Le 12 octobre 1492, Christophe Colomb découvre l’Amérique. Parti avec ses trois caravelles, la Niña, la Pinta et la Santa Maria, le navagateur génois accoste deux mois plus tard une terre qu’il prend pour les Indes. Aussi baptise-t-il les habitants les Indiens. Mais il se trompe car il vient de découvrir une île des Bahamas. Il en prend possession au nom des rois catholiques espagnols et lui donne le nom de San Salvador.
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Archive mensuelle de octobre 2011
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Le commissaire Llob, policier à Alger, traque les Islamistes avec son co-équipier Lino. Dans l’Algérie en guerre, où les extrémistes tiennent un fusil dans une main et le coran dans l’autre, ils risquent chaque jour leur vie. Llob enquête sur la disparition d’une jeune fille. Contrairement à l’impression que donnent les premières pages, le commissaire, la cinquantaine, n’est pas un célibataire endurci mais un homme marié et père de famille. On le suit dans les rues de la capitale algérienne, dans les bars louches, les gourbis et les somptueuses villas. Jour après jour, au gré des massacres, le commissaire Llob avance, la peur au ventre. Son épouse aussi craint chaque minute de retard ; d’ailleurs, elle est prématurément vieille à force de s’inquiéter pour son mari. Malgré tout, le commissaire poursuit sa quête.
Cependant, les amateurs de vrais romans policiers seront déçus car dans ce petit livre, l’enquête policière n’est qu’un prétexte pour évoquer la guerre civile en Algérie, la violence, les meurtres, la barbarie, les attentats dont sont victimes les militaires mais aussi les habitants, femmes et enfants compris. Le commissaire est une sorte de San Antonio à la sauce algérienne, avec des expressions aussi fleuries et imagées, parfois tirées par les cheveux et dépourvues de naturel.
Ce livre a été écrit du temps où Mohammed Moulessehoul, commandant dans l’armée algérienne, n’avait pas fait son coming out. Prendre un pseudonyme était alors le seul moyen pour cet homme de pouvoir écrire et survivre. L’écrivain depuis a révélé qui se cachait sous ce nom de plume féminin et il a dû quitter son pays, menacé de mort ainsi que sa famille pour avoir révélé les atrocités dont se rendaient coupables les soldats de l’armée régulière et les intégristes qui n’hésitent pas à fusiller un petit garçon qui se rend à l’école ou une jeune fille qui refuse de porter le voile.
Le 11 octobre 1844 naît Henry John Heinz, fondateur de la compagnie d’alimentation qui porte son nom et créateur du célèbre ketchup (dont j’ai usé et abusé pendant des années ! )
Le 10 octobre 732 (le 17 ou le 25 selon les sources…) a lieu la bataille de Poitiers qui dura une journée et vit la victoire de Charles Martel, maire du palais du royaume franc, contre les Sarrasins. Cette victoire met fin à l’expansion musulmane médiévale en Occident. Charles Martel s’empare de Bordeaux et intervient dans la vallée du Rhône et en Provence.
La belle surprise de ce dimanche fut la participation de plus de 2,5 millions de votants aux primaires socialistes. Même si Monsieur Copé a raison de vouloir relativiser pour ne pas paraître envieux tant ces primaires ont passionné les Français, du premier débat télévisé au passage aux urnes aujourd’hui, c’est un réel succès qui fera sans doute des émules. Le résultat en revanche n’est pas surprenant, si ce n’est la belle troisième place de Montebourg.
Ces primaires, que j’ai vécues de l’intérieur puisque j’étais assesseur pendant deux heures et demie ce matin puis active au dépouillement à partir de 19 h 00, ont été remarquablement organisées et je ne doute pas que dimanche prochain, encore plus de votants se pressent dans leur bureau de vote pour choisir la candidate ou le candidat qui représentera la gauche aux prochaines élections présidentielles.
Le 9 octobre 1835 naît Camille Saint-Saëns, musicien français. Enfant prodige, il donne son premier concert à l’âge de onze ans. Il entre au Conservatoire à l’âge de treize ans et à dix-huit ans, il devient organiste à Paris. Parmi un nombre très impressionnant de créations, citons « La Danse macabre », « Le Carnaval des animaux », la symphonie n°3 pour orgue et l’opéra « Samson et Dalila ».
