Il y a Joséphine et ses deux filles, Hortense et Zoé, respectivement vingt et quinze ans. La première est sûre d’elle, de sa beauté, de son intelligence, de son charisme. Elle veut devenir styliste et se donne les moyens de réussir. L’amour n’est pas dans ses projets, même si un certain Gary occupe son cœur.
Il y a Shirley, amie anglaise de Joséphine et mère de Gary. Fille clandestine de la reine d’Angleterre, elle a décidé de ne plus se laisser avoir par les hommes après son histoire désastreuse avec le père de Gary. Mais un jour, elle rencontre Oliver.
Il y a Philippe, beau-frère de Joséphine. Veuf, il aime sa belle-sœur d’un amour réciproque. Mais les choses ne sont pas simples depuis la mort violente d’Iris, la sœur de Joséphine qui avançait dans la vie un peu comme Hortense.
Il y a Henriette, la mère de Joséphine et Iris, qui ne pense qu’à nuire à son ex-mari, Marcel Grobz, riche industriel. Pour se venger d’un divorce qui l’a mise à l’écart de l’entreprise, elle persuade Bruno Chaval, ancien amant d’Hortense, de l’aider à se venger en lui promettant la reconquête de sa petite-fille.
Il y a Josiane, la nouvelle épouse de Marcel Grobz, et leur fils Junior, un enfant surdoué.
Les destins se croisent et s’entremêlent. Il n’y a pas de temps mort, on passe d’un personnage à un autre sans avoir le temps de se lasser ; on va de Paris à Londres en passant par Edimbourg et New York. Si cela était possible, on lirait ce roman de plus de huit cents pages d’une traite !
Seul bémol, rien ne dit, ni sur la couverture ni dans l’avant-propos, qu’il s’agit d’une suite. L’histoire commence en fait avec Les yeux jaunes des crocodiles, se poursuit avec La valse lente des tortues et se finit (ou pas…) avec Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi. Je vous conseille donc vivement de commencer par Les yeux jaunes !
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