embrasser son épouse et ses jumeaux.
Tistou s’en va en espérant retrouver un jour sa famille. Mais Jacquotte aura-t-elle la force de l’attendre ?
Pas de la grande littérature, mais on ne s’ennuie pas et le récit se situe dans une superbe région : celle de mes récentes vacances !
Le 17 septembre 1939, l’armée soviétique entre en Pologne.
Une clause secrète du pacte germano-soviétique signé en août de cette même année entre Hitler et Staline permet en effet aux deux puissances d’envahir l’une après l’autre la Pologne. Deux semaines après l’entrée des allemands à l’Ouest, les Soviétiques passent la frontière à l’Est. Début octobre commence la traque des juifs qui seront enfermés dans des ghettos.
Auteur, compositeur et interprète, Guy Béart est mort à l’âge de 85 ans, d’une crise cardiaque dans la rue alors qu’il se rendait chez son coiffeur.
Parmi ses nombreuses chansons, on se souvient tous de « L’eau vive » !!!
Le 16 septembre 1891 naît Karl Dönitz, amiral allemand.
Il atteint le rang de grand amiral dans l’Allemagne nazie, sans avoir pourtant jamais adhéré au parti nazi.
Il sert comme commandant en chef des sous-marins et participe avec sa flotte à la bataille de l’Atlantique, en essayant de priver le Royaume-Uni des approvisionnements indispensables des États-Unis et d’ailleurs. Enfin, il devient durant 20 jours, après le suicide d’Adolf Hitler, président de l’Allemagne.
Jugé pour crimes de guerre, il est condamné à 10 ans de prison.
Le 15 septembre 1898 décède Williams Burroughs, employé de banque américain.
En 1892, il invente la première machine à calculer commercialement viable.
Poursuivi en justice pour avoir traité Nadine Morano de « conne » lors d’un spectacle à Toul (54), l’humoriste Guy Bedos a été relaxé aujourd’hui par le tribunal correctionnel de notre belle ville de Nancy (54) qui a estimé qu’il était resté dans « la loi du genre » en tant qu’humoriste et qu’il n’avait « pas dépassé ses outrances habituelles » !
La députée européenne, née Pucelle (changé en Pugelle par décret en 1976 !) à Nancy, avait réclamé la somme de 15.000,00 euros pour injure publique. Samedi dernier, dans l’émission de Laurent Ruquier « On n’est pas couché », Guy Bedos s’était insurgé contre cette somme, traitant à nouveau la députée de « conne » avant de déclarer, avec un petit air malicieux, qu’il avait eu l’impression d’avoir le juge de son côté lors de l’audience du 7 septembre dernier !…
Je sais que ce n’est pas bien de traiter publiquement un homme ou une femme de con ou conne, mais j’adore cette photo avec le visage lumineux et décontracté de Bedos en opposition au visage sombre et crispé de Morano. Je trouve qu’elle illustre à merveille l’état d’esprit des deux protagonistes.
La députée rappelant, en cours d’audience, à l’humoriste qu’il ne se trouvait pas ici dans une salle de spectacle, ce dernier aurait répondu : « Ah non ? Nous faisons pourtant à peu de chose près le même métier, vous et moi ! » J’adore. J’ai une tendresse particulière pour cet homme qui affiche toujours une bonne tête de sale gosse !
(photo : JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP)
Le 14 septembre 1927 décède Isadora Duncan, danseuse américaine.
Elle révolutionne la pratique de la danse par un retour au modèle des figures antiques grecques. Souple et svelte, elle illustre sa conception personnelle de la danse qui passe par l’épanouissement du corps.
Pour ses chorégraphies, elle s’inspire des peintures des vases grecs et imite les positions et attitudes des jeunes filles, déesses et prêtresses de l’Antiquité.
Sa liberté d’expression et de mouvements pose les premières pierres de la danse moderne ; pour mettre en avant la beauté corporelle, elle danse seulement vêtue de quelques voiles.
La vie privée de la danseuse est cependant jalonnée de nombreux malheurs. Elle perd ses deux enfants qui se noient dans une voiture tombée dans la Seine, puis son compagnon Sergueï Essenine la quitte avant de se suicider en 1925. Elle-même meurt donc en 1927, étranglée par l’écharpe qu’elle portait et qui s’était prise dans la roue de son automobile en marche.
Le 13 septembre 1956 est inventé le premier disque dur.
Destiné au stockage de données informatiques, il a été réalisé par un laboratoire de la société IBM.
Composé de 50 disques rotatifs d’un diamètre de 24 pouces, l’appareil pouvait être loué pour la somme de 50 000 dollars/an.
Sa capacité totale était de… 5 Mo !!! (autrement dit une misère selon les critères actuels !)
Il pesait plus d’une tonne !
