Le 31 janvier 1938 naît Beatrix Wilhelmina Armgard van Oranje-Nassau, future reine des Pays-Bas, fille de la reine Juliana et du prince consort allemand Bernard zur Lippe Biesterfeld.
En 1966, elle épouse à Amsterdam l’Allemand Claus von Amsberg, devenu à cette occasion le prince consort Claus des Pays-Bas.
Beatrix devient reine en 1980.
Elle est mère de trois fils.
Le 30 avril 2013, elle cède le trône à son fils aîné, Willem-Alexander, âgé de 46 ans.
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Le 30 janvier 1933, Adolf Hitler devient chancelier allemand.
Suite à la démission du chancelier Schleicher, le président de la République allemande, le maréchal Paul von Hindenburg, décide contre son gré de nommer Hitler à la chancellerie du Reich. Il n’a aucune sympathie pour le leader du Parti national-socialiste qu’il traite de « caporal bohémien ».
Hindenburg le charge de former un nouveau gouvernement de « concentration nationale ». Le nouveau cabinet comprend trois membres du parti nazi à des places stratégiques : Hitler à la tête du gouvernement, Göring en tant que commissaire intérieur pour la Prusse et Frick au ministère de l’Intérieur.
À la mort d’Hindenburg, le 2 août 1934, Hitler lui succèdera à la présidence du Reich.
Lucien SAVIN est un étudiant journaliste à Paris.
Curieux de tout et désireux de réussir dans ce métier exaltant, le jeune homme a créé un blog que je vous invite à consulter : https://instantchronique.wordpress.com/
Le 29 janvier 1886, l’inventeur allemand Karl Benz dépose une demande de brevet pour un véhicule mû à l’essence.
Cette voiture baptisée Mercedes peut atteindre une vitesse de pointe de 15 kilomètres à l’heure.
Il y a quelques mois, au cours d’une interview, j’ai écouté avec attention Jacques Delors, l’un des rares hommes politiques de ce niveau dont je ne peux mettre en doute ni l’honnêteté intellectuelle, ni la droiture. Il déclarait qu’il avait été surpris, comme ses compères, par la chute du mur de Berlin, évènement alors imprévisible entre tous. Et il concluait ainsi avec humilité « Nous, hommes politiques, passons notre temps à courir après l’histoire ».
Nous venons d’en vivre une démonstration éclatante ce 11 janvier.
Mieux encore à ce sujet. Alors que le peuple entonnait spontanément la Marseillaise lors de cette grande marche, et avec quelle ferveur parfois, les députés les ont suivis timidement de quelques jours dans l’enceinte de la Chambre. Et j’ai bien entendu dire que nos représentants ne l’avaient plus chantée en ce lieu depuis 1918 ! C’est peut-être bien cela l’utopie de la démocratie, quand le peuple avance devant ses propres représentants !
Il y a maintenant un « avant ». La France semblait moribonde, avec des citoyens, ou ce qu’il en restait, qui crachaient volontiers dans la soupe dans une ambiance de morosité à tuer toute tentation de croire en l’avenir du pays. Et la folie criminelle de trois individus a suffi, parce qu’ils ont touché un point extrêmement sensible de l’identité nationale, à faire se lever tout un peuple comme cela ne s’était encore jamais produit dans l’histoire, un soulèvement silencieux, sans violence, impressionnant dans sa force et sa dignité. Oui, ce peuple a impressionné le monde entier, et les Etats-Unis eux-mêmes n’ont pas compris comment cela pouvait être possible, ce qui ne m’étonne pas.
En effet, la notion de laïcité qui constitue un point fort de notre république et des garanties de liberté n’existe pas en Amérique. C’est même une particularité française à laquelle d’autres pays pourraient se référer comme ils se sont référés et continuent de le faire aux droits de l’Homme et du citoyen que notre histoire a donnés au monde. Oui, outre Atlantique, les chefs d’Etat, les hommes de loi jurent sur la Bible, tout comme il est inscrit sur le dollar, ce qui choque particulièrement ma conception de la liberté et de la foi : « In Got we trust » (Nous croyons en Dieu). Quel curieux endroit pour faire acte de foi !
