Le bonheur et la maternité

Il y a peu, une jeune grand-mère me parlait du bonheur d’accueillir ses petits-enfants pendant les vacances scolaires. Sceptique, j’avais répondu qu’il était heureux que je ne sois pas grand-mère car je n’aurais pas de temps à leur consacrer. Elle me rétorqua que je le serai un jour et que je découvrirai alors le bonheur à l’état pur…
Je dois bien avouer que je réagis de façon un peu épidermique à ce genre de propos car j’ai alors l’impression que le bonheur de la femme est réduit à sa fonction reproductrice. Pourtant, je connais des femmes qui n’ont pas d’enfant et qui me semblent malgré tout très épanouies et heureuses.
Pas du tout (encore ?) effrayée par le spectre de la vieillesse, ce scepticisme face à la félicité supposée liée à l’état de grand-mère n’est pas du tout en rapport avec un hypothétique refus de vieillir. Mais quand je dis que non, décidément, je ne suis pas impatiente d’avoir des petits-enfants, la plupart des femmes me regardent avec condescendance et se lancent dans d’ennuyeuses diatribes sur le plaisir que leur procurent leurs chères têtes blondes.
Quoique maman du meilleur fils au monde, je n’ai jamais été attirée par les bébés, larves innocentes irrémédiablement dépendantes du bon vouloir de leur génitrice. Un peu plus grands, ils bavent et souillent leurs vêtements, encore plus grands ils braillent à nous péter les tympans et encore plus grands ils nous enquiquinent avec leur crise d’adolescence !
Bref, les enfants sont une plaie universelle… sauf bien sûr le mien !!!
Alors évidemment cela m’agace un peu quand on essaie de me convaincre que je serai très heureuse de m’occuper de mes petits-enfants, comme si je n’étais pas heureuse aujourd’hui et comme s’il n’y avait rien d’autre dans la vie pour me procurer du bonheur ! Sans vouloir prétendre savoir quelle sera ma réaction à la naissance de mon premier petit-enfant, je revendique ma différence en affirmant qu’il ne me tarde pas d’être grand-mère et que, peut-être, je ne serai pas pressée de m’occuper de ma petite-fille ou de mon petit-fils, sans pour autant passer pour une femme dégénérée ! C’est comme si, aimant beaucoup les chiens et les chats qui me le rendent bien, je voulais à tout prix convaincre ceux qui ne les aiment pas que leur bonheur passe absolument par eux !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Vous pouvez voter ci-contre. 

53 Réponses à “Le bonheur et la maternité”


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  • jeannette insurgé

    je fais partie des femmes qui ne croient pas que le bonheur des femmes est lié à la maternité….
    pour certaine effectivement c’est nécessaire pour d’autre non!

    sinon pourquoi y aurait-il autant d’infanticide??? hein????

    et les abandons d’enfants??? hein???

    j’aime mes enfants, mais je vois tant d’exès autour de moi, sans parler de ces femmes qui font des enfants « pour elle » et qui après n’admettent pas que « leurs petits » vivent leurs vie
    le bonheur pour moi c’est la faculté de vivre pleinement le moment présent!
    pouvoir être autonome, et accepter le combat de la vie, sans attendre tout des autres
    jeannette

  • Bonjour Isabelle,
    il manque un mot à ta question  » sondage »
    je suppose que tu voulais dire  » étroitement lié à … »
    bon j’ai répondu tout de même
    amicalement
    katy

  • Oui, effectivement Katy ! Je viens de compléter. ;-)

  • Cette question est trés délicate.

    En effet, une femme ne connaissant pas la maternité et n’en ayant pas le désir peut être parfaitement heureuse et vivre une vie épanouie et accomplie sans la connaître puisqu’elle en ignore tout.

    La maternité est une aventure qui apporte, comme telle, des joies et des peines.

    Elle est vécue différemment selon le caractère, le tempérament de celle qui la vit et de son ou ses enfants et, comme toute aventure, peut tout apporter.

    Ce qui me semble dramatique, c’est ce que vivent les femmes dont la maternité n’est pas désirée…drame vécu beaucoup trop fréquemment encore à une époque et dans un pays où la contraception est considérée comme une évolution majeure de la société.

