Il y a 499 ans…

Le 1er novembre 1512 a lieu à Rome l’inauguration de la fresque de la Chapelle Sixtine, oeuvre monumentale (40m x 13m) qui décore la voûte de la chapelle, commandée à Michel-Ange par le pape Jules II.
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8 Réponses à “Il y a 499 ans…”


  • J’ai eu le privilège de visiter la Chapelle Sixtine il y a plus de 30 ans.

    A l’époque, la visite était plus libre et j’ai pu m’asseoir dans l’encognure d’une petite fenêtre, bénéficiant de la vue qu’avait les visiteurs dès la création de la Chapelle.

    Je mesure à présent cette chance car les règles concernant ces visites sont désormais des plus draconiennes, dans le but de préserver un tel chef d’oeuvre.

  • Bonjour Zaz,
    J’espère que vous allez bien. Ça y est, j’ai attaqué votre livre (enfin) et noté à l’orée cette devise de la petite Marie « quand on n’a pas ce qu’on aime, il faut aimer ce qu’on a. » Je connais aussi quelqu’un qui serait très sensible à ce que vous faites…
    Olivier

  • Je crois que c’est aussi, malheureusement, dans un but lucratif : accélérer les visites pour engranger un maximum d’entrées.
    Nous avons eu la mauvaise idée de nous rendre à Rome un week-end de Pâques… La file d’attente pour accéder à la chapelle Sixtine était interminable. Une fois enfin à l’intérieur, nous étions canalisées, contraintes de continuer à avancer. Pas moyen de s’attarder, pas moyen de s’asseoir. Nous avons été très frustrées.
    Une amie nous a dit que l’idéal est d’éviter les grands week-end bien sûr et de prendre un guide. C’est un coût mais on évite la file d’attente et en plus des explications, on a tout le loisir de s’attarder pour admirer.

  • Bonjour Olivier,

    ravie d’apprendre que vous avez « attaqué » ma lavandière.
    En fait, j’ai emprunté cette devise à ma mère qui avait une philosophie de vie très surprenante et tout à fait anachronique avec son métier (patronne de bar de nuit). J’espère en tout cas que ce premier tome vous plaira et que vous aurez envie de découvrir les suivants. Sans vouloir vous mettre la pression ni me jeter de fleurs, mes lecteurs me disent que chaque tome est mieux que le précédent. C’est vrai que ce premier tome est un peu bancal, avec deux gros pavés à la suite, un pour chaque famille, alors que dans les suivants, j’alterne les chapitres et navigue ainsi d’une famille à l’autre.
    Il faut dire que cet ouvrage n’était pas destiné à être le premier tome d’une saga. J’avais écrit l’histoire de la lavandière d’Igney pour participer à un concours qui avait deux exigences : raconter une nouvelle d’une cinquantaine de pages qui se passe en Lorraine et inscrire la petite histoire dans la grande. Comme Monique me racontait souvent l’histoire de sa « petite Mémère », mon sujet était tout trouvé. J’ai donc écrit le texte, glané pas mal d’infos historiques, et malheureusement, je n’ai pas eu le temps de le corriger pour le présenter au concours. J’avais donc ce petit opus dans mon tiroir depuis quelques années. J’ai donc décidé de le reprendre et de l’étoffer pour en faire un roman. Quand j’ai eu terminé, j’ai pensé que ce serait intéressant d’y ajouter une seconde famille (la mienne en gros). Et quand cela a été terminé, j’ai eu envie de continuer ces deux histoires parallèles pour faire se rencontrer les descendants de ces deux familles à la fin du 4e tome, au seuil des années 2000. Alors bien sûr, j’ai d’emblée construit mon tome 2 comme une saga, en alternant les épisodes d’une famille à l’autre. Et au fur et à mesure que j’avançais, j’avais plus d’éléments car de plus en plus de vrais souvenirs et non plus des souvenirs rapportés. C’est la raison pour laquelle le tome 1 comporte 250 pages, le tome 2 environ 285, mais le tome 3, qui commence en 1950, environ 470 et le tome 4 que je suis en train de corriger aura environ 550 pages.

    Bonne lecture Olivier !
    Bises
    Zaz

  • Il est toujours intéressant de connaître la genèse d’une oeuvre d’une certaine ampleur… et à ce titre vos commentaires sont éclairants.
    Malgré son caractère peut-être un peu scolaire et académique, le début est néanmoins attachant (personnalité de l’héroïne?)
    Amitiés

  • Bien que votre commentaire ne soit pas un compliment, j’espère néanmoins que le côté attachant de mon héroïne vous donnera envie de poursuivre !

  • Merci de ces décors aussi somptueux que nous offre la fresque de la Chapelle Sixtine
    j’ ai pu visiter cette œuvre extraordinaire et monumentale
    je me demande encore comment Michel Ange à pu réaliser un tel chef d’ œuvre ………..des surhommes ……….sans doute…..

    magnificence de l’ art……………
    si j’ avais pu être un artiste de cette époque!

  • Quelle oeuvre sublime qui retient le regard,chose qui n’est plus vraiment maîtrisée.

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