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Archive journalière du 18 oct 2011

Gilad Shalit libéré

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Après cinq années de détention dans la bande de Gaza, le sergent franco-israélien Gilad Shalit a été libéré en échange d’un millier de prisonniers palestiniens.

Marche blanche à Béziers

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Une marche a été organisée aujourd’hui à Béziers en hommage à Lise Bonnafous, enseignante décédée à 44 ans après s’être immolée par le feu dans la cour du lycée où elle exerçait son métier depuis une dizaine d’années.
Le nombre des suicides d’enseignants ne cesse d’augmenter et de nombreux jeunes, attirés par la profession, y renoncent par peur de ne pas pouvoir travailler dans de bonnes conditions. Le quotidien de certains professeurs se résume à des insultes, des chahuts, des bousculades, des vols, du vandalisme et souvent même des agressions physiques. Des élèves, mécontents de la note que leur a attribuée leur professeur l’interpellent violemment et lui demandent des comptes, quand ce n’est pas la mère ou le grand frère qui débarque dans le bahut pour apprendre au prof à mieux noter le rejeton ou le frangin. Instituteurs et professeurs partent chaque matin travailler la peur au ventre.
Ces hommes et ces femmes, souvent critiqués pour leur promptitude à faire grève et souvent enviés pour leurs congés, ont bien du mérite à entrer dans les salles de classe dont certaines ressemblent de plus en plus à une arêne où ils sont jetés en pâture à des jeunes qui ne respectent rien.
Contrairement à des métiers comme pompier, policier, routier, etc., celui d’enseignant n’est a priori pas catalogué à risque. Pourtant, il le devient de plus en plus. Il est intolérable que ces fonctionnaires entrent dans les établissements scolaires en se demandant s’ils ne vont pas prendre un coup de poing, un coup de couteau ou une balle dans la tête.

Saint-Maxilivres (article paru dans l’Est Républicain)

Saint-Max Des auteurs en salon

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L’écrivain face à son lecteur.

Ils étaient une trentaine d’auteurs à avoir répondu présent pour le premier salon littéraire organisé par la ville de Saint-Max.Un mini-événement dans la commune, résolument tournée vers le culturel avec la réhabilitation future du Château du Pont de la Meurthe, pôle d’animations culturelles.

Dès 10 h du matin,ce dimanche, les écrivains, essentiellement lorrains prenaient leurs quartiers pour la journée dans cette grande salle du foyer Léonard,en espérant passer de bons moments de « communion avec le public ». Marie-Thérèse Wininger, l’auteure locale avait fait « marcher » son carnet d’adresses et ses relations. Chacun avait son box individuel et ceux qui sont venus, ont pris le temps de discuter et d’apprécier la diversité des ouvrages proposés : de l’histoire de l’Opéra de Nancy par Paul Leboeuf au roman de Gérard Coppens, président de l’Adill,au recueil de poésies de Bernard Appel ou bien encore les contes pour enfants de Fred Fort,venu tout exprès de Bayonne. Danièle Verdenal a présenté « Mémoire enfouie » en deux tomes : un gros travail d’archives pour relater l’histoire de Saint-Max qui a impressionné les visiteurs et qui a d’ores et-déjà été acheté par le maire Eric Pensalfini. « Une mine d’or » pour les Maxois. Impossible de citer tous les écrivains présents mais une seconde édition est déjà en réflexion pour l’année prochaine.

La rentrée littéraire

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Emotion indignée

En écho à mon article sur le handicap et les personnes concernées par le handicap, Jeannette m’envoie un texte qu’elle avait écrit en septembre 2008 :

«   Je les regarde et une immense vague me submerge…
Leur puissance, leur simplicité, une force terrible qui sort d’eux. Derrière leurs sourires, leurs yeux vibrants sont emplis d’une lumière indescriptible. Avoir réussi à dépasser leurs souffrances. Leur rage devant ce qui s’est abattu sur eux. Avoir transformé une injustice en victoire!
Oui, je ressens une émotion intense en les regardant. La lutte qu’il leur a fallu mener pour contrer leur tristesse à certains moments, tisser les liens qui leur ont donné le courage de se battre. Leurs visages apaisés après l’effort, oublieux de la souffrance de l’effort, me remplissent d’un bonheur étrange. Qu’il est bon de voir des humains se surpasser, donnant ainsi une image de démenti à ceux qui ne croient pas à la force du mental.
En même temps, je rage ! Je pense au battage fait pour ceux qui sont passés avant eux, que d’ailleurs je n’ai pas trop eu envie de regarder (trop de scandales de toutes sortes). Et là ce soir, face aux infos… Un bref passage pour vite passer à autre chose et s
étaler sur un sujet qui me laisse de marbre. Mais nos journalistes aiment l’argent. Heureusement qu’avant, j’avais regardé des infos régionales, un peu plus justes, un peu plus humaines. Les médailles n’auraient elles pas la même importance ? Les Paralympiques, pour moi, sont autant une performance que les J.O. des valides. Vaincre et pousser a fond les possibilités du corps, n’est-ce pas là LE vrai sport ?

(Jeannette Insurgé) »

Il y a 326 ans…

dragonnade.jpg Le 18 octobre 1685, le Roi de France Louis XIV révoque l’Edit de Nantes, signé par son grand-père Henri IV en 1598. Le roi veut être en France et en Europe le champion du catholicisme. Les protestants deviennent les victimes des « dragonnades », expéditions punitives des dragons, les missionnaires de l’armée qui pillent, violent et tuent sans retenue. La révocation de l’édit de Nantes est considérée comme la plus grave erreur du Roi Soleil ; elle annonce une fin de règne difficile.




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