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Archive mensuelle de novembre 2012
Roman d’Ysabelle LACAMP
Sirikit est une jeune Thaie issue d’une famille de la haute bourgeoisie de Bangkok. Elle a grandi entre ses deux frères, élevés tous trois par une nounou. Face à un père absent, préoccupé par son travail, et une mère absente, obnubilée par ses réceptions mondaines, l’adolescente vit mal une existence aisée et oisive.
Lorsque sa grand-mère lui révèle que son père n’est pas son père, qu’elle est le fruit des amours adultérines de sa mère avec un Blanc, la vie de Sirikit bascule. Elle devient anorexique et commence à fréquenter les endroits louches où traînent les GI en base arrière avant de retourner au front de cette guerre du Vietnam qui s’éternise.
A bout d’arguments, la famille de Sirikit décide de l’envoyer en pension à Genève. Après avoir obtenu son bac, elle reçoit la visite de sa tante qui lui annonce son proche retour en Thaïlande et son mariage imminent avec un jeune homme de bonne famille choisi par ses parents. Elle refuse et appelle au secours Lord Brackett, un diplomate qu’elle a longtemps côtoyé en Thaïlande. Le vieux monsieur retraité est de retour chez lui, à Londres. Il accepte de s’occuper de la jeune fille et lui trouve une pension chez une vieille landlady.
Sirikit doit cohabiter avec un Français homosexuel excentrique, un terroriste irlandais, deux Chiliennes, une Australienne. Grâce au Français, elle fait connaissance de toute une faune d’artistes plus ou moins accros à la drogue. La jeune Thaïe se frotte à la vie et, parallèlement, se met à la recherche de son géniteur. Plus exactement, elle charge Lord Brackett de retrouver l’auteur de ses jours.
Un livre qui a assez mal vieilli. Mais un livre intéressant pour l’ambiance du Londres des années ’70 avec ses contradictions, son monde cosmopolite, son côté conservateur, traditionnaliste, et son côté excentrique et un peu fou. J’y ai retrouvé le souvenir de ces soirées passées avec des copains et des copines de toutes nationalités, réunis tantôt autour d’un plat gigantesque de poulet au curry que chacun piochait à l’aide de bouchées de pain traditionnel pakistanais, tantôt autour d’un wok de canard laqué. L’alcool et le shit circulaient sans toutefois plonger les jeunes que nous étions dans la délinquance. C’était le temps de l’insouciance et du plein emploi !
Une belle grande balade au départ du petit port de Merrien jusqu’aux abords de l’océan.µ
Le chemin est un peu rude, avec d’énormes roches à escalader, mais le spectacle est magnifique. On a beau connaître le paysage, on l’apprécie toujours.
Le 30 novembre 1809, Napoléon répudie Joséphine.
Son épouse étant déjà mère de deux enfants, l’empereur se croyait stérile, jusqu’au jour où une suivante de sa femme lui donne un fils. Il se décide alors à répudier son épouse pour asseoir son pouvoir en fondant une dynastie. Le divorce est prononcé en 1809 et le mariage religieux annulé en 1810.
Il épousa Marie-Louise d’Autriche le 2 avril 1804 ; elle lui donnera un fils, le futur Napoléon II, le 20 mars 1811.
Une superbe journée pour une balade sur un de nos sites favoris. Mais la rançon du grand beau temps est que la mer est un peu trop étale !
Le 29 novembre 1429 naît Giovanni Bellini, peintre vénitien.
L’un des derniers représentants du gothique courtois italien et précurseur de l’art de la Renaissance, il marque d’une manière décisive la peinture vénitienne. Son père fut un grand peintre, de même que son frère aîné Gentile.
La plus belle de ses toiles est peut-être » La Madone et les Saints ».
Nous avions aujourd’hui une invitée, une amie qui habite en Bretagne.
En attendant son arrivée, Hella s’est prélassée sur la terrasse ensoleillée, profitant de l’exceptionnelle douceur pour explorer les recoins du jardinet.
Après un très bon repas – Monique n’avait pas résisté au plaisir de mettre les petits plats dans les grands – nous avons profité du grand ciel bleu et du soleil radieux pour emmener notre amie faire une petite balade au Pouldu, notre site favori :
Sur le chemin de nos vacances en Bretagne, nous nous sommes arrêtées vendredi soir chez nos amis de Dreux. Nous sommes allés dîner au restaurant Le Market Pub, à cinq minutes à pied de leur appartement. Le rapport qualité/prix est excellent et je vous conseille donc vivement cet établissement si vous passez par cette petite ville de l’Eure et Loir. En plus, les chiens sont les bienvenus !