  • Je n’ai pas d’enfant biologique, je suis très heureuse. Mais si un jour Stéfan nous fait un petit ou une petite, je serai très heureuse et prete à chouchouter ce petit être qui viendra de mon fils de coeur !

  • Bonsoir Isabelle,
    je ne pense pas que le bonheur d’ une femme soit lié de prés ou de loin à la maternité
    bien des femmes s’ épanouissent dans leurs vies par le biais de leurs amies , de leurs proches de leurs activités!
    c’ est un moteur pour certaines d’ entres nous
    mais des exemples frappants sous mes yeux me font dire que le fait d’ être une maman n’ est pas vraiment le paradis
    être parents et surtout maman est un métier , le plus difficile au monde!
    heureuse de l’ être en tout cas en voyant le mérite de mon fils, de la à penser à un jour être grand mère non!
    tant que l’ on ne sens pas dans ce rôle pourquoi s’ y projeter!
    vivons l’ instant,
    comment peut on dire à l’ avance si oui ou non nous serions de bonnes grands mères, rester autonome et ne pas agacer nos enfants est déjà un bonheur à part entière!
    laissons nous le temps de vivre en tant que femme tout simplement et se réaliser en tant que couple!
    là est déjà le bonheur pour nos enfants
    un sujet sur lequel nous pourrions faire beaucoup de commentaires!
    je reviendrais …………………

  • moi aussi, j’adore mes deux fistons !! et ne suis ABSOLUMEMNT pas pressée d’être grand mère, et de pouponner de nouveau !!
    Et je crois que nous sommes un certain nombre de quinqua et plus dans ce cas!!!
    bonne soirée
    Tan

    Dernière publication sur chroniques variées : la nouvelle arche de Noé

  • Je ne suis pas encore prêt à avoir des enfants … Je me rappelle comment a été mon père et comme j’ai été plus jeune, c’était pas tout à fait une sinécure …
    Si toutefois un jour je rencontrais LA personne, j’envisagerais peut-être de faire un enfant. En tout cas je sais sur qui compter et qu’il sera entre de bonnes mains avec M’man et Mine.

  • Merci mon grand, pour ce commentaire qui me touche beaucoup. Elever un enfant n’est jamais une sinécure, mais quand il est grand, on se souvient surtout des bons moments, comme les cadeaux de Fête des Mères que nous évoquions hier ! Et puis sache qu’on n’est pas obligé de faire les mêmes erreurs que ses parents, mais on en fait d’autres, tout simplement parce qu’on n’est pas des machines et que l’erreur fait partie de l’humain ! Si un jour tu deviens papa, tu devras te souvenir de faire au mieux sans toutefois perdre de vue que tu as le droit de faire des erreurs. Et si ton fils ou ta fille t’aime comme tu m’aimes, alors il ou elle te les pardonnera.

  • Marie France Genèvre

    avoir des enfants ça fait grandir et on n’a jamsis fini de le faire.

    Les erreurs aussi aident à grandir, que ce soit soi ou ses enfants

    se tromper c’est être humain…

  • Ce n’est pas le fait d’être mère ou grand-mère qui fait la qualité de l’amour ; c’est le lien profond que l’on instaure avec certaines personnes qui est générateur de l’affection que l’on donne ou reçoit.

    D’ailleurs, n’est-il pas vrai que dans une même fratrie, certains sont plus appréciés que d’autres pa?

    Je ne crois pas au lien du sang.

  • Oui, Marie-France, et à en juger par les réactions et les propos de ton gamin samedi, vous grandissez bien ensemble tous les trois !

  • Nicole, votre propos : “je ne crois pas aux liens du sang” me ravit ! Car je pense que c’est au nom de ces liens du sang que certains culpabilisent vis-à-vis d’un désamour inexplicable et pointé du doigts par les proches et moins proches. C’est vrai qu’on n’est pas obligé de s’aimer entre frères et soeurs ni même entre parents et enfants. L’amour est une alchimie qui nécessite des ingrédients communs.
    Je suis également ravie de vous entendre dire que dans une même fratrie, certains sont plus appréciés que d’autres. Car c’est souvent un sujet tabou et nombreux sont les parents qui affirment ne faire aucune différence entre leurs enfants. Personnellement, je pense que cela est impossible car chacun a sa personnalité et les personnalités s’accordent plus ou moins bien. Alors qu’on le veuille ou non, quand on a plusieurs enfants, il y en a forcément un que l’on aime plus que les autres. Et il n’y a pas lieu de culpabiliser.
    Cela dit, je n’ai qu’un enfant ! Ouf !

