Une des différences entre les mecs et les nanas…

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6 Réponses à “Une des différences entre les mecs et les nanas…”


  • C’est surtout sur la route que la différence est flagrante:

    On peut voir ces messieurs, ttès dignes, se  » soulager » sans problème (et même en sifflotant) n’importe où au bord du chemin alors que nous cherchons désespérément un coin discret…

    Eh oui…s’accroupir au bord de la route ne serait pas « politiquement correct »…est-ce parce que la posture manque d’élégance ou parce que le poids des « traditions » se fait sentir?

    Un peu des deux, sans doute et…Tant pis pour nous!

  • C’est sûr que la posture que nous devons adopter pour nous « soulager » comme tu dis, manque d’élégance. Encore que je ne trouve pas ses messieurs super élégants quand je les vois la bite à la main au bord de la route ! Nous pourrions toujours revenir aux us et coutumes du Moyen-Age qui permettaient aux femmes, dépourvues de culottes, de « pisser » debout également…
    Pour en revenir aux hommes qui ont tendance à arroser arbres et murs sans vergogne, je pense que la faute incombe aux mères qui n’hésitent pas à dégraffer le pantalon de leurs petits garçons alors qu’elles intiment à leurs petites filles l’ordre de se retenir. Mais les petits garçons sont aussi capables de se retenir ! Je n’ai jamais sorti le « petit moineau » de mon fils en plein air et il faudrait vraiment une situation d’extrême urgence pour qu’il le sorte aujourd’hui ailleurs que dans des toilettes. Il a même horreur des pissotières qu’il n’utilise jamais sans pour autant se sentir moins homme !

  • Je confirme je ne trouve pas ça ragoutant, en plus du fait qu’il n’y ait pas de papier à proximité.

  • Ah ! exactement, mon Stef ! Et ceux qui pissent au bord de la route et qui coupent ensuite le pain du pique-nique ! beurk !!!

  • Petite anecdote:

    J’avais 14 ans. Je me trouvais accoudée à ma fenêtre au troisième d’une maison qui donnait sur une petite place.Il était midi, le lieu était désert le soleil tapait.

    Je vis soudain surgir une vieille voisine. Il s’agissait d’une femme peu soignée ( ce n’était pas peu dire) comme on en trouvait dans les années cinquante-soixante.

    La femme commença à avancer, s’arrêta et se mit à pisser… debout !!! puis reprit sa route, sans autre forme de procès…

    Il est vrai que le fait m’a marquée et que, la croisant parfois, je ne la voyais plus du même oeil…

  • jeannette insurgé

    et puis vous savez…. il suffirait juste de prendre un verre de lampe( vous savez les lampes anciennes ) et youpieeee!! plus aucun obstacle!!

    hum… bon je sors….

    jeannette

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