Joséphine et Antoine Cortes se séparent. Chercheuse au CNRS, elle fait bouillir la marmite pendant que son époux cherche un emploi. Lorsqu’il propose de partir pour la soulager de sa présence, elle accepte et apprend peu de temps après qu’il a une maîtresse, Mylène, employée dans un salon de beauté.
Iris, la sœur de Joséphine, mariée au très riche Philippe Dupin, s’ennuie dans sa vie confortable mais insipide. A l’occasion d’un dîner, pour attirer l’attention sur elle, elle déclare être en train d’écrire un livre sur le XIIe siècle, précisément la période de l’Histoire qui est la spécialité de Joséphine. Harcelée par l’éditeur auprès de qui elle s’est vantée, Iris demande à sa sœur d’écrire le roman pour elle en échange d’une forte somme d’argent. Joséphine accepte car entretemps Antoine s’est lancé dans un élevage de crocodiles au Kenya et a emprunté une forte somme d’argent qu’elle doit rembourser lorsqu’il s’avère incapable de faire face à ses obligations.
Joséphine a deux enfants, Hortense et Zoé. La première, quinze ans, sait déjà ce qu’elle veut dans la vie et très précisément ce qu’elle ne veut pas : vivre dans la pauvreté. Tous les moyens seront bons pour y échapper. La seconde, dix ans, est plus fragile et souffre de l’absence du père.
Iris a un garçon, Alexandre. Lorsque Philippe découvre petit à petit la supercherie du roman, il se rapproche de son fils.
Henriette Grobz, la mère de Joséphine et Iris, est une femme aigrie et méchante qui ne voit que par Iris. Arriviste, elle avait mis le grappin sur Marcel, riche industriel, après la mort de son premier mari, pour se sortir de sa modeste condition. Elle ignore que Marcel file le parfait amour avec sa secrétaire qui accepte de lui donner ce qu’elle lui a toujours refusé : un enfant.
Shirley vit avec son fils Gary à Courbevoie, sur le même palier que Joséphine. C’est sa meilleure amie, même si Shirley lui cache un énorme secret.
Le roman est mené à grande vitesse, sans aucun temps mort. Premier tome d’une saga, il est suivi de deux autres tomes : La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi.
A lire absolument.
Evelyne a lu tous les Pancol…. elle adore….