Le 5 décembre 1791 décède à l’âge de 34 ans Wolfgang Amadeus Mozart, compositeur autrichien, un des plus grands génies de la musique. Il succombe à une fièvre rhumatismale.
Enfant prodige, il commence à composer à l’âge de quatre ans et son père l’entraîne dans une tournée de toutes les cours d’Europe pour qu’il se produise en récital au piano.
Auteur de plus de huit cents oeuvres, Mozart a excellé dans tous les genres : opéra, symphonie, concerto, musique de chambre, oeuvres religieuses.
Affaibli par la maladie et les privations, il doit cependant faire face à une surcharge de travail suite à la commande d’un opéra (La Clemence de Titus) pour le couronnement du roi de Bohème Léopold II qui doit écrire en trois semaines.
Il meurt avant d’avoir pu achever le Requiem, oeuvre terminée à la demande de son épouse Constance, par un de ses élèves.
Bonsoir Zaz,
Mozart est mort à 35 ans, ce qui était de toute façon trop jeune, mais il faut croire que son génie et une existence dissolue a consumé sa vie…
Marie-Antoinette avait soufflé sur ses doigts engourdis par le froid alors qu’il était enfant, reçu à Versailles, et le petit Wolfgang en garda un souvenir ému.
Il connu Johann Christian Bach, dernier fils de l’immense Jean-Sébastien et ami de son père Léopold, alors qu’il avait à peine huit ans !
Que les familles Bach et Mozart aient pu être si proches n’est pas le fruit du hasard…
Et que Wolfgang aient été enthousiasmé par un jeune compositeur prometteur répondant au nom de Beethoven, ne l’est pas non plus !
Je n’y vois là que la continuité d’une passation de pouvoir entre des compositeurs de génie…
Amitiés,
Jean-Jacques.
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Une vie courte est peut-être la rançon d’une vie bien remplie. Que choisir si on avait le choix ? Personnellement, je pense qu’avoir la chance de rencontrer Mozart, Bach et Beethoven ou autres grands de la planète – dans mon domaine Proust, Balzac et Dostoïevski par exemple – mérite bien de renoncer à quelques décennies.