  • Marie-France Genèvre

    oui, merci Zaz, c un travail d’équipe…!!!

    t’as vu, les commentaires se sont décalés…bizarre bizarre Bref.

    Pour ce qui est des liens du sang, c vrai que ça n’a rien à voir avec l’amour

    les affinités ne se discutent pas, en effet et ça n’est pas parce qu’on est d’une même famille que l’on s’entend bien comme par magie

    enfin, une mère a un contact et un lien plus viscéral avec son ou ses enfants, c’est indiscutable, plus qu’un père

  • Oui, Marie-France, c’est moi qui avais mis mes deux derniers commentaires dans le mauvais article ! ;-) Je viens de les remettre dans cet article et le tien également. Voilà voilà, erreur réparée.

    Concernant le lien viscéral, je suis en principe d’accord avec toi. Mais il y a toujours l’exception qui confirme la règle avec des mères qui ne se sentent pas du tout viscéralement liée à leurs enfants et des papas poules qui sont plus proches de leurs enfnts que leurs épouse.

  • Marie France Genèvre

    Oups…

    mais là, il y a un truc qui ne va pas ça veut dire
    car ça se ressent, ton enfant reste « ancré » en toi
    Comme une réminiscence de sa présence dans ton ventre, le corps s’en souvient
    ou alors, il y en a qui censurent

    ce que ressentent les papas-poules ?
    Un amour protecteur

    bonne journée

  • euh… Marie-France… je ne comprends pas ton commentaire… On n’a pas dû fumer la même moquette ce matin !!! ;-)

  • Marie France Genèvre

    Quand tu as porté un enfant, tu en gardes un souvenir « corporel »

    qui pour moi induit normalement un attachement

    Ca n’a rien à voir avec le fait de partager le même sang, c vrai

    c quoi que t’as pas compris ?

  • Ce que je n’ai pas compris dans ton précédent commentaire, c’est :

    « ou alors, il y en a qui censurent ce que ressentent les papas-poules ?
    Un amour protecteur »

  • Marie France Genèvre

    c pas la même phrase

    Il y a des mères qui censurent ce côté « ressenti »

    question: que ressent un papa-poule ?

    un désir de protection ?
    pour moi, ce serait de cet ordre-là

    non,non pas de moquette, peut-être un petit restant du rosé!!!!

    Mais revenons à nos moutons

    le bonheur de la femme est-il étroitement lié à la maternité ?
    oui, par le mot étroitement…qui souligne le côté symbiotique
    Non, car il n’y a pas qu’un seul bonheur (tu aurais pu le mettre avec un grand B sinon…)

    après, on en est venu aux liens du sang et aux papas…

  • ok, c’est clair !
    C’est vrai que la question était complexe dans sa formulation et tu sais comme moi qu’on peut faire dire à un sondage ce que l’on veut selon la tournure de la question.
    Ce qui m’intéresse de savoir est si, pour ceux qui votent, le bonheur est indissociable de la maternité, autrement dit, de façon plus trivial : hors maternité point de bonheur.
    Car je suis bien d’accord avec toi que la vie est faite d’une multitude de petits et grands bonheurs d’origines diverses, mais pour ceux qui considèreraient que le Bonheur avec un b majuscule passe pour la femme obligatoirement par la maternité, alors on pourrait en conclure que les femmes qui n’ont pas d’enfant ne sauraient pas reconnaître les autres formes de bonheur et seraient donc condamnées à n’en jamais ressentir.