Séparer l’Eglise et l’Etat a constitué un progrès fondamental dans les conceptions démocratiques et, loin de constituer une forme de fracture entre foi et citoyenneté, cette séparation a permis de former les esprits à la liberté dans l’école républicaine, et à ne pas mélanger les genres.
Et presque paradoxalement, la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen qui constitue la fondation la plus solide de notre société française se trouve profondément imprégnée de culture chrétienne. Il n’y a pas de hasard dans l’affaire. France est, et demeure un pays aux racines pétries de culture chrétienne (à ne pas confondre avec les croyances) et cette réalité devant laquelle je nous trouve bien timides, traduite dans la loi républicaine avant même les lois de séparation qui datent de 1901 (alors que la déclaration des droits de l’Homme date de 1789 ), n’oblige personne à se référer à une instance divine, ni à pratiquer une religion. C’est donc une voie de tolérance authentique et de progrès qu’il nous faut à tout prix protéger et promouvoir contre toutes les tentations de prosélytisme d’où qu’elles viennent. Car ces dernières cachent des nids de violence intellectuelle qui dérapent fatalement en violences physiques et nous conduisent exactement à l’opposé de l’enseignement des grands mystiques de toutes tendances qui se rejoignent dans la prédominance de l’amour comme expression universelle du divin.
Profondément attaché à l’Etat, que j’ai servi par choix et par conviction durant 40 ans, je peux me définir sans aucune ambiguïté comme un humaniste chrétien, sans que cela ait pu me poser un quelconque problème de conscience. Aujourd’hui et dans cette sensibilité, je pense à quelques paroles attribuées à celui qui, qu’on le veuille ou non, a complètement bouleversé, et sans arme, les visions de l’Homme et de ses rapports à la Création, et notamment celles-ci :
« Mon Royaume n’est pas de ce monde », parole souvent mal interprétée, comme s’il parlait de l’au-delà alors qu’il s’agissait bien d’un autre monde, avec d’autres règles, que celui dans lequel il vivait, et : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ». La France a compris ce message en 1901. Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Et nous avons aujourd’hui plus qu’hier à poursuivre et à défendre cette voie de progrès.
Dans cette dynamique, quelques visionnaires, dont le général de Gaulle, – bien que je n’aie pas partagé toutes ses actions, mais admiré son « génie politique » – ont ouvert encore davantage cette philosophie humaniste. Ce fut dans son cas son fameux « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » qui visait directement le colonialisme, malgré les évènements d’Algérie, ainsi que l’impérialisme américain, avec le culot du non moins fameux « Vive le Québec libre ! ».
Aujourd’hui, en allant encore plus loin, il est question du droit des animaux qui vont être enfin considérés aux yeux de la loi comme des êtres et non plus des objets. Une autre révolution en marche qui remettra notamment en cause la politique agricole et les méthodes d’élevage. Ce sera difficile, mais le peuple aura aussi son mot à dire et il a déjà commencé à le faire au niveau du consommateur.
Elle remettra également en cause l’abattage rituel des animaux soumis à une souffrance programmée. Il y a d’ailleurs à ce niveau une anomalie à dénoncer pour atteinte au principe d’égalité entre les citoyens. En effet, aucune loi n’interdit l’abattage rituel. En revanche, comme les consommateurs de ces viandes n’achètent que les parties avant des animaux, les parties arrière sont ainsi vendues, sans aucune indication des conditions d’abattage, aux athées et pratiquants d’autres religions. Or pour ma part, je refuse absolument de consommer une viande d’animal ayant perdu la vie dans la terreur, tout comme j’évite les viandes et autres produits animaux provenant d’élevages intensifs. Pourtant les réglementations actuelles appliquées en France permettent de cacher toute possibilité de repérage d’une viande ayant fait l’objet d’un abattage rituel, empêchant ainsi l’exercice du choix pour le citoyen. C’est bien ma liberté qui est ainsi directement atteinte, et si ce type de situation venait à se pérenniser ou, pire, à se développer, je crains que les risques d’arrivée d’une extrême droite au pouvoir soient de plus en plus probables et que cela ne réveille alors de vieux démons.