Le 12 septembre 1943, Mussolini est libéré par un commando nazi.
Emprisonné dans les Abruzzes depuis le mois de juillet, le « Duce » est enlevé par les hommes du capitaine Otto Skorzeny.
Grâce à cette évasion spectaculaire, Mussolini peut créer un nouvel état fasciste à Salo, au nord de l’Italie, placé sous les autorités allemandes.
Cette république fasciste italienne sera destituée après la débâcle allemande au printemps 1945 ; Mussolini sera arrêté et exécuté par des partisans italiens le 27 avril 1945.
Comme chaque année, la rentrée littéraire s’est effectuée au Livre sur la Place, manifestation de renom nationale sur la Place de la Carrière à Nancy.
Comme les années précédentes, j’y étais cet après-midi aux côtés de Maïté WININGER, une amie auteur ; de belles rencontres avec le public et malgré la morosité dont les médias ne cessent de nous rebattre les oreilles, quelques belles ventes.
Rendez-vous pour ce qui me concerne demain matin de 10h à 14 h 30.
(Photos réalisées par mon amie Sophie T. que je remercie vivement)
Avec une fan, Sophie T., auteur des deux précédentes photos.
Le 11 septembre 1917 décède Georges Guynemer, pilote français.
Capitaine dans l’aviation française, il remporte 53 victoires homologuées en combat aérien.
Abattu dans le ciel belge par le pilote allemand Kurt Wisseman, Guynemer est « vengé » par le sous-lieutenant français Fonck qui abat Wisseman à son tour une vingtaine de jours plus tard.
Le 10 septembre 1972, Jacques Mesrine, criminel français, et son complice Jean-Paul Mercier, assassinent deux garde-forestiers.
Condamné en août 1972 à dix ans de prison à Saint-Vincent-de-Paul au Canada, Mesrine s’évade avec cinq autres détenus dont Mercier de cette prison réputée inviolable…
Alors que Mesrine et Mercier s’exercent au tir dans une forêt, deux garde-forestiers alertés par les coups de feu surgissent et leur demandent ce qu’ils font là. Aussitôt, les deux criminels tirent et abattent sans sommation les deux gardes âgés de 50 et 62 ans.
Mesrine devient « Ennemi Public n°1″ au Canada.
Les deux malfaiteurs et leurs fiancées quittent le Canada pour le Venezuela.
Ingrédients (pour 2 à 4 personnes) :
1 kg de pommes de terre – 400 g de tome fraîche d’Aubrac
graisse de canard – 3 gousses d’ail – sel et poivre – persil
Peler et couper les pommes de terre en fines rondelles.
Les faire revenir dans la cocotte à feu vif.
Pendant ce temps, peler et écraser l’ail et couper le fromage en lamelles.
Quand les pommes de terre sont bien cuites et dorées, verser le fromage en une fois, couvrir et baisser le feu de moitié.
Deux minutes plus tard, incorporer l’ail et bien mélanger le tout.
Saler et poivrer puis parsemer de persil.
Servir tel quel ou avec de la charcuterie et de la salade verte.
Bon appétit !
A la vue, ce n’est pas terrible, mais au palais !…
C’est un plat économique – pas de truffe dans la truffade ! – et savoureux.
Nous avons rapporté cette recette de notre séjour en Aveyron. Il s’agit d’un plat typique des montagnes de l’Aubrac. Il constituait le repas complet des buronniers, leur seule réserve de nourriture pendant l’estive se composant essentiellement de pommes de terre, avec le fromage qu’ils fabriquaient eux-mêmes.
Le terme truffade viendrait de l’occitan « trufada » qui signifie patate !
Le 9 septembre 1890 naît Harland David Sanders, homme d’affaires américain.
Il ouvre un premier restaurant à Carbin dans le Kentucky en 1930 où il développe sa fameuse recette de poulet frit qui fera sa renommée.
Il décède en 1980.
À une vingtaine de kilomètres au nord-est de Millau se trouve le plus grand labyrinthe rocheux d’Europe.
Situé dans le causse noir, le site a été découvert par M. de Barbeyrac et L. de Malafosse, mais c’est l’avocat et grand spéléologue Édouard Alfred Martel qui trace des cartes et contribue ainsi à la popularisation du site.
Son appellation vient des bergers en transhumance qui venaient avec leurs troupeaux de Montpellier vers le Causse. Voyant de loin ces remparts rochers, ils nommèrent l’ensemble Montpellier-le-vieux.
Il existe cinq circuits pédestres balisés d’une à trois heures de marche pour bons randonneurs. Pour les plus sportifs, il y a la via ferrata : circuit souterrain puis aérien agrémenté de quatre tyroliennes et encadré par des moniteurs.