Le grand courage, le vrai, le courage de la vie …
Jour après jour surmonter les drames,
Les catastrophes en tout genre, les malversations, les trahisons,
C’est continuer à assumer le quotidien.
Assurer les petits gestes, continuer malgré les tempêtes,
Ne pas se coucher, avancer, garder le sourire comme si …
Arriver à rire pour faire comme les autres,
Accomplir ce qui doit l’être malgré les aléas, et vivre …
Vivre malgré le départ des êtres aimés, oui on peut le dire.
Ceux qui ont cette force, ce sont les vrais héros de la vie.
Jeannette Insurgé
M’est avis que cette grand-mère voulait à tout prix être chez elle pour le coup d’envoi du match de rugby France-Angleterre ! En plus de la défaite de son équipe, elle aura peut-être écopé d’une amende et qui sait, d’un retrait de permis… Damned !
Ben oui quoi ! on n’a pas toujours envie, en rentrant du boulot, de se mettre à éplucher une tonne de légumes pour cuire une vraie soupe ! Moi j’en connais un qui mange une boîte de bonbons Haribo pour dîner ! hi hi hi !
Après une performance en demi-teintes lors du précédent match, l’équipe de France de rugby a, semble-t-il, fait un très bon match aujourd’hui contre les Anglais (19-12) et sont donc qualifiés pour les demi-finales.
Je n’ai pas regardé le match, mais du bureau où j’écrivais, je suivais son évolution au gré des exclamations de Monique, scotchée devant la TV. Et je suis donc contente de cette victoire contre ceux qui m’ont nourrie pendant un an !
Cher-e-s ami-e-s,
Dimanche, nous votons pour participer à la première étape du changement en 2012.
Faisons de ces Primaires un grand rendez-vous citoyen.
Votez et invitez vos proches et amis à le faire. Tout le monde peut voter !
Conditions :
- être inscrit sur les listes électorales
- participer aux frais d’organisation (minimum 1€)
- signer la reconnaissance dans les valeurs de la Gauche
Pour connaître votre bureau de vote : http://www.lesprimairescitoyennes.fr/
Le 8 octobre 1895 naît Juan Peron, homme politique argentin. Il devient président d’Argentine de 1946 à 1955 puis de 1973 à 1974. Ses premières mesures, notamment le droit de vote aux femmes, le rendent très populaire. Mais les difficultés économiques l’obligent à démissionner et à partir en exil avant de revenir au pouvoir suite à la victoire de ses partisans aux élections de 1973. Il épouse Eva Duarte, morte du cancer en 1952, le 21 octobre 1945 puis Isabel Martinez en 1961. Il décède le 1er juillet 1974.
Sans commande sous le coude, je savais hier soir qu’aujourd’hui serait dimanche. Nous pensions aller nous balader sur le plateau des Mille Etangs en Haute-Saône, dans les Vosges saôniennes, mais la météo annonçait de la pluie pour au moins les cinq jours à venir. Nous avons donc commencé par faire la grasse matinée !
Quand nous nous sommes levées, il avait plu mais il ne pleuvait plus. Dilemme. To go or not to go ? A force de tergiversation, nous ne sommes parties que vers 14 h 00. En route, il plut puis plus… puis grand soleil ! Arrivées devant le premier étang, pof, gros nuage noir qui crève ! Il pleut très fort et nous attendons l’accalmie dans la voiture, Véga trépignant à mes pieds. Puis le ciel se dégagea et le soleil resplendit pour le restant de l’après-midi. Admirez !
Ouvrage mixte de Gérard DALSTEIN
Publié aux Editions Paroles de Lorrains, cet ouvrage de 160 pages au format A4 est un fabuleux hommage aux hommes du fer, aux métiers de la sidérurgie qui était la richesse de la Lorraine.
C’est un ouvrage mixte car il présente à la fois des textes en prose, des poèmes et des illustrations, elles aussi variées dans leurs techniques : aquarelle, gouache, pastel, fusain, etc. Les poèmes sont de facture néo-classique pour la plupart et d’une grande intensité d’expression. Et chaque poème est encadré par une frise personnifiée avec beaucoup de recherche dans le détail.