Il est donc grand temps de réagir et la manifestation du 11 janvier n’a pas été une fin en soi. Il est clair qu’il s’agissait d’un signal fort dont les politiques devront tenir le plus grand compte, notamment en restaurant l’autorité de l’Etat et une éducation civique laïque au sein de l’école redevenue républicaine, y compris avec un enseignement de l’histoire des religions, riche en occasions de méditations sur notre devise « Liberté, égalité, fraternité ». Cela permettra peut-être de dissiper quelques ténèbres.
Quant aux véritables commanditaires ou complices des attentats commis au nom d’idéologies religieuses, je crains que nous ne connaissions jamais la vérité. Il est évident que la religion ne joue qu’un rôle assez grossier de couverture, que l’endoctrinement des plus fragiles au plan mental est réalisé d’une façon stratégique, que les liens entre terrorisme et milieux de la grande finance ne sont plus un secret, que les relations étroites entre l’Angleterre, les Etats-Unis et l’Arabie saoudite depuis des décennies laissent interrogatif, que le gouvernement américain refuse de communiquer les conclusions du rapport d’enquête sur les attentats du 11 septembre, du moins ses 28 dernières pages…Quant aux stratégies des lobbies du pétrole, marchands d’armements et autres…Non, tout n’est pas blanc d’un côté et noir de l’autre, et il faudra sans doute aussi avoir le courage de balayer devant nos portes.
L’essentiel, c’est de ne pas se laisser abuser, de garder l’esprit en éveil pour éviter les pièges des manipulations et des considérations simplistes.
Je souris en repensant au « grand Charles ». Mais non, quand ils le veulent, quand il le faut, les français ne sont pas des veaux !
Hissez haut !
Gérard DALSTEIN
18 janvier 2015
Le 28 janvier 1807, pour la première fois une rue est éclairée au gaz.
Il s’agit de Pall Mall à Londres.
En 1823, près de 40 000 lampes éclairent la capitale britannique.
Le 27 janvier 1879, la lampe à incandescence est brevetée.
En 1879, l’ingénieur américain Thomas Edison annonce une invention qui laisse les savants sceptiques.
En portant au rouge-blanc un mince fil de carbone dans une ampoule vide d’air, il a réussi à faire fonctionner la première lampe à incandescence.
Cette invention allait connaître un développement universel en quelques années : une lampe « incombustible » capable de fonctionner de longs mois sans se détériorer.
Le chanteur grec Demis Roussos, interprète du tube Quand je t’aime (sorti en 1987 et coécrit par Didier Barbelivien), est décédé dans la nuit de samedi à dimanche 25 janvier, dans un hôpital à Athènes.
Il avait 68 ans.
Voilà, j’ai terminé de lire mon premier numéro de Charlie-Hebdo.
Ne lisant jamais aucun journal ni magazine, je me suis trouvée un peu gauche avec ces seize feuilles en main. Pas commode à lire au lit et pas évident à emmener partout avec soi. Alors finalement, pendant cinq jours, sa place à été aux toilettes, punaisé à la porte en bois, sous le calendrier.