Nous optons pour la balade en petit train pour avoir une vue d’ensemble du site ! Puis une petite promenade vers un belvédère, réputée facile et qui nous donne une idée de ce que doivent être les circuits plus difficiles !!!
La Porte de Mycènes. La cavité a été creusée par un cours d’eau…
Certaines roches ont de curieuses formes, comme ici une morille !
Ici un visage.
Hélas ! Une semaine de vacances, c’est bien trop court pour visiter cette région si riche en paysages et patrimoine historique et culturel. Il nous faudra revenir…
Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Nous traversons le Causse du Larzac pour nous rendre, au sud-est de Millau, en suivant le Circuit du Larzac Templier et Hospitalier, à La Couvertoirade, vestige historique entouré de remparts datant du XVe siècle. Après quelques hésitations et moult détours en raison d’une route barrée et d’un GPS qui s’obstinait à nous y reconduire, nous arrivons enfin sur le site.
On se gare à l’extérieur de la cité qui se visite exclusivement à pied. Les maisons sont typiques, chacune abritant un commerce ou un atelier d’artisanat.
Sur le chemin du retour, nous rencontrons un troupeau de brebis qui nous offre un joli concert de sonnailles !
Et le soleil se couche sur le causse du Larzac…
Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Nous démarrons le circuit à La Malène, à l’est de Millau, et suivons les méandres du Tarn.
Nous nous arrêtons dans la jolie petite ville de Sainte Enimie :
Nous poursuivons vers Florac dans le département de la Lozère.
Capitale du parc national des Cévennes, la petite cité est au carrefour de trois sites géologiques qui lui offrent des paysages très variés : le schiste des Cévennes, le granit du mont Lozère et le calcaire des Causses. La ville aux dimensions modestes, parcourue par plusieurs cours d’eau, a été particulièrement active dans la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale.
Nous rentrons par Meyrueis et les Gorges de la Jonte et traversons la région des Grands Causses dans laquelle des vautours ont été réintroduits dès le début des années 70.
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De Millau, on se dirige vers l’est en suivant la Dourbie qui se jette dans le Tarn. Entre le Causse noir et le Causse du Larzac, la rivière suit un parcours sinueux. En route, petit détour par l’église du Vigan par un chemin vicinal sur lequel nous avons failli abandonner le pot d’échappement de notre véhicule !
A l’intérieur, l’église est réduite à son strict minimum… Le dénuement prend ici tout son sens !
Sur le retour, un joli moulin :
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À moins de 10 km à l’ouest de Millau, en longeant le Tarn, se situe Peyre, un des plus beaux villages de France.
Bâti sur le flanc d’un roc gigantesque, le village domine le Tarn. Sur le parking en haut du village, quelques amandiers sont en libre accès pour la cueillette. Puis on descend à pied dans les ruelles étroites.
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Les premiers plans ont été ébauchés en 1987 et la mise en service en décembre 2004 ; le viaduc est partie intégrante de l’autoroute A75 qui relie Clermont-Ferrand à Montpellier.
D’une longueur de 2460 m, il repose sur sept piles dont la plus haute culmine à 343 m, soit 19 m de plus que la Tour Eiffel. Chaque pile déploie 2 x 11 haubans. Le tablier d’acier pèse 36.000 T soit cinq fois plus que la Tour Eiffel et l’ensemble a nécessité pas moins de 85.000 m3 de béton soit 206.000 T ! L’ensemble a coûté 400 M€ et bénéficie d’une garantie de 120 ans. Pour le traverser en voiture, en pleine saison touristique, il faut débourser 9,40 €.
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Depuis longtemps, j’avais très envie de voir le célèbre viaduc de Millau. Et puis aussi, à proximité, les Gorges du Tarn. Pour nous rendre à la maison que nous avons louée pour cette semaine de vacances, nous passons sur le viaduc. À l’excitation succède la déception ! Il faudra revenir le lendemain et aller au pied de l’ouvrage pour en apprécier la beauté, la majesté, la grandeur monstrueuse. A peine arrivée, Hella s’installe sur la terrasse.
Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Avant de nous rendre à Saint Leons en Aveyron, près de Millau, où nous avons loué une maison, nous nous arrêtons à Avignon où j’ai réservé une chambre dans un hôtel quatre étoiles (mon péché mignon !…)
Nous arrivons sans encombre un peu après 19h et prenons possession de notre suite.
Le temps de se rafraîchir, qui dans la baignoire qui dans la douche (quand on est pressé, c’est pratique de disposer des deux dans la même chambre !), nous nous dirigeons à pied au restaurant de l’hôtel Cloïtre Saint Louis, également un établissement quatre étoiles, situé à une vingtaine de minutes à pied de notre hôtel.
Nous peinons un peu à trouver l’entrée – pas d’enseigne tapageuse – mais nous finissons par pénétrer dans le jardin intérieur puis dans la galerie couverte de ce cloître du XVIe siècle.
