Rendez-vous dimanche 8 février 2015 à SAINT-NICOLAS-DE-PORT (54) pour un salon littéraire dont Elise FISCHER sera l’invitée d’honneur.
Nous vous attendons nombreux à partir de 10h et jusque 18h.
- Accueil
- > Archives pour le Mercredi 4 février 2015
Archive journalière du 4 fév 2015
Rendez-vous samedi 7 février 2015 à partir de 10 h 30 à la Médiathèque La Filoche de Chaligny (54) pour un café coup de coeur.
Je serai en compagnie de Katia LAMBERT et Gilles PROVIN, amis auteurs.
A cette occasion, je parlerai de mon métier d’écrivain public et de ma passion d’écrire, deux activités intimement liées.
Je présenterai également tous mes ouvrages diffusés en autoédition et en particulier le petit dernier, un recueil de poèmes édités fin janvier de cette année et intitulé « Les couleurs de l’âme ».
Nous vous espérons nombreux !
Roman de Jón Kalman Stefánsson
L’histoire se passe en Islande, dans un petit village de pêcheurs.Le gamin – dont on ignore le prénom du début à la fin – et son ami Bárour n’étaient pas faits pour devenir pêcheurs. Tous deux aiment les mots et en particulier la poésie. Ils sont leur raison de vivre, même si le poisson assure leur subsistance. Mais les mots, si doux et si musicaux, peuvent parfois se retourner contre celui qui les aime trop. Comme Bárour. Au moment de prendre sa vareuse, il jette un dernier coup d’oeil à un poème de Milton pour bien le fixer dans sa mémoire et pouvoir se le répéter durant les heures qu’il passera en mer. Puis il quitte le baraquement en murmurant ces vers sublimes. Assis à côté du gamin, il rame avec les autres, jusqu’à l’endroit de pêche décidé par le patron. Lorsque le vent se lève et que la neige commence à tomber, tous sortent leur vareuse. Tous sauf Bárour. Il l’a oubliée… Malgré les efforts du gamin pour garder son ami en vie en le frictionnant vigoureusement, Barour meurt dans la barque, sur le chemin du retour de pêche.
Sans vraiment en prendre la décision, obéissant à une évidence, le gamin récupère le recueil de poésie pour le restituer à son propriétaire, un patron-pêcheur devenu aveugle, amoureux des livres. Pour cela, il marche pendant des heures au péril de sa vie, luttant contre la neige et le froid et l’envie de se laisser dissoudre pour rejoindre son ami. La vie aura-t-elle le dernier mot ?
Une écriture très belle, très poétique, très lente. Indigeste par sa forme – il n’y a aucun dialogue – ce livre séduit par son fond. On se trouve comme en apesanteur dans cet univers blanc et silencieux. Seul bémol : les prénoms islandais sont difficiles à assimiler et j’ai peiné à mémoriser qui est qui !
Un film de Jean-Paul ROUVE avec Annie Cordy, Michel Blanc, Mathieu Spinosi, Chantal Lauby, etc.
Romain rêve secrètement de devenir écrivain. En attendant, il travaille comme veilleur de nuit dans un hôtel. Son père, éternel râleur, vit très mal son départ à la retraite sans vouloir se l’avouer. Sa mère n’est plus heureuse avec cet homme dont elle tente de réveiller la flamme amoureuse comme elle peut. Son colocataire ne pense qu’à mettre une femme dans son lit, n’importe quelle femme et par n’importe quel moyen.
Arrivé en retard à l’enterrement de son grand-père, Romain ramène sa grand-mère chez elle. Tous deux partagent une belle complicité. La mamie est pétillante, pleine de vie et de projets. Mais à la suite d’une chute, elle se retrouve placée contre son gré dans une maison de retraite, certes « très bien » comme l’affirme son fils mais dans laquelle ne vivent quand même que des vieux ! Ce qu’elle ne supporte pas. Au point qu’un jour, elle fugue. Son petit-fils part à sa recherche, du côté d’Etretat…
Un film très émouvant sur les rapports humains en général et la problématique de la fin de vie. Des acteurs épatants, en particulier Annie Cordy et le jeune Spinosi, fils et petit-fils idéal !
Je le savais déjà et ce film le confirme : il ne fait pas bon vieillir…
Le 4 février 1902 naît Charles Lindbergh, pionnier américain de l’aviation.
Passionné de mécanique et d’aviation, il devient aviateur postal entre Saint-Louis et Chicago.
En 1927, il tente seul à bord la première traversée sans arrêt de l’Atlantique et franchit les 5 700 km qui séparent New York de Paris en 33,5 heures. Cet exploit fait de lui un héros national.
Le 1er mars 1932, son fils de 20 mois est kidnappé et son corps est retrouvé sans vie deux mois plus tard. Bruno Richard Hauptmann, accusé de l’enlèvement puis du meurtre de l’enfant, est exécuté en 1936.
Charles Lindbergh décède des suites d’un cancer en 1974.
Commentaires récents