  • Marie France Genèvre

    Exactly

    Disons que c’est une part importante de la réalisation de soi, disons épanouissement, car justement c profond et viscéral, un quasi-instinct (celui de la reproduction) pour le mammifère que nous sommes, et il peut y avoir un manque chez certaines, on en connait toutes, qui n’ont pas pu en avoir (je peux comprendre)

    mais indissociable non…d’autres font le choix de ne pas en avoir même, elles se réalisent autrement et préfèrent même ne pas avoir ce « lien » …

    enfin, pour celles qui n’ont pas le choix, les rebondissements sont multiples, heureusement

    donc, personnellement, j’ai répondu non

  • C quoi c C?

    C pas diffiCile d’éCrire CorreCtement le franCais!

    C pénible à lire C phrases déCousues.

    Sutout que sur un blog, l’enCre est gratuite! Alors, flemme ou laisser aller?

    Pourtant, C pas trés fatiguant d’éCrire toutes les lettres d’une phrase, ou alors, Ca veut dire qu’on n’aime pas éCrire et il vaut mieux ne pas le faire.

  • Jonathan, je comprends un peu votre énervement. Je suppose que, comme moi, vous aimez écrire, et que peut-être, comme moi, vous êtes un quinqua un brin réactionnaire… Parce que comme vous, j’utilise très peu les abbréviations et j’ai horreur du langage sms.
    Cependant, mon blog n’est pas un blog littéraire mais un espace d’échanges sur des thèmes très variés entre internautes d’horizons très différents. Si vous avez un peu parcouru mon blog, vous avez dû aussi découvrir des commentaires comportant des fautes ; comme vous sans doute, je ne les apprécie pas, mais je supporte encore moins la censure. Mes visiteurs sont donc libres de s’exprimer de la manière qu’ils le souhaitent, même si je leur sais gré quand ils le font dans un français correct. J’espère que vous ferez preuve de tolérance et que deviendrez un fidèle de ce blog ; tous vos commentaires seront bien sûr les bienvenus.

  • J’apprécie beaucoup ce blog que je visite avec plaisir.

    Les fautes d’orthographe sont involontaires. Les personnes auxquelles il arrive d’en faire s’expriment de leur mieux et leur sincérité fait que leurs erreurs passent au second plan.

    L’écriture s m s détruit la langue française et il est regrettable que cette « mode » soit répandue par des gens qui savent écrire correctement(ce qui me semble être le cas).

    Votre sens de la démocratie vous honore et je salue votre ouverture d’esprit.

    Il n’en demeure pas moins que je persiste à affirmer que notre langue, tellement menacée mérite infiniment mieux que ces négligences.

  • Je suis tout à fait d’accord avec vous et je ne doute pas que la plupart de mes fidèles visiteurs le soient aussi. Alors j’ose espérer que vous deviendrez un de ces fidèles intervenants et que vous nous réjouirez avec vos commentaires, non seulement pertinents, mais bien écrits. Car lorsque le fond et la forme s’unissent, on approche du divin et cela contribue sans nul doute à mon désir de poursuivre l’aventure de ce blog qui m’accompagne depuis bientôt quatre ans pour le meilleur et pour… le meilleur !

  • Marie France Genèvre

    pour moi, il ne faut pas confondre ecriture rapide et massacre de la langue française.

    Ce n’est pas incompatible

    lorsque l’on connaît la langue, ma foi, prendre quelques libertés avec elle pour s’exprimer plus vite n’est pas un crime

    le plus grave, c’est prendre des libertés alors qu’on ne la maîtrise pas, ceux qui écrivent SMS et croient que c’est comme ça…

    Là, c’est l’apprentissage de la langue à l’école qu’il faut revoir…

  • Bien que pratiquant très peu les abbrévations et jamais le langage sms, je suis bien d’accord avec toi, Marie-France, qu’il n’est pas grave de s’en servir en toute conscience et surtout avec des gens qui ont également cette conscience. Le problème est que nos enfants, à les voir écrits partout finissent par les intégrer comme étant corrects. Je me souviens d’une cliente qui me racontait l’étonnement de sa fille devant sa façon d’orthographier le mot cadeau. Pour elle, l’écriture normale était « kdo » !!!
    Mais je peux comprendre la réaction épidermique de Jonathan qui doit être un amoureux de notre langue et il n’a pas tort quand il dit que cela ne prend guère plus de temps d’écrire toutes les lettres de tous les mots, surtout quand on a une grande maîtrise du clavier ! ;-)

