Le 31 mai 1809 décède à l’âge de 77 ans Franz Joseph Haydn, un des compositeurs les plus admirés de son époque. Auteur de nombreux quatuors à cordes qui assurèrent sa renommée et de très nombreuses symphonies, concertos et sonates, il devient maître de chapelle avant d’entrer dans une des plus prestigieuses maisons de l’époque : celle des princes Esterhazy en Hongrie où il demeurera pendant plus de trente ans. Sa popularité ne cesse de croître et il est surnommé « Le père de la symphonie ».
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Archive mensuelle de mai 2011
Après une nuit passée dans le très bel hôtel La Tour Rose situé dans le vieux Lyon, nous sommes arrivées samedi dans l’après-midi à Apt dans le Vaucluse. La maison est super, spacieuse avec deux terrasses ensoleillées à diverses heures de la journée et une piscine assez longue pour que je puisse y faire une dizaine de brasses. L’eau est à 26°C ; cela saisit un peu en entrant, mais une fois dedans, elle est tellement bonne qu’on n’a plus envie de ressortir. Il faut la perspective de l’apéro pour se décider !
Hier visite de Gordes, joli petit village haut perché et aujourd’hui visite de Rousillon et le site des ocres, très étonnant et dépaysant. Des photos suivront au retour !
Le 30 mai 1431, Jeanne d’Arc est brûlée vive sur la place du Vieux-Marché à Rouen. Accusée d’hérésie, elle avait été livrée aux Anglais qui l’emprisonnèrent dans leurs geôles avant de comparaître devant l’Eglise. Après un procès très controversé, elle est condamnée au bûcher. Elle rend l’âme après avoir crié à trois reprises le nom de Jésus. Ses cendres sont ensuite dispersées dans la Seine.
Le 29 mai 1814 décède Joséphine de Beauharnais, née en 1763 en Martinique. Devenue veuve, elle épouse à Paris Napoléon Bonaparte qui la répudiera après avoir constaté qu’elle ne pouvait plus enfanter. Soucieux de fonder une dynastie, il la quitte pour épouser Marie-Louise, archiduchesse d’Autriche. Cependant, il conservera à Joséphine le titre d’impératrice.
Alors que vêtue d’une simple robe d’été, elle fait visiter son jardin au tsar Alexandre 1er, elle prend froid et contracte la pneumonie qui l’emporte à l’âge de 51 ans.
Aujourd’hui, je pense à cette journée qui maintenant me fait m’enfermer chez moi pour faire un ménage à fond. Voyez c’est symbolique… envie de propreté, de luminosité…
Je repense à toutes ces fêtes des mères que je préparais bien à l’avance, petite pièce si difficile à trouver et que je cachais pour ce jour-là !
Ok, je pense qu’aucune mère n’a eu autant de services à sel poivre épice que la mienne ! Ils ont tous fini à la poubelle…
Je constate maintenant le vide. Je ne risque pas d’être contrariée par ce que me donnent mes enfants… Ils sont ailleurs et que peut-on contre le silence ?
Et là j’ai une solidarité soudaine pour notre mère nourricière la terre. Elle aussi, elle nous a recueillis, nous a nourris, nous a fourni tout ce dont nous avons besoin, à nous, ses enfants ingrats.
Et nous ? Eh bien, aucun respect ! Non contents de lui marcher dessus, de cracher sur elle, nous la massacrons, l’exploitons, la dépouillons… Nous la regardons agoniser, pas question d’écouter ses appels au secours… Sa mort nous amuse, nous profitons et la croyons indestructible.
Des excuses pour nous ? Notre bêtise, notre égoïsme. Pourtant la terre nous a tout donné, sans hésitation, sans demander une contrepartie.
Le ciel, écoeuré, vient la défendre ; il souffle, il tempête, il casse nos villes.
L’eau vient aussi nous montrer son écœurement, elle nous inonde, ruisselle, ensevelit.
Rien n’y fait. Enfants bêtes et ingrats, nous sommes tels et le restons !
