Une nouvelle enquête du commissaire Llob, policier à Alger, la ville blanche qui se teinte en rouge au gré des crimes perpétrés par les intégristes durant toutes ces années de guerre civile.
Cette fois, le commissaire à la San Antonio cherche à élucider l’assassinat de Ben Ouda, un intellectuel brillant qu’il a connu des années plus tôt.
Pour le seconder, outre son lieutenant Lino, une nouvelle recrue lui est allouée : Ewegh Seddig, un colosse à quoi rien ne résiste et qui décoche des uppercuts meurtriers à ses adversaires qui n’ont même pas le temps de dégainer leur flingue. Le canon du revolver encore dans la ceinture de leur pantalon, ils gisent à terre, baignant dans leur propre sang, les mâchoires fracassées, les dents réduites à l’état de souvenir et le nez explosé.
On retrouve la même verve, le même vocabulaire imagé pour évoquer la terreur qui régnait à Alger aux mains des Islamistes.
Un roman que je n’ai aps encore lu, mais qui sera l’un de mes prochains.
Bonne journée
Tân
Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé
Pourquoi pas ? Mais ce n’est pas du meilleur Khadra…
bonsoir Isabelle
il est toujours agréable de découvrir de nouveau romans que tu nous présente et que tu as lu
il est important de savoir si la qualité d’ un roman pour soit ou pour offrir!
Tu dévore aussi bien du Yasmina Khadra que du classique….
belle soirée
bisous
Oui, en effet, je « mange » actuellement du Khadra et c’est un auteur que je recommande vivement. Mais hormis la curiosité de lire tout de cet auteur, ce qui est mon cas, je préconise de commencer par des romans comme « L’attentat », « Les hirondelles de Kaboul » ou « Ce que le jour doit à la nuit ». Ce sont des oeuvres très fortes qui s’inscrivent dans l’Histoire et ne laissent pas le lecteur indifférent.