Je me suis trouvée aussi assez peu experte dans l’art de plier et déplier ce journal. J’essayais de me souvenir de mon grand-père lisant chaque jour son quotidien après le café, jusqu’à ce qu’il me demande de lui en faire la lecture, sa vue ayant trop baissé. J’avais à peine une dizaine d’années, il y a un bail…
Et puis j’ai lu, un peu à chaque passage dans ce qu’on appelle « le petit coin ». Comme j’aime beaucoup lire et que je lis plutôt beaucoup, mais toujours des romans – même chez le dentiste ou le coiffeur, j’emporte mon livre pour ne pas devoir piocher parmi les magazines mis à disposition – j’ai tout lu de ce premier numéro de Charlie-Hebdo, les textes et les dessins sur les seize pages.
J’ai été très émue par la plume de Patrick Pelloux, autant que par le bonhomme en larmes dans les bras du Président tandis que son copain Luz se marrait à ses côtés, rendu hilare malgré le chagrin par une fiente de pigeon ! J’ai aimé aussi la petite carte de Matthieu Madénian alors que le comique, à la TV, ne me fait pas toujours rire. J’ai apprécié certains dessins, particulièrement irrévérencieux !
Bref, il a fallu que douze personnes se fassent trouer la peau pour que je découvre ce journal que je ne connaissais que de nom, quand ses caricatures faisaient scandale ou que ses locaux partaient en fumée suite à un feu allumé par quelques fous agissant au nom de Dieu.
Samedi 7 février de 10h30 à 12h30 voire plus : café littéraire à la Médiathèque La Filoche à Chaligny.
Dimanche 8 février de 10h à 18h : salon littéraire à Saint-Nicolas-de-Port
Dimanche 22 février de 10h à 18h : salon littéraire à Chaligny
Vendredi 27 février de 18h à 20h : dédicaces au CILM à Laxou (à confirmer)
Dimanche 10 mai de 10h à 18h : salon littéraire à Thiaucourt
Vendredi 29 mai de 19h à 22h : carte blanche à la Maison Verlaine à Metz
Dimanche 14 juin de 10h à 18h : salon littéraire à Essey-lès-Nancy
Le 25 janvier 1901 ouvre à Paris le premier salon de l’automobile et du cycle au Grand Palais.
C’est le premier salon de l’automobile au monde.
Le 24 janvier 1935 apparaît la première canette de bière.
La bière en boîte métallique est vendue par la société américaine Krueger Brewing Compagny en Virginie.
Contrairement à aujourd’hui, il fallait à l’époque penser à toujours avoir un ouvre-boîte !
Le 23 janvier 1922, Banting et Best pratiquent à Toronto la première injection d’insuline qu’ils ont mise au point ensemble.
Le patient est un jeune diabétique de 14 ans, Leonard Thompson. Diagnostiqué en 1919, il ne pèse plus que 65 livres canadiennes – soit une trentaine de kilos – et se trouve donc sur le point de tomber dans le coma avant de mourir.
Une fois l’injection pratiquée, l’état de santé du garçon s’améliore de façon spectaculaire.
L’extrait de Collip, ainsi nommé d’après son découvreur James Collip, chercheur en médecine canadien, contient des sécrétions internes du pancréas qui rétablissent les fonctions métaboliques des personnes atteintes de diabète.
Voici donc mon dernier bébé !
Il est arrivé en début d’après-midi, cloné en une multitude d’exemplaires.
Cet ouvrage de 100 pages contient 56 poèmes et 10 illustrations (photos et peintures) de Monique COLIN. Il est par ailleurs préfacé par mon ami auteur lorrain Gilles LAPORTE.
Pour le commander, envoyez-moi un mail : isabelle.chalumeau@orange.fr
Prix : 15,00 euros nets.
Promo : jusqu’au 28/02/15, les frais de port sont offerts !
Le 22 janvier 1922 décède le pape Benoît XV.
Giacomo della Chiesa, né le 21 novembre 1854, élu pape le 3 septembre 1914 alors que s’engageaient les premières grandes batailles de la Première Guerre mondiale, maintient la neutralité du Saint-Siège malgré l’invasion de la Belgique ; ce refus de s’engager lui vaut incompréhension et hostilité générales.