Alors aujourd’hui, oui je te le dis, moi qui te comprends :
« BONNE FÊTE DES MÈRES, LA TERRE »
(Jeannette Insurgé)
Le 28 mai 1787 décède à l’âge de 67 ans Léopold Mozart, père de Wolgang Amadeus Mozart. Compositeur, professeur de musique et violoniste talentueux, il consacre ses qualités pédagogiques à l’éducation musicale de ses deux enfants. Les dons exceptionnels de Wolgang Amadeus le poussent à organiser avec lui une tournée européenne pour l’exhiber dans les plus grandes cours de l’époque.
Le 27 mai 1840 décède Niccolo Paganini, violoniste virutose qui a marqué son époque. Il connaît de son vivant une immense célébrité à travers l’Europe et influence les plus grands compositeurs tels Schumann, Chopin et Berlioz.
Fin 19e siècle, les trois frères Revelli quittent leur Piémont natal, après le décès de leurs deux parents, pour aller travailler en France.
Carlo, 28 ans, Vincente, 20 ans et Luigi, dix ans, parcourent à pied le chemin jusque Nice, leur Eldorado.
L’aîné, trop fier pour se soumettre, s’engage sur les chantiers tandis que le second, plus docile et malléable, accepte de devenir domestique chez Joseph Mérani, médecin et député.
Luigi, enclin à la paresse encouragée par l’épouse du docteur qui décèle chez le garçon un réel talent de chanteur, vit sous l’aile protectrice de Madame Mérani et prend, de temps à autre, un emploi de figurant dans un opéra.
Alors que Vincente épouse rapidement une jeune domestique de la maison Mérani qui lui donne sans tarder un premier enfant, Carlo résiste à la tendresse des femmes et préfère payer plutôt que se lier.
Après s’être rendu coupable d’un vol chez un aristocrate, émigré russe, Carlo Revelli achète un lopin de terre. Karenberg, l’aristocrate anarchiste qui a vu Revelli sortir de sa propriété, s’intéresse au jeune homme.
Premier tome de la série « La Baie des anges », ce roman très bien écrit démarre très fort et on ne le lâche plus.
Le 26 mai 1707 décède Fraçoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, Marquise de Montespan, âgée de 67 ans, une des favorites de Louis XIV.
– Quoi TOI ?
– Et bien MOI, tu comprends c’est différent…
– Ah bon ? Et pourquoi ?
– MOI je suis sensible… fragile…
– Ah bon ? Tu penses que tu as été fabriqué avec autre chose qu’un spermatozoïde ?
– Oui mais MOI, je souffre…
– Ah bon ? Les autres d’après TOI ne souffrent pas ?
– Oui mais MOI, c’est pas pareil, je n’y arrive pas. J’ai tellement besoin d’être aimé, regardé, admiré, encouragé…
– Ah bon ? Tu penses vraiment que les autres n’en ont pas besoin ?
– Oui mais MOI, je n’ai pas de chance, je mérite mieux
– Ah bon ? Qu’as-tu fait pour mériter mieux ?
– Oui mais MOI, ce n’est pas de ma faute, je ne peux pas m’en empêcher, je n’y arrive pas, je suis fait comme ça !
– Ah bon ? Parce que les autres, eux, c’est de leur faute quand ils n’y arrivent pas ?
– Oui mais MOI, je voudrais, dis-moi : comment je peux faire ?
– Et bien TOI, arrête de penser à ton MOI, regarde les autres, ris, vis et oublie TOI !!!
Le 25 mai 1694 décède Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, comtesse de La Fayette, femme de lettres française née en 1634 et auteur du premier roman historique français, La Princesse de Clèves, considéré comme le premier roman moderne.
Le 24 mai 1743 naît Jean-Paul Marat. Médecin, journaliste et homme politique, il devient député à la Convention. Il sera assassiné par Charlotte Corday le 13 juillet 1793. Elevé au rang de martyr de la Révolution, il reposera pendant quelques mois au Panthéon.
Oui je sais, cela peut surprendre… Mais après m’être mesurée pendant des années avec cette vieille dame sèche, aride, sans compréhension….Je peux vous assurer que ni elle ni moi ne sommes sorties grandies de cette période.
Devant les désastres causés, sans réparation possible de ses agissements, eh bien… Cette nuit le vent m’a soufflé une solution qui, ma foi…
Greffer un cœur à cette dame indigne : eh oui, supposez… Lui mettre une pompe qui fonctionne et qui irriguerait ce cerveau asséché, peut-être que… Imaginez le cerveau enfin irrigué, apaisé, reconnaissant (mais si ! Je veux y croire !) Et voilà que d’un coup il se met à réfléchir, à penser aux conséquences des ses décisions.
