Le 22 janvier 1905 est connu sous le nom « Dimanche rouge » en Russie.
Ce jour-là, plus de 100 000 ouvriers russes manifestent pacifiquement devant le palais d’hiver de Saint-Pétersbourg (l’actuel musée de l’Ermitage). Ils veulent présenter au Tsar Nicolas II une pétition en faveur de réformes sociales et politiques. Mais l’armée tire sur la foule et achève les blessés au sabre. Le bilan est lourd : près d’un millier de manifestants sont assassinés. Il s’ensuit une grève générale qui s’étend rapidement à tout le pays et même au-delà, en Pologne et dans le Caucase.
Cette répression sanglante marque le début de la première révolution russe.
Lénine affirmera plus tard que le « dimanche rouge » de 1905 était « la répétition générale » de la révolution d’octobre 1917.
Il fallait bien s’en débarrasser de ces tsars sanguinaires….
Mais bon l’URSS n’est pas ce que l’on a fait de mieux non plus, mais le progrès social était certain….
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Quelle coïncidence! 109 ans plus tard tout recommence, mais ce n’est plus le Tsar Nicolas II, c’est le « président » Ianoukovitch!!! Hélas, il n’apprend rien de notre propre histoire….
ben ce n’est réservé aux russes!
dans tous les pays y compris la France, le pouvoir et l’argent rendent fous chez nous en ce moment c’est…..Versailles!