Ce numéro tant attendu est enfin arrivé dans ma boîte aux lettres. Je l’ai parcouru, réservant la lecture des articles pour plus tard. Il est quand même sacrément irrévérencieux !!! Mais aussi diablement drôle !!! Ce numéro exceptionnel, tiré à sept millions d’exemplaires, record historique pour un journal, sera distribué sur deux semaines.
Le plus cocasse dans l’affaire est que les terroristes, souhaitant faire disparaître le journal en supprimant son directeur et une partie de ses collaborateurs parmi les douze personnes assassinées le 7 janvier dernier, ont en réalité sauvé l’hebdomadaire, en tout cas pour quelque temps, alors que celui-ci, avec moins de 50.000 exemplaires vendus chaque semaine, était moribond…
Le 21 janvier 1911 a lieu le départ du premier rallye automobiles de Monte-Carlo.
Il se déroule du 21 au 25 janvier.
Le règlement prévoit que les participants rejoignent Monte-Carlo en partant de leur pays d’origine, sans dépasser les 25 km/h. Un système de points est mis en place pour noter les coureurs en fonction de l’état de la carrosserie des voitures. Les pilotes roulent de jour comme de nuit et dans des conditions atmosphériques parfois épouvantables.
Le gagnant de cette première édition est le Français Rougier, parti de Paris.
Cette épreuve est la première a imposer des plaques d’immatriculation sur chaque véhicule et les organisateurs, pour la première fois, faisaient de la publicité sur les routes aux quatre coins de l’Europe.
Le 20 janvier 1942, les nazis adoptent la « solution finale de la question juive », c’est-à-dire le génocide du peuple juif d’Europe.
A l’issue de la conférence de Wannsee près de Berlin, les 15 hauts responsables nazis et des officiers SS sous la présidence de Reinhard Heydrich, chef des services secrets allemands, décident que les juifs d’Europe en capacité de travailler seront transférés dans des camps de travaux forcés ; les autres seront purement et simplement éliminés. Dès lors, des camps sont dédiés à cette extermination de masse : Belzec, Solibor, Treblinka et Auschwitz ; plus de six millions de juifs, femmes et enfants compris, y trouveront la mort.
Le 19 janvier 1911, Isadora Duncan triomphe à Paris.
La danseuse américaine d’origine irlandaise danse l’Orphée de Gluck au Châtelet à Paris. Drapée dans une tunique grecque et les pieds nus, elle souhaite rompre avec la tradition académique. Souple et svelte, elle illustre sa conception personnelle de la danse, caractérisée par l’épanouissement intégral du corps. Ses chorégraphies s’inspirent des peintures des vases grecs dans lesquelles elle adopte les positions et les attitudes des jeunes filles, déesses et prêtresses, représentées sur ces vases.
Elle décède tragiquement en 1927 à Nice, étranglée par son écharpe qui s’est enroulée dans une roue de la voiture que conduit un jeune mécanicien. Elle est brutalement éjectée en arrière et projetée sur la chaussée où elle meurt sur le coup.
Le 18 janvier 1892 naît Oliver Hardy, acteur comique américain.
Il rencontre un succès international en tandem avec Stan Laurel.
Il décède en 1957.
Le 17 janvier 1933 décède Louis Comfort Tiffany, peintre, artisan, décorateur et designer américain.
Né en 1848 à New-York, il apporte une contribution importante à l’art de la fabrication du verre teinté pour ses oeuvres dans le style Art nouveau.
En 1885, il crée une entreprise et invente un procédé pour fabriquer des verres opalins.
Créateur de plusieurs autres entreprises, il a également peint, conçu des bijoux et des meubles.
Mon dernier roman est désormais disponible en version papier chez Chapitre.com : http://jepubliemonlivre.chapitre.com/roman/2371-la-confession-d-anna-zaz-chalumeau-9791029002106.html à 17,00 € et en version numérique à 5,00 €.