Bref un vibrant hommage aux hommes du fer par un auteur qui a mis son coeur et ses tripes dans ce travail titanesque qui ne peut laisser personne indifférent. Les lecteurs issus des générations de métallo retrouveront avec émotion des souvenirs d’enfance et ceux qui n’ont du monde la sidérurgie qu’une vague image, erronée ou idéalisée, seront touchés par la découverte de ce monde que Gérard Dalstein met à la portée de tous par sa prose, sa poésie et ses dessins.
Seuls bémols, l’ouvrage est d’un format peu pratique et son prix un peu onéreux, mais c’est un livre que l’on garde et qu’il est indispensable de posséder pour comprendre la Lorraine d’aujourd’hui au travers de son passé récent.
Le 7 octobre 1337 commence la guerre de Cent Ans. A l’abbaye de Westminster, Edouard III, roi d’Angleterre, revendique officiellement le trône de France à son cousin Philippe VI. C’est le début d’un conflit qui opposera la France à l’Angleterre pendant de nombreuses années et que l’on appelle guerre de Cent Ans. Le conflit, entrecoupé de trêves plus ou moins longues, durera 116 ans. Le traité de paix est signé le 29 août 1475 en Picardie.
J’ai toujours été plus « fenêtres » que « pomme » qu’il m’arrive de consommer pour tenter de juguler mon cholestérol ! Mais les utilisateurs de Mac ne jurent que par la marque à la pomme croquée. La mémoire de Steve Jobs, le fondateur d’Apple, a été saluée par Barack Obama et son concurrent Bill Gates, fondateur de Microsoft. Steve Jobs, à qui l’ont doit aussi l’iphone, l’ipod et l’ipad, atteint depuis plusieurs années d’un cancer du pancréas, avait 56 ans.
La journée avait été rude. Levée dès l’aube, j’avais passé plus de huit heures devant l’ordinateur, casque sur les oreilles, à transcrire un fichier audio en fichier texte. Et cette fois, rien de passionnant ; pas de colloque sur la psychiatrie ou le handicap mais une réunion de travail d’une Chambre de Commerce et d’Industrie. Véga dormait sous mon bureau, ronflant au rythme de mes dix doigts virevoltant sur le clavier. La prouesse consiste à régler la vitesse du fichier audio au minimum pour pouvoir taper le plus possible sans arrêter la bande et encore moins revenir en arrière. Lorsque le délai de livraison d’une telle commande est court, c’est un travail harassant qui donne des crampes un peu partout.
Comme chaque mercredi après-midi, Monique donnait son cours de peinture à une quinzaine d’enfants. Quand elle rentra, visiblement exténuée par sa séance avec des galopins parfois turbulents et mal embouchés, elle me proposa un café que j’acceptai bien volontiers. Je venais juste de terminer mon boulot ; j’avais les doigts engourdis, la nuque raide, les reins crispés, les jambes douloureuses et les yeux explosés.
- Si on allait voir le jardin éphémère ? dit-elle en sirotant son Perrier.
J’aspirais davantage à un hamac… mais la météo n’annonçait rien de bon à partir de demain et j’avais très envie de me rendre Place Stan pour voir le fameux jardin éphémère de cette année. Marcher me ferait le plus grand bien !
La huitième édition est à la hauteur des précédentes ! Le thème est la musique et les jardiniers ont redoublé d’imagination et de créativité. Il y a des visiteurs mais pas foule ; on peut tranquillement déambuler et Monique peut faire ses photos. Je la regarde, oeil au viseur, guetter l’instant propice pour éviter la présence d’un individu sur le cliché. Elle a oublié sa fatigue, physique et nerveuse. Pour un reportage photos, Monique se traînerait sur les genoux ! Tandis qu’elle oeuvre, je marche parmi les parterres et j’admire la place, ses superbes monuments, la perspective vers la Place de la Carrière, les grilles, les fontaines. Je ne m’en lasse pas. A chaque fois que je suis Place Stanislas, je suis pleinement consciente de me trouver sur une des plus belles places du monde. Pour moi, la Place Stan, c’est aussi et surtout un souvenir d’enfance. La première fois que je vins à Nancy pour voir ma mère, elle m’y emmena. Je n’avais rien vu d’aussi beau. Et comme ma mère était très belle, j’ai associé les deux images. De retour dans la campagne de mes grands-parents, je rêvais à cet endroit magique et à la fée qui s’y promenait, cheveux blonds au vent…
Allez ! quelques chiffres avant de vous laisser découvrir les photos. Pour réaliser ce jardin éphémère, il a fallu :
- plus de 17.000 plantes de 211 variétés
- 7 tonnes de minéraux
- 6 m³ de sable
- 3 m³ de paillage naturel (glands, noyaux de cerises, faines)
- 910 m² de gazon
- 270 m de barrières végétales
- 8 m de corde
Le 6 octobre 1888 naît Roland Garros, aviateur français. Le 23 septembre 1913, il réussit la première traversée de la Méditerranée en avion en un peu moins de huit heures. Il remporta plusieurs records d’altitude.
