Film d’Olivier Nakache et Eric Toledano avec François Cluzet, Omar Sy, etc.
Philippe, aristocrate, vit dans un hôtel particulier. Il souhaite embaucher un homme pour l’aider dans son quotidien. En effet, il est tétraplégique depuis un accident de parapente. Paralysé du cou à la pointe des pieds, il vit dans le souvenir de son épouse décédée après une longue maladie.
Driss, l’ainé d’une famille très nombreuse, vit dans une banlieue populaire. Afin de bénéficier des indemnités de chômage, il doit faire signer un formulaire attestant de sa présence à la convocation. Persuadé qu’il ne peut faire l’affaire et pas vraiment intéressé par le job, il accepte de laisser son document pour que Philippe, l’employeur potentiel, le signe en toute tranquillité. Avant de quitter la demeure luxueuse, il dérobe un œuf de Fabergé qu’il offre à sa mère.
Lorsqu’il revient le lendemain, à sa grande surprise, Philippe lui propose de l’embaucher en ajoutant : « De toute façon, vous ne tiendrez pas quinze jours ! ». Driss relève le défi, soulagé de trouver le gîte et le couvert puisque sa mère, excédée par la conduite irresponsable du garçon, l’a mis à la porte. Cependant, les tâches qui l’attendent sont parfois au-dessus de ce qu’il pense pouvoir supporter…
Philippe en revanche est ravi. L’humour décapant et la joie de vivre de ce grand Noir lui font du bien et il en redemande. Avec Driss, il revit et il se marre. Quand le jeune homme découvre que son patron et presque ami entretient une relation épistolaire avec une jeune femme, il décide de prendre l’affaire en main…
Un film extrêmement drôle sur un sujet pourtant ô combien délicat, d’après une histoire vraie. Les blagues de Driss, comme le fameux « pas de bras pas de chocolat », sont pour l’homme handicapé plus qu’un coup de fouet. Grâce à l’humour décapant du jeune homme, l’homme blessé dans son corps comme dans son âme va retrouver goût à la vie et se sentir de nouveau debout dans sa tête.
L’humour et l’émotion sont déversés à justes doses et les deux acteurs principaux sont très crédibles dans leurs rôles. A voir absolument et pourquoi pas, même revoir !
oui, belle leçon de vie en effet.
et de confiance en l’autre…
j’ai vu ce film
bien sur j’ai rie,le seul coté positif que j’y ai vu, c’est le doigt mis sur « le regard sur les différences »
pas de pitié car rien n’est plus offenssant pour moi que la pitié!
deux fois dans ma vie j’ai été en fauteuil roulant… sauf que je n’avais pas les moyens de me payer un fauteuil électrique… c’était beaucoup moins drôle
combien d’handicapés, peuvent « se payer » ce que l’on a vu dans le film
j’avoue que j’ai hésitée a répondre, car quelquefois je me fais l’effet « d’un trublion »!
hum! d’alleurs c’est le surnom que m’avait donné mon éditeur!!
Bien sûr, tous les handicapés n’ont pas l’aisance financière du Philippe du film. En même temps, c’est son histoire. Aurait-il fallu refuser de la raconter sous prétexte qu’il était riche ? Je pense que le but du film était justement de confronter ces deux mondes qui, a priori, ne pouvaient pas se comprendre et encore moins s’apprécier, qu’il faut donc laisser les préjugés de côté et laisser s’exprimer la part d’humanité qui niche en chacun de nous. Riche ou pauvre, cela ne change rien. Même si je suis bien d’accord qu’il vaut mieux être riche, beau, intelligent et en bonne santé que pauvre, moche, bête et malade !…
Dans tous les cas
et disons que oui, ça accentue le contraste…
toutes personnes peut un jour devenir handicapé personne est à l abris mais les gens valide et en bonne santé sont handicapé par leur méchansté leur préjuger et surtout leur betise in comment surable il la lis de la société l herbes folle des jardins non entretenus bonne semaine
Dernière publication sur : ET si l 'on faisait mentir le dicton
erratun sont la lis
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