Les menus vont de 18 à 35 euros dont une formule cinéma pour les amateurs des salles obscures.
Ce restaurant, ouvert sept jours sur sept et midi et soir, peut accueillir jusqu’à 150 personnes, et propose des formules pour les repas de famille ou les séminaires.
Les moins :
- les tables sont un peu serrées
Les plus :
- personnel très sympathique
- excellent rapport qualité/prix
- bon choix de formules
- très joli cadre
- belle vaisselle et linge de table
Adresse : 19, rue Mérigot – 28100 Dreux – Tel : 02.37.46.18.44
Site Internet : http://www.restaurant-marketpub.fr/index.php
Le 28 novembre 1680 décède Gian Lorenzo Bernini, dit Le Bernin, sculpteur, architecte et peintre italien.
Il se fait remarquer assez jeune avant d’entrer sous la protection du cardinal Scipion Borghese. Il devient alors l’un des artistes baroques les plus influents d’Italie, notamment à Rome.
Favori des papes, il est l’architecte de Saint-Pierre. On lui doit le baldaquin aux colonnes torses du maître-autel et le dessin de la majestueuse colonnade et des statues qui encerclent la place devant la basilique.
Le 27 novembre 1895 décède Alexandre Dumas fils.
Né en 1824, il est comme son père, dont il porte le nom, un romancier français à grand succès. Il est notamment l’auteur de « La Dame aux camélias » et deux pièces, « Le Fils naturel » et « Un Père prodigue ».
Entre deux averses, nous avons pu faire une de nos balades préférées, le chemin Gauguin au Pouldu.
Après l’océan hier, Hella a fait aujourd’hui connaissance avec des vaches !!!
A quoi pouvait bien penser Hella, sur ces sentiers côtiers encore tellement empreints du souvenir de Véga ?…
Le 26 novembre 1922 naît Charles Schulz.
Dessinateur et créateur de Charlie Brown, Snoopy et le reste des Peanuts, il décède en 2000.
Roman de Jean-Christophe RUFIN
Catherine est une quadragénaire française, qui s’est hissée à la force du poignet dans une situation professionnelle élevée. Célibataire sans enfants, elle n’a plus ses parents et ne vit que de furtives relations amoureuses. Ni laide ni sotte, elle met toute son énergie dans son travail et dans l’acquisition de biens immobiliers pour assurer son avenir. Entièrement investie dans sa réussite professionnelle et sociale, elle rejette toute forme de plaisir et de distraction, au point de ne pas vouloir prendre ses congés. Jusqu’au jour où son patron l’oblige à prendre un mois de vacances. Forcée et contrainte, elle s’offre un séjour au Brésil, destination de rêve depuis toujours pour cette femme si raisonnable.
Arrivée à Récife, elle retrouve une amie d’enfance et son mari en poste dans la ville brésilienne. Dans la moiteur ambiante, elle suit le conseil de son amie et se décontracte. Lorsqu’elle rencontre Gilberto, elle est décidée à se donner du bon temps et à oublier le jeune homme quand l’heure du retour en France aura sonné.
Mais alors qu’elle avait toujours gardé la tête froide, voilà qu’elle tombe passionnément amoureuse de Gil qu’elle refuse de voir en gigolo. En achetant les charmes de ce garçon de dix-neuf ans, elle veut se convaincre qu’elle mène la danse. Mais très vite, elle ne peut plus se passer de la présence du jeune Brésilien. Pour s’attacher ses services, elle lui offre des cadeaux divers : vêtements, bijoux, etc.
Lorsque le jour du départ arrive, elle prolonge d’une semaine puis promet à Gil de revenir. Après avoir payé à une femme le petit commerce dont elle allait être chassée à un prix dérisoire pour elle, elle demande à Gil ce qui lui ferait plaisir. Lorsque celui-ci lui annonce qu’il voudrait acquérir un établissement luxueux, Catherine lui promet de revenir avec la somme nécessaire.
Elle rentre en France, négocie son licenciement et vend tous ses biens. Puis elle repart au Brésil et donne l’argent, environ cinq cents mille francs, à son amant.
Mais progressivement, Gil change et entraîne Catherine dans une vie à l’opposé de tous ses principes. Jusqu’où Catherine ira-t-elle par amour ?
Un excellent livre sur les chimères de l’amour exotique.
La météo étant très favorable, nous sommes parties cet après-midi pour une petite balade en bord de mer. Le vent souffle assez fort et Hella est un peu impressionnée par le vacarme des vagues…
Le 25 novembre 1867, Alfred Nobel dépose le brevet pour son invention de la dynamite.
En Europe, la vente et la circulation de la nitroglycérine sont interdites car jugées trop dangereuses. Pour remédier à cet inconvénient, Nobel la mêle à de l’argile et la propose sous forme de bâtons. On lui doit la remise des Prix Nobel qui récompensent les personnes ayant rendu un grand service à l’humanité.
Avant d’arriver en Bretagne, nous avons fait halte chez des amis. Nous avons passé avec eux une excellente soirée et les remercions pour leur hospitalité.
Contrairement à Véga, Hella s’est montrée tout à fait amical envers les animaux de nos amis : Figaro le chat persan, Félicie la chatte tigrée, Casper le cochon d’Inde.
Figaro, se souvenant peut-être de Véga la teigne qui avait obligé mon amie à enfermer les trois animaux, a préféré se faire enfermer dans la chambre de sa maîtresse… Félicie en revanche, est restée dans le salon… à bonne distance cependant, surveillant Hella de loin. Avec Casper, notre petite Tibétaine a fait bon ménage. Elle aurait bien aimé jouer avec lui, mais son maître avait un peu peur qu’elle le confonde avec une de ses peluches qu’elle aime particulièrement prendre en gueule et lancer en l’air…
Le 23 novembre 1890 décède Guillaume III, prince d’Orange-Nassau, Grand Duc du Luxembourg et roi des Pays-Bas de 1849 à 1890.
Il avait épousé en 1839 Sophie de Wurtemberg, sa cousine germaine qui lui donna trois fils qui décèderont avant leur père. Ce mariage n’est pas heureux et Guillaume épouse en 1879 Emma de Waldeck-Pyrmont qui lui donne une fille, Wilhelmine.
A sa mort, dix ans plus tard, il ne laisse aucune descendance mâle et la couronne du Grand-Duché passe donc au Duc Adolphe de Nassau qui fonde ainsi la dynastie nationale du Luxembourg dont les descendants directs se sont depuis succédé au trône.
Le 22 novembre 1808 naît Thomas Cook, pionnier britannique du secteur touristique, fondateur de l’agence de voyages qui porte encore son nom.
Le 5 juillet 1841, il organise le premier voyage de groupe de Leicester à Loughborough pour 500 militants luttant contre la dépendance à l’alcool.
En 1845, il organise des voyages à Liverpool et dix ans plus tard, le premier circuit touristique à travers l’Europe pour des touristes britanniques qui vont ainsi visiter Bruxelles, Cologne, Heidelberg, Baden-Baden, Strasbourg et Paris.
En 1868, Thomas Cook invente les coupons d’hôtel et en 1874 les chèques voyage.
En 1869, il organise la première croisière sur le Nil. C’est une grande aventure car il n’y avait alors ni hôtels ni restaurants. Le croisiériste a dû prévoir d’emporter 65 chevaux, 87 mûles pour les bagages, des tentes, des lits et des cantines pour que les cuisiniers puissent préparer les repas des touristes.
Le 21 novembre 1783 a lieu le premier voyage en montgolfière.
Pilâtre de Rozier et le marquis d’Arlandes s’envolent à bord d’un engin de 2200 mètres cubes.
Ils réalisent ainsi le premier voyage aérien.
Le départ a lieu du château de la Muette à Paris. Au-dessus des Tuileries, ils atteignent leur altitude maximale, mille mètres.
Après vingt minutes de vol, la montgolfière se pose à la Butte aux Cailles, à proximité de la Place d’Italie.
Une très belle journée dimanche 18 novembre 2012 au salon Lunélivre. Les auteurs, très bien accueillis, ont bénéficié d’une organisation sans faille et d’un public nombreux. En plus, les acheteurs étaient au rendez-vous ! Peut-être avaient-ils déjà Noël en tête…
Quelques photos prises par Jacques M., l’époux d’une amie poète :
A peine installés, nous voyons arriver les premiers visiteurs.
Après la pause déjeuner, je participe à la première session de « speed booking » ou « brèves rencontres » en bon français, arbitrées par l’organisateur Benoît Tallot (assis à ma gauche). Après un temps de parole de trois minutes, c’est lui qui coupe le sifflet à l’auteur en faisant tinter la cloche ! Trois minutes, c’est à la fois peu et beaucoup pour présenter ses ouvrages…
Entre mes deux amies poètes, toutes deux prénommées Nicole, le temps a passé très agréablement.
Mon amie poète Nicole Métivier et moi-même recevons la récompense et le diplôme que le jury du Prix Littéraire de Graffigny nous a décernés, à savoir respectivement le Prix Paul Briquel et le Prix Charles Guérin. Quatre autres poètes sont également récompensés et trois auteurs reçoivent les prix organisés par le Cercle Littéraire Léopold. J’avais concouru au prix du roman avec les deux derniers tomes de ma saga, hélas sans succès !
Pour voir d’autres photos, cliquer sur l’album ci-dessous :
Le 20 novembre 1945 commence le procès de Nüremberg qui doit juger des chefs du régime nazi pour crime de guerre et crime contre l’Humanité.
Vingt et une personnes font partie des accusés, mais Himmler, Goebbels et Ley sont absents : ils se sont suicidés.
Le tribunal interallié n’a pas choisi Nuremberg par hasard ; c’était la ville-phare de l’idéologie nazie. Le procès va durer un an. Le jury est composé de représentants des Etats-Unis, de l’Angleterre, de l’URSS et de la France.
Sur les 24 hauts dignitaires du IIIe Reich, moins les trois qui ont choisi de se donner la mort, onze seront condamnés à mort et pendus le 16 octobre 1946.
Le 19 novembre 1703 décède « le masque de fer ».
Un prisonnier dont personne ne connaît l’identité meurt à la Bastille où il est enfermé depuis 1698. Il n’a cessé d’être emprisonné, d’abord à Pignerol puis à Sainte-Marguerite et enfin à Paris depuis près de 25 ans. Il gardera l’anonymat tout au long de sa captivité grâce à un masque de velours qui lui cache le visage. Ce déguisement lui vaudra d’être surnommé le « masque de fer ». De nombreuses rumeurs concernant sa véritable identité circulent, certains parlent du frère jumeau du roi Louis XIV ou encore de son fils illégitime. L’homme au masque de fer sera enterré sous le nom de Marchiali. Il avait 45 ans. Il a inspiré l’écrivain Alexandre Dumas.
Roman de Patrick POIVRE D’ARVOR
Tout le monde connaît le marquis de La Fayette pour son engagement aux Etats-Unis qui lui vouent toujours une grande admiration. On connaît moins sa vie amoureuse, et notamment qu’il fut sous le charme de Marie-Antoinette, épouse de Louis XVI et reine de France.
Patrick Poivre d’Arvor avertit d’emblée le lecteur sur l’aspect fiction de son roman car cet amour platonique et réciproque à ses débuts n’a pas encore été avéré. Mais la probabilité d’une passion du jeune Auvergnat pour l’Autrichienne est plus que probable et l’Histoire met parfois des siècles à révéler ses secrets.
L’histoire commence en 1774. Le jeune Gilbert Motier, marquis de La Fayette, est arrivé depuis peu à Paris. Il à seize ans. Il rencontre Marie-Antoinette, qui n’est pas encore reine, et tombe sous son charme. L’attirance est réciproque mais la jeune femme, épouse du futur Louis XVI et un peu plus âgée que Gilbert, ne se laisse pas facilement séduire. Lorsque, peu de temps après, elle monte sur le trône aux côtés de son mari au lendemain de la mort de Louis XV, celle que Gilbert a surnommée Marion pour la rendre moins inaccessible, prend ses distances sans toutefois se dérober.
L’Auvergnat prend pour épouse une jeune aristocrate, Adrienne, qui lui vouera un amour durable et inconditionnel. Car le fringant marquis, pour se consoler de ne pouvoir tenir la reine dans ses bras, prend des maîtresses. Par dépit amoureux, il accepte d’ailleurs de prendre le commandement d’une division à Metz. Là, il trouve l’opportunité d’éblouir la reine : aider les Américains à combattre les Anglais pour gagner leur indépendance. Contre l’avis de sa hiérarchie et notamment celle du monarque, il s’embarque pour les Etats-Unis. Là-bas, il devient un héros légendaire. Il rencontre Georges Washington qui fera de lui son fils adoptif tandis que lui-même sera le parrain du fils de La Fayette.
Mais lorsqu’il rentre en France, auréolé de gloire, c’est à la reine de France que Gilbert pense… La révolution, cependant, est en marche…
Un bon roman sur fond historique.
Le 18 novembre 1928 apparaît pour la première fois Mickey Mouse.
Le « Colony Theater » de New-York présente le film « Steamboat Willie », une comédie musicale dans laquelle une petite souris fait son apparition à l’écran et connait tout de suite un succès retentissant. Baptisée Mortimer, elle changera bientôt de nom sur les conseils de la femme de son créateur, Walt Disney, pour s’appeller Mickey.
Très belle journée d’exposition des artistes heillecourtois avec de nombreux visiteurs et surtout, des visiteurs qui achètent des livres, ce qui est encore mieux !
Demain, rendez-vous à Lunéville au Salon des Halles de 10h à 19h.
Pour ceux qui, se trouvant en ville à Nancy, souhaitent déjeuner sur le pouce tout en évitant les nombreuses enseignes de restauration rapide, je conseille « Le Pub ».
Ce petit restaurant est situé au premier étage du Centre Commercial Saint Sébastien, entrée côté Passage Bleu. Les formules sont variées, des snacks traditionnels (pizza, salades, baguettes garnies chaudes, etc.) aux plats de riz et pâtes souvent servis dans des récipients originaux, en passant par le plat du jour qui propose souvent une viande ou un poisson.
Le personnel, notamment une jeune femme, est très sympathique et très efficace. Le patron quant à lui vient spontanément vous proposer des plats qui ne sont pas sur la carte officielle, comme cette tarte aux framboises dont j’ai longtemps gardé le goût en bouche !
Les moins :
- les tables sont un peu serrées
- les plats ne sont pas toujours très chauds
Les plus :
- personnel très sympathique
- excellent rapport qualité/prix
- bon choix de riz et pâtes
- service rapide
- système de carte de fidélité sans limite de temps
Adresse : Centre Commercial Saint Sébastien, 54000 Nancy
Le 17 novembre 1800 a lieu l’inauguration du Capitole à Washington.
La construction du Capitole, siège du pouvoir législatif américain, avait commencé en 1793. La première cession du Congrès des Etats-Unis d’Amérique a donc lieu ce 17 novembre 1800.
Il n’y a pas de gratte-ciel à Washington D.C. car aucun bâtiment ne doit dépasser le congrès. Seule exception, l’obélisque du Washington Monument.
Suite à la lecture d’un petit livre (petit par le nombre de pages mais grand par ce qu’il détient), Hélène, une amie blogueuse de Bretagne (ce qui me la rend encore plus sympathique !) propose un petit jeu : taguer les fidèles internautes. Initialement, le jeu consiste à nommer dix personnes. Taguer, c’est demander à des blogueurs/euses de répondre à un questionnaire, à une dizaine de questions, pour mieux les connaître. Mais Hélène ne veut rien imposer, elle propose donc d’imiter le petit ouvrage dont il est question plus haut et qu’elle nous présente en ces termes :
« Le sel de la vie de Francoise Héritier,c’est une multitude de moments, un inventaire de souvenirs, de sensations, de plaisirs qui rappellent à chacun son sel de la vie. L’auteur n’est pas une Bretonne (si, si j’y tiens, elle évoque à plusieurs reprises des souvenirs en Bretagne, dans sa maison de Moëlan en ai-je déduit) mais une anthropologue et ethnologue connue (bardée de récompenses et de nominations, disciple de Lévi-Strauss, professeur au collège de France….) qui dresse un portrait joyeux du bonheur de l’existence (qui, pourtant, pour elle, n’est pas dénuée de souffrances puisqu’elle souffre de polychondrite atrophiante évolutive, depuis plus de 30 ans). Lévi-Strauss, confie-t-elle, a dit d’elle à un proche qu’elle avait la particularité de voir des choses qui étaient là de toute éternité et que personne ne voyait… ). C’est un peu ça, son livre ! »
Invitée par Hélène et sa Bretagne buissonnière à suivre l’exemple, voici mon sel de la vie à moi :
Assise sur un rocher, écouter le fracas des vagues.
Suivre le vol d’une mouette.
En automne, marcher sur un sentier forestier recouvert de feuilles mortes.
Me souvenir de mon fils enfant.
Ouvrir Outlook et découvrir un mail de mon amie de Dreux.
Dîner avec ma chérie dans le meilleur restaurant de Nancy.
Passer une nuit dans un relais château.
Ecrire, quand tout le monde dort.
Obligée de me lever très tôt pour travailler, entendre gazouiller les oiseaux.
Me réveiller tôt le dimanche matin et me rendormir.
Sentir notre petite chienne se glisser entre nous dans le lit.
Au retour d’une longue journée de travail, plonger dans un bain bien chaud.
Une brochure sur la ville entre les mains, me souvenir de Saint-Pétersbourg.
M’endormir dans les bras de mon amour.
Contempler un coucher de soleil dans le silence le plus complet.
A vous… si ça vous dit de vous prêter au jeu et d’en taguer d’autres !!!
Loïc et ses images spirituelles
La peinture animalière et figurative de Dominique
Jean-Claude et ses news
Les chansons et les textes du Coyote
Olivier et ses irréflexions
Le but du jeu est donc de mettre des mots sur ce qui fait le sel de votre vie sur votre blog (des petites phrases des moments que vous aimez) en expliquant que vous avez été taguée par Zaz et de proposer la même chose aux blogs que vous suivez !
Le 16 novembre 1960 décède Clark Gable, acteur américain et grande vedette d’Hollywood, victime d’une crise cardiaque à l’âge de 59 ans.
Le film « A free soul » a lancé sa carrière et en 1934, le film « It happened one night » a été proclamé film de l’année, offrant à l’acteur et à sa partenaire chacun un oscar.
Mais c’est le rôle du beau Rhett Butler dans « Gone with the wind » (Autant en emporte le vent), énorme succès cinématographique, qui immortalise l’acteur.
Le 15 novembre 1932 naît Petula Clark, chanteuse britannique.
Elle entre dès sept ans dans le monde du spectacle grâce à sa mère cantatrice soprano et son père imprésario.
Grande vedette de la chanson francophone et anglophone des années 60, sa période faste se situe entre 1964 et 1968.
En 1965, elle est la première femme à être no 1 au palmares américain avec « Downtown ».
Notre petite Hella, âgée de six mois et demi, a été opérée hier. En plus de la stérilisation, le vétérinaire a procédé à l’ablation des ergots pour palier tout risque de blessure ultérieure si la chienne les accrochait quelque part en courant, et à l’extraction de trois dents de lait qui refusaient de tomber malgré l’arrivée des crocs définitifs. C’est vrai que la gueule de Hella ressemblait à celle d’un requin !
Encore dans le gaz hier soir quand nous l’avons récupérée, elle va aujourd’hui déjà beaucoup mieux et sera sans doute complètement remise d’ici notre départ en Bretagne la semaine prochaine.
Le 14 novembre 1840 naît à Paris Claude Monet, peintre français à l’origine du mouvement impressioniste.
L’objectif de ces artistes était de reproduire sur la toile non pas les objets ou les paysages eux-mêmes, mais surtout l’impression qu’ils produisaient sur eux.
Monet aimait en particulier peindre la nature contrôlée : son propre jardin, ses nymphéas, ses fleurs, son étang et son pont.
Le 13 novembre 1850 naît Robert Louis Stevenson, écrivain écossais.
Etudiant en droit, il écrit des livres pour enfants, dont « L’Île au Trésor », véritable chef-d’oeuvre. Puis il écrit « Le cas du docteur Jekyll et de Mr Hyde ».
Malade, il se retire dans l’île de Samoa et devient l’ami des indigènes.
Il décède en 1894.
Le 12 novembre 1866 naît Sun Yat-Sen, leader révolutionnaire et homme d’Etat chinois, considéré comme « le père de la Chine moderne ».
Il joue un rôle très important dans le renversement de la dynastie Qing dont le dernier représentant a été Pu Yi et l’émergence de la République de Chine.
L’un des fondateurs du Kuomintant, il a été le premier président de la République de Chine en 1912 et son leader de 1923 à 1925, année de sa mort.