Le 16 janvier 1919 est votée aux USA la loi dite de « prohibition ».
Selon le 18e amendement à la Constitution des Etats-Unis, la fabrication, la vente et le transport de boissons alcoolisées ainsi que leur importation et exportation sont prohibés sur le territoire des États-Unis. »
En octobre de cette même année, il sera interdit de vendre de l’alcool dans les restaurants et les bars.
Une ère de prospérité commence pour les mafias de toutes sorte mais également pour le cinéma avec le règne des gangsters. En effet, tandis que crépitent les mitraillettes, le cinéma encore muet s’empare de cette nouvelle épopée dans des films mythiques comme « Les Nuits de Chigago » en 1927 qui est le premier du nouveau genre.
La prohibition prendra fin en décembre 1933.
Le 15 janvier 1919 naît Maurice Herzog, alpiniste et homme politique français.
Membre de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, il était capitaine du 27e bataillon de chasseurs alpins lors de la campagne des Alpes pendant l’hiver 44-45.
En juin 1950, son groupe d’alpinistes et lui sont parmi les premiers à gravir un sommet de plus de 8 000 m : l’Annapurna.
Nommé secrétaire d’Etat à la Jeunesse et aux Sports par le Général de Gaulle de 1958 à 1965, il est chargé de développer la pratique du sport pour former les futurs champions qui défendront les couleurs de la France aux prochaines Olympiades.
Il décède en 2012.
Le 14 janvier 1957 décède d’un cancer généralisé Humphrey Bogart, acteur américain né en 1899.
Il a tourné dans plus de 70 films et a endossé tour à tour le costume du gangster, de l’aventurier ou du détective.
Parmi ses plus grands succès cinématographiques : « Casablanca », « Le Port de l’Angoisse » et « African Queen » qui lui vaut un Oscar en 1952.
Si tu es Charlie, achète le prochain numéro du journal, ou mieux, abonne-toi pour trois mois, six mois ou un an. Après, tu verras bien si tu renouvelles, en fonction de ta sensibilité à l’humour et à l’esprit du journal. Je pense qu’acheter Charlie Hebdo demain et les semaines suivantes n’est pas une déclaration de foi mais un acte citoyen.
J’entendais ce matin à la radio, en me réveillant, une dame déclarer qu’on pouvait rire de tout sauf de choses qui peuvent blesser certaines personnes. Sur le coup, dans mon demi-sommeil, j’étais d’accord. Mais un peu plus tard, sous la douche, j’ai réfléchi à la question…
Il faut donc éviter les blagues sur les juifs et les musulmans, les catholiques, les bouddhistes et toutes les religions en général, éviter celles sur les Belges, les Suisses, les Arméniens et tous les peuples en général, éviter celles sur les noirs et toutes les races en général, sur les blondes, les gros, les maigres, les chauves et toutes les particularités physiques en général, éviter celles sur les cocus, les cougars, les pédophiles, les zoophiles et les homosexuels bien évidemment, éviter celles sur les flics, les profs, les fonctionnaires et toutes les professions en général, éviter celles bien sûr sur les handicapés de toutes sortes, celles aussi sur la politique, l’art, le sport… Mais… que reste-t-il comme sujets de blagues ?
― Pourquoi t’as acheté des pneus ? demande une femme à son mari.
― Ben pourquoi pas ? répond celui-ci.
― T’as pas de voiture ! lui rappelle son épouse.
― Et alors ? Tu achètes bien des soutien-gorge !
Pour raisons familiales, nous n’avons hélas pas pu faire cette marche républicaine pour manifester notre soutien à Charlie Hebdo et dire non à la terreur.
Quelques 50.000 personnes ont défilé sans incident hier. J’avoue que cette place Stanislas noire de monde fait peur, mais j’aurais quand même bien aimé en être !
