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Archive journalière du 13 fév 2013

Velouté de pois cassés aux ravioles grillées

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Ingrédients pour 6 personnes :

300 g de pois cassés – persil – 1 oignon – 1 bouquet garni
1 paquet de ravioles – 3 c. à soupe de crème liquide
2 c. à soupe d’huile d’olive – 2 c. à soupe d’huile de noix
sel et poivre

Rincer les pois cassés et les faire tremper 2 heures dans un saladier d’eau tiède.
Peler et émincer l’oignon. Verser les pois cassés avec l’oignon et le bouquet garni dans une cocotte.
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Recouvrir d’eau froide et porter à ébullition. Ecumer, couvrir, réduire le feu et laisser cuire 1 h 30.
Pendant ce temps, placer les ravioles au congélateur 30 min avant la fin de la cuisson des pois cassés. Les sortir et les détacher les uns des autres (Monique a malencontreusement zappé l’étape du congélateur et a donc dû cuire la plaque de ravioles avant de pouvoir les détacher !). Faire chauffer l’huile d’olive dans une poêle et les faire griller des deux côtés. Saler et poivrer.
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Laver, sécher et ciseler le persil. Mixer la soupe et ajouter la crème liquide et l’huile de noix. Saler et poivrer. Mélanger et faire réchauffer 5 minutes.
Répartir les ravioles dans les assiettes et verser le velouté (ou l’inverse !). Parsemer de persil et servir.
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Cette soupe est bonne mais… très consistante !

Bon appétit !

Le départ du gosse

Le départ du gosse dans Mes publications chalumeau-vega-la-terreur-du-ptit-chemin-1ere-de-couverture-150x150
C’est le gros drame ! Not’ Stef a quitté la maison !

Depuis qu’il fréquentait la Soso, l’ambiance était électrique car le gamin de Zaza, jusque là si docile, se rebellait. Il rentrait tard, oubliait de prévenir et répondait à sa mère.
― Je te préviens, s’exclama-t-elle un soir, si tu n’es pas là à 19 h 30, tu n’auras plus à manger ! Ce n’est pas un hôtel-restaurant ici, bordel !
Le Stef ne répliqua rien et le lendemain soir, il arriva à… 19 h 35. Excédée, ma Mère Deux avait apostrophé ma Mère Un :
― Et tu ne cèdes pas, d’accord ?
La Momo acquiesça. À peine étaient-elles à table que le gamin arriva. Il dit bonsoir, embrassa sa mère et la Momo et prit place à table. Sans mot dire, il croisa les bras et regarda la télé. Je voyais ma Mère Un lui lancer des regards désespérés et la Zaza, sans détourner les yeux de l’écran de télévision, lui lança un coup de pied dans le tibia. Ma Mère Un sursauta mais ne pipa mot. Le repas se termina dans un silence assourdissant ! Heureusement que la télé fonctionnait, ça faisait du bruit !
Quand le repas fut terminé, le gamin se leva et aida à débarrasser puis à faire la vaisselle. L’ambiance était é-lec-tri-que !!! Je sentais la Zaza super énervée par le comportement de son petit qu’elle ne reconnaissait plus et la Momo prise entre deux feux : épauler sa chérie et réprouver sa dureté. Car pour ma Mère Un, manger devant le gamin qui n’avait rien dans son assiette, c’était une épreuve terrible !!!
Les jours suivants, le Stef se pointa pile à 19 h 29 !!! La Zaza se retenait d’exploser. Je remarquais ses lèvres se pincer et elle respirait par le ventre, signe d’un stress énorme. Quelques jours plus tard, le Stef arriva à la maison super en retard, bien après l’heure du dîner. Comme d’hab, il n’avait pas prévenu… Ma Mère Deux était déjà dans son bureau, en train d’écrire. Quand il vint l’embrasser, elle explosa. Ma Mère Un arriva pour temporiser si besoin.
― Ecoute-moi bien, siffla la Zaza entre ses dents, si les règles de la maison ne te conviennent plus, tu peux aller voir ailleurs ! Je ne le répèterai pas une énième fois, ici ce n’est ni un hôtel-restaurant ni un moulin ! Ou tu restes et tu respectes les règles ou tu t’en vas
― Justement, je voulais te dire… commença le gamin.

(Extrait de mon dernier ouvrage »Véga, la terreur du p’tit chemin – Chroniques d’un CKC » disponible chez l’auteur au prix de 18 euros port compris. Pour les amateurs, le chèque est à envoyer à Zaz Chalumeau – Quartier des Entrepreneurs – 870 rue Denis Papin – F-54710 Ludres). Merci à tous ceux qui l’ont déjà acquis !

Il y a 118 ans…

Il y a 118 ans... freres-lumiere-222x300
Le 13 février 1895, les frères Lumière obtiennent un brevet d’invention pour leur cinématographe
Louis et Auguste avaient déposé le brevet de leur caméra qui enregistre et projette des images. L’appareil fonctionne avec une manivelle et entraîne le film à une vingtaine d’images par seconde. Mais dans l’esprit des deux inventeurs, le cinématographe ne représentait qu’une curiosité scientifique à laquelle ils ne voyaient ni ne souhaitaient d’avenir commercial ou artistique.
Ils présentent néanmoins le cinématographe à la Société d’encouragement à l’industrie nationale ainsi qu’à la Sorbonne et multiplient les projections privées. Le 28 décembre de cette même année, ils organisent à Paris la première séance publique payante et diffusent dix petits films dont « L’arroseur arrosé ». C’est le début d’une très grande aventure.




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