Le 28 novembre 1789, le Docteur Joseph Guillotin présente son invention aux députés de l’Assemblée Constituante.
L’engin, qui portera le nom de son inventeur, a été mis au point avec la collaboration du chirurgien Antoine Louis.
Tout d’abord nommée « Louison » ou « Louisette », la machine est, selon ses inventeurs, le moyen d’exécution « le plus sûr, le plus rapide et le moins barbare ».
Les journalistes lui donneront rapidement le nom de « guillotine » en souvenir de son inventeur, mais le peuple la surnomme « la veuve ».
Nicolas-Jacques Pelletier, bandit de grand chemin, inaugure la machine qui fonctionnera jusqu’en 1977…
Ça fait dégueuler…
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Oui, je suis d’accord, mais cela aussi fait partie de l’Histoire.
Je suis contre la peine de mort mais à l’époque la guillotine représentait un progrès en rendant les exécutions moins barbares.
Moins barbare ? par rapport à quoi ? La pendaison ? Je ne sais pas quelle méthode est la moins barbare… Surtout qu’à l’époque, les exécutions étaient publiques !
Isa,
Avant la guillotine, on décapitait à la hache…
Ah oui ! d’accord, je m’incline, la guillotine était moins barbare !…
Bof… Tout aussi barbare…
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De toute façon, pour moi, quelle que soit la méthode, la peine de mort est une barbarie et les pays qui l’exercent encore se rebaissent au niveau des criminels qu’ils exécutent.
entièrement d’accord…
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Est-ce qu’un référendum ne remettrait pas la guillotine en service en France ?
Pardon Fred, ce commentaire du 3 décembre s’était perdu dans les méandres de mon blog…
Pour répondre à ta question, je crains que oui…