Peu avant le départ de la marche républicaine hier à Paris, alors que le Président François Hollande s’apprête à donner une très longue accolade à son ami Patrick Pelloux, chroniqueur à Charlie Hebdo, le dessinateur Luz est pris d’un irrépressible fou rire malgré les circonstances et son chagrin qui ne peut être mis en doute.
La raison ? Elle est simple et bien révélatrice de l’esprit bon enfant de Charlie Hebdo : un pigeon vient de lâcher une fiente sur la manche du costume de Hollande !
Le malheureux n’a pas de chance, quand ce n’est pas la pluie qui s’abat sur lui, ce sont les oiseaux de la capitale qui l’arrosent !!!
Une note de fraîcheur – si je puis dire ! – et de gaieté en ces jours si graves. Un fou rire que les potes de Luz, tombés sous les balles, ne désapprouveraient pas !
Le 12 janvier 1893 naît Hermann Goering, maréchal et homme politique allemand.
Aviateur héroïque pendant la Première Guerre mondiale, il est fasciné par Hitler dès leur première rencontre.
Elu député du Parti National-socialiste, il devient président du Reichstag en 1932 et facilite l’accession d’Hitler au poste de chancelier.
Comblé d’honneurs, il mène grand train et amasse une fortune colossale durant la Seconde Guerre mondiale et se constitue une impressionnante collection d’oeuvres d’art volées dans les pays occupés.
Mais la chance tourne avec les premiers échecs de la Luftwaffe ; désavoué par Hitler, il est expulsé du parti en 1945.
Jugé et condamné à Nuremberg, il réussit néanmoins à s’empoisonner dans sa cellule et meurt en 1946.
Si vous êtes Charlie, abonnez-vous à l’hebdomadaire pour sauver le journal et la liberté d’expression :
http://www.viapresse.com/abonnement-magazine-charlie-hebdo.html
En voyant à la télévision l’immense chagrin de Patrick Pelloux, médecin urgentiste et chroniqueur à Charlie Hebdo, je me suis posé cette question : quand on perd en même temps plusieurs personnes chères, le chagrin est-il multiplié d’autant ou, au contraire, fait-on l’économie de plusieurs chagrins ultérieurs ?
Le 11 janvier 2000, les premiers détenus arrêtés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme arrivent à la prison de Guantanamo.
Située dans une base navale américaine sur l’île de Cuba, cette maison d’arrêt rassemble des centaines de personnes originaires de pays différents.
Les conditions de détention ont été vivement critiquées par une bonne partie de l’opinion publique et par Amnesty International, qui réclamera la fermeture de l’établissement.
Le 10 janvier 1917 décède le héros américain Buffalo Bill.
De son vrai nom William Frederick Cody, l’aventurier américain est né en 1846.
Eclaireur dans les rangs nordistes durant la Guerre de Sécession, il s’illustre surtout dans les combats menés par le général Custer contre les Indiens entre 1868 et 1876.
Son surnom lui vient de son talent de tireur à la carabine qui contribua, hélas, au massacre des bisons (buffaloes).
Devenu directeur d’un cirque, Buffalo Bill passe la fin de son existence à se produire aux USA et en Europe.
Roman n’est pas forcément l’appellation que j’aurais donnée à cet ouvrage. Déjà parce qu’il s’agit d’une biographie, celle de Charlotte Salomon, peintre née en Allemagne en 1917 et morte en déportation à Auschwitz en 1943. Et puis la forme n’est pas non plus celle du roman.
En effet, l’auteur a choisi d’écrire dans un style qui s’apparente à la poésie libre, en phrases très courtes. Un peu déroutante au début, cette façon d’aller à la ligne après chaque phrase donne un rythme très particulier à l’ouvrage, une sorte de respiration, parfois un peu saccadée, comme oppressée, parfois au contraire plus longue, apaisée, rêveuse.