Enfin on verrait la DDASS se mettre à penser avec…
L’INTELLIGENCE DU COEUR
A défaut de Grand Corps Malade, nous étions hier à la basilique Saint Epvre de Nancy pour écouter le Requiem de Mozart par l’orchestre philarmonique de Prague.
Habitués à la version dirigée par Karajan, celle-ci nous sembla, à mon fils et moi, un peu rapide. Mais c’était quand même diablement beau !
Le 23 mai 1430, Jeanne d’Arc est arrêtée à Compiègne, après avoir joué un rôle important dans la libération d’Orléans un an plus tôt. Après deux tentatives d’évasion, elle est rachetée par les Anglais et confiée à l’évêque de Beauvais, leur allié.
Nouvelles de Laurence Litique
Treize nouvelles constituent ce petit recueil d’une centaine de pages. Elles sont donc très courtes mais répondent parfaitement aux critères du genre : récit court et concis, très peu de personnages, sur une durée assez courte, de quelques minutes à quelques jours tout au plus, style sobre mais soigné, et chute inattendue.
L’auteur nous emmène tantôt tout près de chez nous, tantôt dans des univers totalement inconnus, des contrées lointaines où le dépaysement est garanti.
L’auteur a un sens aigu de la psychologie humaine. Qu’elle mette en scène des enfants, des femmes ou des hommes, elle trouve toujours le ton juste et les réactions typiques de ses personnages. Enfin, si l’émotion est souvent présente dans ces treize récits, l’humour et parfois même une certaine dérision ne sont pas exclus.
Un petit garçon du coin de la rue découvre l’amour dans les yeux d’une petite fille apparemment recluse et sa propre vilénie quand il découvrira sa différence.
Un autre petit garçon, dans un pays lointain, apprend à s’évader de la misère par l’esprit.
Une jeune fille trouve le moyen d’échapper à la rigidité de ses parents pour rejoindre celui qu’elle aime.
Un Occidental se retrouve prisonnier d’une tribu africaine.
Une femme obèse se rend au rendez-vous que lui a fixé l’internaute avec lequel elle échange depuis des semaines. La rencontre échoue mais… surprise !
Un homme offre un CD enregistré à sa femme pour faire passer le message qu’il tente de lui dire depuis des semaines.
Un scientifique, très occupé par sa vie professionnelle, ne prête qu’une attention distraite à la grossesse de son épouse. Un brin goujat dans ses réflexions intérieures, la réalité de la vie va se charger de le faire redescendre sur terre.
L’adultère et la vie cachée qui lui est inhérente. Mais là aussi, surprise !
La vie misérable d’un petit garçon battu vue par lui-même. Emotion.
Bref, un livre très bien écrit qui aborde des thèmes différents dans des styles pareillement variés. Impossible de ne pas y trouver du plaisir.
Le 22 mai 1200, deux enfants se disent oui. Louis de France, futur Louis VIII, fils du roi Philippe-Auguste et d’Isabelle de Hainaut et Blanche de Castille, petite-fille d’Aliénor d’Aquitaine, ont en effet respectivement 13 et 12 ans quand on les marie.
Bien que le mariage soit arrangé, les époux vivront heureux. Blanche de Castille est belle, intelligente, dévouée, pieuse et toujours soucieuse des intérêts du royaume. Après la mort de Louis VIII en 1226, elle règne avec sagesse jusqu’à la majorité de son fils, le futur Saint Louis. Elle poursuit la guerre contre les Albigeois et parvient à reconquérir le comté de Toulouse. En 1235, elle laisse à son fils un royaume prospère et continue à exercer sur lui une bonne influence. Elle devient régente lorsqu’il part en croisade.
Le 21 mai 1844 naît Henri Rousseau, peintre français. Considéré comme le plus célèbre des peintres naïfs, il se fait progressivement connaître et se lie d’amitié avec d’autres artistes, notamment Matisse, Apollinaire et Picasso. Souvent surnommé »le douanier Rousseau » en raison de ses fonctions à l’octroi de Paris, il décède dans la capitale en 1910.