  • Marie France Genèvre

    voilà, exactement Zaz

    Mais aussi, quand une langue est vivante, elle peut évoluer, et s’enrichir, pas que s’appauvrir
    Suivre le mouvement n’est pas forcément se galvauder

    la base doit être solide, je suis d’accord et c’est ce qui manque aujourd’hui

    Je la trouve marrante moi l’écriture moderne et en phonétique, elle n’est guère académique, c’est vrai

    Doit-on se sentir menacés ?
    oui, quand ça s’accompagne de lacunes

  • Qu’une langue vivante évolue est indéniable ; que cela soit en mieux… en l’occurrence j’ai de sérieux doutes ! Bien sûr le vocabulaire s’est enrichi grâce à l’évolution de la technicité mais elle a régressé dans d’autres domaines. Quand je vois comment les gens des XVIII et XIXe siècles s’exprimaient, cela fait rêver… J’ai eu récemment entre les mains un formulaire administratif dont trois termes que je qualifierais de courants, étaient cependant « traduits » entre parenthèses. Il y avait par exemple cette formulation : « immeuble sis (situé) 140 rue Machin ». Eh bien je trouve aberrant que manifestement l’on ne sache plus, en 2011, ce que signifie le mos sis. Ces documents administratifs, nos parents détenteurs du baccalauréat les comprenaient fort bien alors que nos enfants bacheliers ont besoin qu’on les leur traduise. Il y a donc, pour moi, un enrichissement d’un côté et un appauvrissement de l’autre, et je ne suis pas certaine que la balance penche du côté du premier.
    Autre problème que peut poser l’écriture abrégée et encore plus le langage sms : le commun des mortels ne les comprend pas d’emblée et abandonne très vite la lecture d’un texte dont l’écriture abrégée ou phonétique est loin d’être jolie. Rigolote à la limite, mais jolie… Il m’arrive de recevoir des sms sur mon téléphone portable ; s’ils sont écrits en langage sms, j’avoue zapper très vite en me disant que si c’est important, l’expéditeur prendra bien la peine de m’écrire de manière plus explicite. Pour moi, en fait, c’est presque une question de respect : se donner la peine de bien écrire au lieu de bâcler un message comme si cela n’avait pas d’importance.
    Mais tu es secrétaire et sans doute victime d’une déformation professionnelle ! ;-)

  • Notre langue est un précieux héritage et mérite qu’on la respecte.

    La maitriser est bien et avoir ce privilège implique qu’on s’y emploie.

    Ceux qui utilisent ce type d’écriture pour masquer leur ignorance ont plus d’excuses que ceux qui pourraient écrire correctement et le ne font pas.

    Pourquoi, d’ailleurs, « l’écriture rapide »? Y a-t-il le feu? Une idée, une impression vaut-elle, sur un blog que l’on massacre les mots pour aller plus vite? Combien de millions y a-t-il a gagner à cela?

    Prendre le temps de dire et « bien dire » devrait être un plaisir pour qui aime s’exprimer!

     » Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement »!

  • C’est drôle comme le débat a soudain dévié, de la maternité à la défense de la langue française !!!

  • Marie France Genèvre

    C’est à cause de mes C…

    Je vais faire attention, promis

    C’est vrai que la balance ne va pas dans le bon sens.

    En tant que secrétaire, ça va, je fais très attention…et suis souvent horrifiée par ce que je vois passer
    le manque de temps me fait rarement bâcler

    J’ai revu une vieille émission de télévision dernièrement, eh bien le langage y était bien différent et beaucoup plus châtié que maintenant. Ca nous paraît même désuet…

    Encore plus loin Zaz, il s’agissait des petits-enfants dans le texte de départ

    on a digressé…

    Le langage SMS est-il une communication ?
    ben oui quand même

  • Eh bien j’avoue être nostalgique de ce temps-là où merde et chier ne faisaient pas partie du langage audiovisuel ; et tant pis si je passe pour une vieille réactionnaire ! J’assume !
    Eh eh ! peut-être une idée de sondage ? Je mets sous le coude. Merci :lol: (et que penser de ces petits « smileys » que j’aime tant au point d’en user voir abuser… ?)

