Le 2 décembre 1805, Napoléon sort vainqueur de la bataille d’Austerlitz.
Surnommée « la bataille des Trois Empereurs », elle se déroule au sud de la Moravie en République tchèque, entre Brünn et Austerlitz. Après neuf heures de combat, la Grande Armée de Napoléon 1er bat les forces autrichiennes et russes.
Par son importance stratégique, cette bataille ainsi que la campagne qui l’a précédée, menant la Grande Armée à Austerlitz, est considérée comme le chef d’oeuvre tactique de Bonaparte. Encore de nos jours, elle est enseignée dans de nombreuses écoles militaires.
Bonjour Zaz,
Napoléon 1er fut tout de même celui qui recula les limites de la
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Donc, il repoussa les limites de la France comme personne ne l’avait fait avant lui. Evidemment, cela ne s’est pas fait sans le deuil de tous les soldats tombés chacun pour leur patrie, mais il faut resituer le tout dans le contexte de cette époque où la vie du citoyen lambda n’avait la même valeur qu’aujourd’hui.
Je me souviens des cours d’histoire de mon prof ancien militaire, qui décrivait toutes les batailles de Bonaparte et de Napoléon avec une passion indescriptible qui ne pouvait que nous captiver.
On sait comment s’est terminé l’histoire de celui qu’on surnommait « le petit tondu » ou « le petit caporal »…
Petit caporal, je trouve cette appellation injuste, car ses grades, il ne les a jamais volés, et pour preuve, cette bataille dont tu nous rappelles qu’elle fut un de ses traits de génie stratégique !!!
Pour moi, il n’a aucune commune mesure avec celui que je nomme « petit caporal » dans mes souvenirs familiaux, qui n’a jamais dépassé ce grade et ne s’illustra que dans des textes racoleurs et délibéréments racistes, quand on lui rendit sa vie civile, j’ai nommé Adolf…
A Robespierre, j’ai toujours préféré Napoléon… Question de goût !!!
Amitiés,
Jean-Jacques.
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Tout à fait d’accord avec toi, Jean-Jacques. En plus, notre « petit caporal » mouillait la chemise sur les champs de bataille, ce qui n’était pas le cas de l’autre !