Pendant la Première Guerre mondiale, contraint d’atterrir en territoire occupé à cause d’une panne, il est constitué prisonnier. Il s’évade trois ans plus tard et reprend sa place dans l’escadrille. Il fut tué le 5 octobre 1918 au cours d’un combat aérien.
Nafa Walid est un jeune homme désœuvré. Avec sa belle gueule de beau gosse et après une première expérience d’acteur, il se voyait déjà arrivant à Paris pour tourner avec les plus grands réalisateurs et choisir parmi les innombrables groupies celle qui aurait le privilège de passer la nuit dans ses bras. Mais à la fin des années 80, la guerre a éclaté entre l’armée algérienne et les bandes armées islamistes. Nafa ne peut plus quitter Alger qui est à feu et à sang.
Son meilleur ami, parvenu à se hisser dans la couche sociale des gens aisés, lui obtient un boulot de chauffeur pour une richissime famille algéroise. Mais le jeune homme, à la fois rêveur et ambitieux, supporte mal sa condition servile, domestique corvéable jour et nuit.
Une nuit, réveillé en sursaut par l’homme à tout faire dédié au fils de la maison, Nafa doit l’aider à faire disparaître le cadavre d’une adolescente décédée d’une overdose dans les bras du jeune maître. Nafa ne supporte pas la sauvagerie avec laquelle son compagnon massacre le visage de la jeune morte pour rendre impossible toute identification et il s’en va.
Mais la vie à la maison, tellement misérable, ne lui convient pas non plus. Il se heurte à son père. Il songe donc à prendre épouse et s’éprend d’une belle jeune fille, la sœur d’un ami qu’il rencontre quotidiennement au bistrot du quartier. Celui-ci, fanatisé, ne tolère aucun écart de conduite de la part des femmes et a interdit à sa sœur, cadre dans une grande entreprise, de s’habiller à l’européenne. Nafa n’a pas le temps de lui avouer son désir d’épouser sa sœur que celui-ci l’assassine à l’occasion d’une grande manifestation de femmes qui s’opposent au port du voile et à laquelle une collègue de la jeune femme avait réussi à l’entraîner.
Petit à petit, Nafa fréquente les islamistes et un jour, il accepte une mission, puis une autre, et finit par se retrouver intégré dans un groupe de combattants armés. Enfin reconnu pour ses qualités, le jeune homme qui rêvait de devenir une star va se transformer en un intégriste d’une extrême violence.
Un livre fort sur la métamorphose d’un garçon fanatisé.
Le 5 octobre 1641 naît Madame de Montespan, maîtresse du Roi Louis XIV.
Entrée à la Cour grâce à Anne d’Autriche, attachée au service d’Henriette d’Angleterre, belle-soeur du roi, elle épouse en 1663 Louis Henri de Pardaillan de Gondrin, marquis de Montespan. Elle devient la maîtresse du roi en 1667. Son mari, venu faire un scandale à la Cour, est emprisonné puis exilé sur ses terres.
De sa liaison avec le souverain, de 1667 à 1679, elle eut sept enfants dont six furent légitimés. Favorite en titre, elle s’entoure d’une cour brillante. Elle est délaissée par le roi et remplacée par la marquise de Maintenon, gouvernante de ses enfants.