  • Marie France Genèvre

    Oui Jonathan, notre langue est belle, riche et à protéger.

    Certains ne partagent pas cet avis et n’y attachent guère d’importance.
    Parce qu’elle est difficile aussi en ces temps actuels où l’on se range à la facilité, la rigueur manque.

    Mais aller dans leur sens peut cautionner cet état de fait, effectivement. je le reconnais

  • « Faute avouée est à moitié pardonnée ». Pour ce qui te concerne, je dirais même : « Faute avouée est complètement pardonnée » ! C’est si rare de nos jours de rencontrer des gens qui admettent d’avoir peut-être pas raison ! Allez, encore une preuve que je suis une vieille réactionnaire !

  • Ah, les smiley,

    Surtout « mort de rire » qui joue si bien son rôle!

    Ca, c’est un progrès dans la communication!

    Une façon de « corser » le message, de lui apporter de la fantaisie!

    Il faudrait que chaque clavier d’ordinateur comporte tous les smileys de manière à ce que l’on puisse les utiliser aussi simplement que les lettres.

  • Hey ! Jo ! quand on connaît le nombre de smileys existants, ton clavier serait immense ! Mais rien que trois ou quatre, ce serait bien, effectivement, surtout pour ceux qui n’ont jamais compris l’association de touches permettant de créer ces smileys ! hi hi hi ;-)

  • Marie France Genèvre

    Merci Zaz…Ouf, non, en fait, pour les smileys, c’est une forme de ponctuation plutôt

    Oui Jo tout à fait d’accord
    plus expressive…

    je ne sais pas non plus comment les faire…Oups

    en bref, faut-il montrer l’exemple pour éviter ces dérives du langage
    Ben oui, mais pas forcément sur les blogs, plutôt à l’école déjà…

    En tout cas, y’a du boulot…

    Et le rôle d’une grand-mère peut aussi être de transmettre ses savoirs linguistiques ?

    la boucle est bouclée…HIHI (smiley qui rigole)

  • Grrrrr !!!!!

    Eh oui! Je n’ai jamais bien assimilé les combinaisons!…

    (il faut bien dire que je n’ai pas persévéré…)

    Pourtant, je les trouve craquants, ces petits personnages et l’idée de les avoir créé est géniale!

  • Je vous sais gré, Marie-France, d’avoir compris le sens de mon intervention et vous prie d’en excuser le ton,sans doute trop péremptoire.

    Il est vrai que le français est une langue difficile.

    Mais sa richesse et sa subtilité vaut bien que l’on assure sa défense.

  • Marie France Genèvre

    Pas de souci Jonathan, je partage le même avis
    C’est vrai que notre belle langue mérite toute notre considération et qu’elle est bien malmenée

    Oui Jo, il va falloir qu’on s’entraine…

    (Smiley qui fait un clin d’oeil…

  • Marie France Genèvre

    je le rajoute, maintenant je sais, c’est ;)

    Point-virgule , parenthèse de fermeture Jo

  • ;) Ben…voilà ce que ça donne avec moi…;)

  • …C’est grave, docteur?

    Ou c’est mon ordinateur qui est malade…;)

  • Non, ce n’est pas ton ordinateur qui est malade ;)
    Essaie de nouveau en mettant un espace après le mot malade et encore un espace après la parenthèse. Tu verras que ça marchera !

  • Marie France Genèvre

    allez Jo, reessaye c’est travaux pratiques cet aprèm (pardon Jonathan) après-midi avec notre instructrice préférée

    les smileys ont besoin d’espace…hihi

    on va être les vraies pro (fessionnelles)

    A+ (tard)

  • Bon j’essaie: ;) Désespérant!…

    (en plus, j’ai avec moi deux garnements de 10 et 7 ans qui rigolent!…)

    Allez, je les emmène au cinéma!

  • Ben dis donc!… Ca a marché! );

  • Euh..là, je n’y comprends plus rien…

    Bon: je réésaye avanr de partir: ;)

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