Dès le seuil, on sent qu’on se trouve dans un établissement de qualité : les conversations se font sans éclats, le ballet des serveurs est feutré et les enfants – il y a toujours des enfants partout où je vais !!! – sont bien élevés, ils ne crient pas et ne courent pas entre les tables !
Au menu : foie gras – souris d’agneau et baba au rhum.
Monique quant à elle prend une entrée différente, du thon cru au nom japonais qu’elle a modérément apprécié…
Après ce dîner somptueux, nous nous rendons à pied au fameux pont :
Après cette longue marche, nous rentrons fourbues à l’hôtel…
Le lendemain matin, après une bonne nuit et un plantureux petit déjeuner – très vaste buffet – nous retournons dans le quartier du pont pour aller voir, de l’extérieur seulement à cause de notre Hella, le célèbre Palais des Papes :
Puis nous prenons la route pour l’Aveyron.
Pour voir toutes les photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Un restaurant (en plus d’un hôtel) installé dans un ancien cloître du XVIe siècle, en plein coeur d’Avignon.
Après avoir traversé le jardin intérieur, on pénètre dans la galerie vitrée où sont installées les tables.
On entre dans un établissement de qualité, l’ambiance est feutrée, les conversations discrètes, le ballet des serveurs silencieux.
Les moins :
– pas facile d’accès en voiture
- l’accès est discret… il faut un peu chercher l’entrée…
Les plus :
- personnel très classe
- beaucoup d’espace entre les tables
- tables spacieuses, même pour deux personnes
- cuisine raffinée
- bon rapport qualité/prix
- chiens acceptés
Adresse :
20 rue du Portail Boquier
84000 Avignon
Tel. : +33 (0)4 90 27 55 55
Fax : +33 (0)4 90 82 24 01
Site : http://www.sjahotels.com/fr/cloitre-saint-louis/
Courriel : hotel@cloitre-saint-louis.com
Très bel hôtel quatre étoiles, l’établissement est situé en plein centre d’Avignon, face aux remparts.
Les moins :
- vaisselle du petit déjeuner ébréchée…
- parking payant assez onéreux sans réduction pour les clients de l’hôtel
Les plus :
- parking public sous-terrain avec accès direct par ascenseur dans le hall de l’hôtel
- excellente literie et belle décoration
- chambres avec douche et baignoire
- buffet du petit déjeuner très varié
- bon rapport qualité/prix
- les chiens sont admis dans les chambres comme au restaurant du petit déjeuner
Adresse :
34 Boulevard Saint Roch
84000 Avignon
Tél. +33 (0)4 90 80 98 09
Fax +33 (0)4 90 80 98 10
Site : http://www.avignon-grand-hotel.com/fr/
Comme les années précédentes, je serai présente au Livre sur la Place.
L’ensemble des modules se trouvera sur la Place de la Carrière, entre la Place Stanislas et le Palais du Gouvernement.
Je serai sous le chapiteau des auteurs régionaux, le vendredi après-midi, le samedi matin et le dimanche matin.
Le 8 septembre 1943, la capitulation de l’Italie est officiellement annoncée et radio-diffusée par le général américain Eisenhower et le Président du Conseil italien Badoglio après la chute de Mussolini.
Le document cependant avait été signé cinq jours plus tôt entre les généraux Bedell Smith et Castellano.
Un mois plus tard, l’Italie déclare la guerre à l’Allemagne.
Marie est attachée de presse indépendante. Mais Marie est surtout une femme abandonnée par son conjoint.
Ils n’étaient pas mariés, mais elle et Pierre avaient une longue vie de couple derrière eux et un fils en commun qui leur a donné une petite-fille, Léa, dix ans.
Marie avait supporté les infidélités de Pierre qu’elle mettait sur le compte d’un appétit sexuel plus grand… Mais la rupture pour une jeunette est difficile à accepter.
En séjour seule dans leur maison de vacances en Bretagne, elle fait la connaissance des nouveaux propriétaires de la maison mitoyenne et d’un groupe de cinq jeunes gens amateurs de théâtre.
Alors un élan d’espoir envahit Marie. Va-t-elle pouvoir, avec et grâce à eux, réaliser le rêve avorté avec son fils Etienne qui avait refusé son idée de monter une pièce de théâtre avant de définitivement abandonner sa carrière naissante de comédien pour une vie plus conventionnelle ?
Marie s’investit entièrement dans ce projet et entraîne avec elle sa petite-fille, aussi passionnée qu’elle.
Pour la gloire ou la désillusion ?
Un petit roman superbement écrit, sans périphrases ni avalanche d’adjectifs et adverbes. Un style épuré, concis et efficace avec une fin abrupte à laquelle on s’attend un peu, mais qui surprend quand même…
A lire.
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