Le 4 octobre 1582 décède Thérèse d’Avila, sainte catholique espagnole. Elle a réformé les couvents et s’est imposée comme maître de la spiritualité chrétienne, fait remarquable à l’époque pour une femme. Son nom vient de la ville où elle est née, Avila, au nord-ouest de Madrid.
Le 3 octobre 1226 décède Saint François d’Assise, religieux catholique italien né en 1182, fondateur de l’ordre franciscain et patron des louveteaux.
Pour la première fois en France, les 9 et 16 octobre prochains, des Primaires citoyennes sont organisées.
C’est un droit nouveau : toutes celles et tous ceux qui veulent le changement peuvent participer à la désignation du (de la) candidat(e) qui portera les couleurs de la gauche lors de l’élection présidentielle de mai 2012.
Tous les électeurs inscrits sur les listes électorales* peuvent voter, en contribuant avec un euro aux frais d’organisation et en signant l’engagement de reconnaissance dans les valeurs de la gauche et de la République. Présentation d’une pièce d’identité indispensable et procuration impossible.
* inscription au 31 décembre 2010
Pour connaître son bureau de vote : http://bureauxdevote.lesprimairescitoyennes.fr/
Oui, je n’hésite pas à le dire, d’autant que c’est la stricte vérité, je n’ai aucune implication politique et pas de connaissances particulières dans tel ou tel domaine.
Juste une petite Française qui aurait aimé vivre calmement, sans qu’on l’oblige à faire ou à subir des trucs complètements aberrants, c’est-à-dire un « honnête homme », au sens où l’employait Montaigne, à une période où la femme n’existait pas juridiquement parlant, hormis le cas où elle se retrouvait veuve.
Alors voilà, si quelqu’un a une idée sur la question, je vous en prie, n’hésitez pas : faites que je me couche moins bête !
Avec ce que j’ai vécu, voilà ce que j’ai compris :
J’ai été OBLIGEE d’avoir un compte en banque,
J’ai été OBLIGEE d’avoir un tas d’assurances,
J’ai été OBLIGEE de déclarer tout ce que la sueur de mon mari et la mienne nous rapportaient !
Comme tout le monde me direz-vous….
Inversement, les banques, elles, n’étaient OBLIGEES à RIEN !
Les assurances, le jour où j’ai eu un sinistre (c’est arrivé rarement) : GALERE ! On n’avait pas vu que… Il fallait attendre ceci ou cela… Essayer de les faire attendre pour le paiement des primes…. Grrrrrrr !!! J’ai donc changé d’assureur et j’ai appris à lire les toutes petites lignes, oui Messieurs Dames : j’ai fait l’achat d’une loupe !
Comme tout le monde nous avons déclaré tout ce que nous faisions avec l’argent, quand on arrivait à en garder, après avoir payé les impôts (j’aime bien l’accent sur le ô : ça fait plus gai !) Et même, nous avons continué à payer les taxes sur ce que nous achetions avec l’argent restant.
Et bien ça ne suffit pas ! Nous devions rendre des comptes si, par miracle, nous avions après acrobaties et privations, réussi à mettre quelques sous de côté !
La liste pourrait être longue… Par contre, malheur à nous si nous avions l’insolence de demander des explications !
Mais… peut-être que je me trompe. Dites le moi. N’empêche : avouez que cela n’encourage pas à travailler !
Ben oui, après tout cela, que reste-t-il ???
(Jeannette Insurgé)
Le 2 octobre 1869 naît Mohandas Karamchand Gandhi, mondialement connu comme le Mahatma Gandhi, grand dirigeant politique et spirituel de l’Inde. Initiateur du mouvement d’indépendance indien, il base la résistance sur la désobéissance populaire de masse dans la non-violence. Sa méthode fait de nombreux émules dans le monde, même s’il paie son audace par de nombreuses années de prison. Le 30 janvier 1948, il est abattu à New Delhi par un hindou radical.
Le 1er octobre 1541 naît El Gréco, peintre et sculpteur espagnol d’origine grecque. Initié à la peinture des icônes en Crète, dans la tradition byzantine, le peintre déjà célèbre émigre à Tolède mais doit patienter une année avant d’obtenir sa première commande et le roi lui-même acheta très peu. Néanmoins, la plupart de ses tableaux sont aujourd’hui exposés au Prado à Madrid.
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