Le 20 mai 1506 décède Christophe Colomb, âgé de 54 ans. Navigateur et marchand génois, il fut le premier Européen à traverser l’océan Atlantique et à découvrir l’Amérique qui sera bientôt le théâtre d’une colonisation massive par les Européens. Colomb restera cependant jusqu’à la fin de sa vie persuadé d’avoir atteint l’Asie par cette voie maritime.
et reporté… non pas sine die mais… au 27 avril 2012 !!!
La nouvelle est tombée aujourd’hui à 14 h 30. La billetterie de Cora, où Monique avait acheté les billets, l’a appelée pour la prévenir.
Je m’étais levée ce matin avec la joie d’assister à ce concert.
Alors ma déception a été à la hauteur de mon plaisir anticipé…
Le 19 mai 1498, Vasco de Gama ouvre la route des Indes. Après environ un an de navigation, le navigateur portugais arrive à Calicut en Inde et devient ainsi le premier Européen à gagner l’Inde par la mer en contournant l’Afrique par le Cap de Bonne Espérance.
Louis, d’origine très pauvre, parvient par les études et le travail à un niveau social qui lui donne accès à un monde insoupçonné. Mais toujours les circonstances de sa condition qui demeure, sinon misérable, en tout cas très modeste, viennent l’humilier.
Un jour, son employeur, affaibli par la maladie, impressionné par les capacités et le sérieux du jeune homme, lui propose un poste de secrétaire particulier. Après un premier refus, Louis finit par accepter. Alors qu’il redoutait le malaise familier ressenti à chaque fois qu’il était entré dans une grande maison pour intégrer la chambre que l’on mettait à la disposition du répétiteur, poste qu’il assurait pour financer ses études, il se sent d’emblée à l’aise dans la grande et belle demeure de son employeur. La maîtresse de maison n’est pas étrangère à ce sentiment car l’épouse du patron de Louis a l’art de combler tous les souhaits exprimés par le jeune homme sans toutefois jamais rien faire qui pût froisser sa susceptibilité.
Un jour, son employeur lui demande de partir au Mexique pour gérer une affaire délicate. La rémunération est importante et Louis accepte. Mais à la seconde où il consent à partir, il réalise que l’idée de ne plus voir l’épouse de son patron lui est insupportable, constatant par la même occasion la nature de ses sentiments pour elle. Or ces sentiments sont réciproques et elle est autant bouleversée que lui. Alors qu’elle s’apprête à se donner à lui, elle se reprend et lui promet d’être sienne à son retour. Louis s’en va, la tête pleine de l’image de celle qu’il aime. Deux ans sont vite passés. Hélas, la guerre éclate. Empêché de rentrer au pays, il se marie et oublie un peu celle qu’il a tant aimée et attendue. Neuf années passent… A l’occasion d’un voyage d’affaires, il se rend en Allemagne. Il la contacte, elle est devenue veuve. Ils se revoient et tentent de reprendre leur idylle là où ils l’avaient laissée…
Un très beau roman, ou nouvelle, avec une analyse très fine des sentiments amoureux et de la complexité de l’âme humaine.
Le 18 mai 1897 sort Dracula, roman de l’écrivain irlandais Bram Stoker, librement inspiré du personnage historique Vlad Tepes Dracula – le nom de famille Dracula signifie dragon ou diable – souverain cruel qui empalait ses ennemis. Dans son roman, Stoker a également été influencé par le mythe des goules buveuses de sang de son pays et il fait de Dracula un monstre qui s’attaque à la bonne société de l’époque.
Ce personnage a inspiré de nombreux auteurs et cinéastes et Christopher Lee est l’acteur qui incarne le vampire dans plusieurs films.
Moi je le veux bien, le petit robot qui me signalerait les radars quand les panneaux seront enlevés !
Le 17 mai 1956 naît Ray Charles Léonard, plus connu sous le nom de Sugar Ray, boxeur américain. Il gagne 145 combats amateurs sur 150 et devient champion du monde en 1979. A titre professionnel, il remporte 33 victoires dont 23 par K.O. et une seule défaite face à Roberto Durand.
Quand j’ai reçu ce fichier, j’ai lu le titre et je me suis dit : « Madeleine Chapsal… cette pleurnicheuse… bof ! ». Par acquis de conscience, j’ai lu l’article. