Peu de monde le matin, mais l’après-midi, visiteurs et acheteurs arrivèrent nombreux dans la salle polyvalente pour découvrir les ouvrages des auteurs présents, dont Michel Caffier, l’invité d’honneur. Bilan très positif.
Un grand merci aux organisateurs, notamment Béatrice Bentz et Michèle Melchior pour leur bonne humeur et leur gentillesse.
Simone Dezavelle et Noëlla Cailly et, ci-dessous, mon amie Jeannette Insurgé.
Isa,
Que cette photo si aimablement glissée sur ton blog n’efface pas ta grande présence sur ce salon.
Très cordialement. Noëlla
Si ce salon est toujours un plaisir c’est bien sur grâce à la gentillesse, à la compétence et au dévouement des organisateurs et de leur équipe, un grand merci à eux.
J’ai aussi beaucoup apprécié le discours plein d’intelligence et d’à propos du sympathique jeune maire de Chaligny.
merci Isa et Bernard de cet hommage à l’équipe si sympa, si dynamique et si chaleureuse de chaligny, cela fait du bien de pouvoir échanger, dans cette ambiance si sincèrec’est vrai Bernard, le maire de Chaligny nous redonne espoir pour l’intelligence humaine , ça fait du bien!
ça me fait toujours bizarre de voir ma tronche quelque part!!
jeannette
Merci Isabelle de ce compte rendu du salon
Suite a ma demande écrite en janvier pour être présence sur ce salon , l’ on m’ a avertie par tél que les inscriptions étaient closes depuis octobre, je n’ ai pas insisté davantage.
Je n’ aurais sans doute pas tenu la journée complète
je pense me retirer petit à petit des salons
bravo pour la sortie de ton dernier tome
heureuse de découvrir que tu as un éditeur ….
Après tout chacun son domaine, mon métier n’ étant pas écrivain publique, je laisse la place aux professionnels qui ont évidemment bcp plus de talent et de chances de vendre.
bon w end a vous trois
Chère Laure, en effet, les inscriptions ont eu lieu à l’automne et les gens s’inscrivent souvent d’une année sur l’autre.
Malheureusement, je n’ai pas d’éditeur, je publie toujours en auto-édition ! Mais comme je le dis souvent, être édité à compte d’éditeur n’est pas du une garantie ni une preuve de talent ; c’est simplement une intuition de l’éditeur que ton livre a un potentiel de vente car le livre est un objet et l’éditeur un homme d’affaires ! Heureusement, nous avons la chance de vivre à une époque où nous pouvons être publiés en passant outre ces commerçants qui ont souvent une caisse enregistreuse à la place du coeur. Alors ne nous en privons pas, éditons-nous nous-mêmes et vendons nos livres à qui les veut, non parce que c’est la mode mais parce qu’ils répondent à une envie irraisonnée.
Merci de cette info complète Isabelle
je n’ ai pas encore mis les pieds dans une grande surface
je n’ ai pas trouvé de soutien côté assoc
c’ est bien dommage….
j’ ai pourtant bcp d’ idées l’ argent manque un peu
je dois faire face à ce monde cruel du commerce ce n’ est pas mon truc je ne sais me vendre
faire des interventions sur certains endroits demande de la présence une excellente organisation et bcp d’ autonomie
je n’ ai pu honorer ma présence fin 2011sur l’ assemblée générale de gondreville qui pouvait me donner l’ opportunité de faire un café littéraire cette année
a présent j’ attends septembre pour faire un proposition je comprends fort bien qu’ il est plus judicieux pour l’ image de l’ apac d’ inviter Gilles LAPORTE plutôt que laure
excellent w end
bissssssssssss a toutes
Si cela peut te consoler, je n’ai pas non plus été sollicitée par l’APAC pour faire un café littéraire ! Zaz non plus ne fait pas le poids ! Je poursuis mon petit bonhomme de chemin ; un jour peut-être… L’essentiel pour moi est de continuer à écrire pour les quelques personnes qui apprécient mes livres.
Quand le moral est en bas des chaussettes, quand je me dis que je suis forcément nulle puisque les éditeurs contactés refusent mes manuscrits, je pense à Marcel Proust. Non pour comparer ma prose à celle de ce grand homme, mais pour me rappeler que le comité de lecture de Gallimard a refusé son premier roman. André Gide, président du jury, a par la suite beaucoup regretté son manque de discernement… Alors voilà, quand ça va mieux, je me dis que les éditeurs ne savent pas à côté de quoi ils passent ! C’est bon pour mon égo !!!