Le 11 novembre 1864 naît à Rouen Maurice Leblanc, écrivain français.
Auteur de nombreux romans policiers et d’aventures, il crée le célèbre personnage d’Arsène Lupin, le fameux gentleman-cambrioleur. La série compte 27 romans et recueils de nouvelles et deux pièces de théâtre, tous publiés de 1907 à 1937.
Il décède en 1941 à Perpignan.
Le 10 novembre 1549 décède Alessandro Farnese alias Paul III, 220e pape de l’Eglise catholique pendant quinze ans.
Ce pape aux vertus imposantes restaura la foi catholique et la piété. Dans Rome, on retrouve son nom un peu partout : à la Chapelle Pauline, à la Chapelle Sixtine, dans les rues de la capitale italienne qu’il a élargies. De nombreux objets d’art sont associés au nom de Farnèse.
-le samedi 17 novembre de 14 h à 19 h à la Maison du Temps Libre à Heillecourt (date modifiée)
- le dimanche 18 novembre de 10 h à 19 h au Salon des Halles, Place Léopold, Lunéville
- le dimanche 16 décembre de 10 h à 18 h pour le premier salon « Livre en Hiver » dans les salons de l’Hôtel de Ville de Metz
J’espère vous rencontrer lors de l’une ou l’autre de ces manifestations.
Le 9 novembre 1841 naît Edouard VII d’Angleterre, fils de la reine Victoria.
A 61 ans seulement, il devient roi du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande, roi des royaumes du Commonwealth et empereur des Indes. Il règnera jusqu’à sa mort en 1910.
En sortant sur la terrasse, je découvre Emef, la souris éternellement optimiste, décapitée ! Sa tête gisait près d’elle, sourire impertubable. Le vent l’avait-il décrochée ? Des chats avaient-ils joué avec elle ? Mystère ! J’ai raccroché la tête à son corps et Emef continue à régner sur le domaine…
Le 8 novembre 1880, Fiodor Dostoïevski publie son dernier roman : Les frères Karamazov.
Cet ouvrage raconte l’histoire des quatre fils de Fiodor Karamazov dont trois représentent chacun un idéal de la société russe de la fin du 19e siècle : Alexei est un homme de foi, Ivan un intellectuel et Dimitri est animé par la passion et le vice. Le quatrième est un enfant illégitime et épileptique coupable du parricide orchestré par l’un de ses frères.
Roman d’Olivier et Patrick POIVRE D’ARVOR
En mai 1935, en Angleterre, un homme est victime d’un accident de moto. Tombé dans un coma profond, il meurt sept jours plus tard. Un fait-divers somme toute banal, sauf que la présence de nombreux policiers, d’agents secrets et de journalistes sur les lieux de l’accident puis autour de l’hôpital laisse deviner une personnalité de haut rang.
En effet, il s’agit de Thomas Edward Lawrence, le fameux Lawrence d’Arabie. Enfant d’un couple illégitime poursuivi par l’épouse officielle du père, il a souvent changé de maison, de pays et d’identité. Habitué à fuir, il s’engage très jeune dans l’armée et devient le chef de la révolte arabe.
Dans le désert d’Arabie, un journaliste américain et son photographe vont faire de lui une légende vivante. Lawrence vit mal cette popularité et tente de disparaître à nouveau sous un faux nom. Traqué, il est à chaque fois démasqué jusqu’à ce jour où sa moto percute un arbre de plein fouet. Accident ou suicide ?
Les frères Poivre d’Arvor, dans cet ouvrage qui n’est pas une biographie mais bien un roman, partent du postulat qu’il s’agit d’un suicide et l’idée n’est pas farfelue. Pour le côté romanesque, ils se sont introduits dans la tête du mourant pour nous faire vivre ses pensées les plus intimes durant les sept jours de son agonie. Ainsi sa vie défile-t-elle devant nous, montrant toute la complexité du personnage.
Bien sûr, on n’apprend rien sur le héros qui revêt à jamais les traits de Peter O’Toole dans le film « Lawrence d’Arabie », consacré au soldat britannique atypique. Mais la lecture est plaisante, même si certains esprits chagrin reprocheront aux auteurs d’avoir mis beaucoup d’eux-mêmes dans ce récit, notamment dans les pages qui dénoncent la traque des paparazzi, responsables parfois des stars auxquelles, de façon bien étrange, ils vouent leur existence.
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