En complément du précédent reportage, ci-dessous quelques photos prises par Jimmy lors du concert qui eut lieu hier :
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Archive journalière du 2 déc 2013
Cette année encore, la manifestation Lunélivre organisée par Benoît TALLOT à Lunéville a connu un beau succès même si les ventes ne sont pas toujours à la hauteur de nos espérances ! Mais il faut dire que la concurrence est rude et la crise n’arrange pas les choses.
Mais c’est toujours un grand plaisir de retrouver des amis auteurs, de discuter avec eux, et d’échanger aussi avec les lecteurs qui montrent toujours un réel intérêt pour nos écrits, même s’il n’achètent pas autant de livres qu’eux-mêmes le souhaiteraient !
La manifestation a lieu aux Halles, Place Léopold à Lunéville.
Dans le prestigieux grand salon.
Le salon est à peine officiellement ouvert que les visiteurs se pressent déjà vers les stands !
Benoît TALLOT, l’organisateur de la manifestation.
Me voilà en bonne compagnie, entre deux auteurs, mon amie Nicole Métivier et la jeune Katiouchka dont j’avais récemment fait la connaissance sur Facebook.
Un grand merci aux organisateurs et à l’année prochaine !
Pour voir d’autres photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Le 2 décembre 1814 décède le marquis de Sade, dit le divin marquis…
Né en Provence en 1740, issu d’une famille aristocrate de grande noblesse, il commence par une brillante carrière militaire.
Auteur notamment de « Justine ou les malheurs de la vertu », « Cent vingt journées de Sodome » et « La Philosophie dans le boudoir », il se montre radicalement subversif et pousse dans ses livres les fantasmes de perversion sexuelle à leurs limites les plus extrêmes.
Il épouse en 1763 Mlle Cordier de Launay de Montreuil qui lui donne deux fils et une fille.
Peu de temps après son mariage commence pour le marquis une longue série d’incarcérations dues à des actes de débauches retentissants.
Il passe plus de la moitié de sa vie en prison et son épouse se montrera toujours fidèle et dévouée…
Condamné à un isolement prolongé, Sade écrit un nombre impressionnant de romans, contes, pièces de théâtre et traités philosophiques, mais de nombreux manuscrits sont détruits par la police et une grande partie de ce qui est resté n’a été publié que bien après sa mort.
Evidemment, il est à l’origine du mot sadisme et tous ses dérivés.
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