Le tout raconte la vie de Charlotte Salomon, artiste marquée dès l’enfance par le suicide qui est, en quelque sorte, la marque de fabrique, la tradition, j’allais dire l’art de vivre, de sa famille maternelle. A chaque génération, une ou plusieurs personnes mettent fin à leurs jours. Charlotte semblait donc vouée à ce rituel… si les nazis n’en avaient décidé autrement…
Un livre agréable à lire – même s’il n’est pas, selon moi, à la hauteur de l’engouement qu’il a suscité – sur une artiste inconnue du grand public à l’enfance tronquée et au destin brisé.
Restaurant, grill et rôtisserie, cet établissement à deux adresses dans le Grand Nancy : une à Essey et une à Vandoeuvre. C’est ce dernier que nous avons testé cette semaine.
Situé Boulevard Barthou (à la place de l’ancien restaurant Wok), il est facile d’accès.
La formule est celle actuellement très à la mode : buffet à volonté !
Une grande variété d’entrées froides, des viandes (porcelet, agneau, jambonneau, volaille, brochettes, entrecôtes, saucisses, etc.) mais aussi des poissons (saumon, coquilles Saint-Jacques, sardines, etc.) un assortiment de fromages avec salade verte et enfin le buffet des desserts avec un très beau choix en gâteaux divers et tartes variées, évidemment l’incontournable fontaine à chocolat, des crêpes, des gaufres, des fruits frais, etc.
Les moins :
- l’assortiment de fromages est restreint et sans surprise…
- le choix en poissons est un peu moins grand que celui des viandes
– manque d’espace entre les tables
- rapport qualité prix un peu élevé
Les plus :
- très grand choix d’entrées
– très grand choix en viandes
– buffet de desserts plutôt mieux que dans la majorité des restaurants offrant cette formule
- personnel très accueillant et très agréable
- mobilier élégant et confortable
- grand parking à proximité
- 15% de réduction sur l’addition pour une arrivée avant 19 h 30 (hors boissons et samedi soir)
Adresse :
9 boulevard Barthou – 54500 Vandoeuvre
Tel : 03.83.94.88.88
Site : www.restaurant-lepetitcochon.com
Le 9 janvier 1913 naît Richard Milhous Nixon, président des États-Unis d’Amérique.
Elu pour deux mandats de quatre ans en 1969 et 1973, il démissionne en 1974 suite à l’affaire du Watergate.
Sa présidence est marquée par la Guerre du Viêt Nam.
Il décède à New York en 1994.
(Photo parue dans LesEchos.fr)
Mercredi 7 janvier peu avant midi, deux ou trois hommes armés se réclamant de Allah attaquent le siège de l’hebdomadaire « Charlie hebdo » à Paris.
Dans cet attentat terroriste, douze personnes ont trouvé la mort, dont deux policiers et quatre dessinateurs qui ont fait la renommée du journal : Cabu, Charb, Tignous et Wolinski.
L’économiste Bernard Maris, chroniqueur présent ce jour-là à la rédaction, a également été tué.
Le 8 janvier 1679, les chutes du Niagara sont découvertes.
L’explorateur René-Robert Cavelier de La Salle, accompagné du missionnaire Louis Hennepin, découvre ces chutes.
Hennepin décrit ainsi le spectacle : « La plus belle et tout ensemble la plus effroyable cascade qui soit dans l’Univers ».
Le 7 janvier 1957 commence la bataille d’Alger.
La guerre d’Algérie oppose l’armée française aux indépendantistes algériens du Front de Libération Nationale (FLN).
Ce jour-là, environ 8000 hommes de la dixième division de parachutistes français entrent dans Alger. Commandée par le Général Jacques Massu, cette division a pour objectif de pacifier la ville. Pour cela, elle n’hésite pas à réprimer par tous les moyens les terroristes du FLN, y compris par la torture. Au prix de méthodes déshonorantes, l’armée française gagne la bataille en quelques mois.
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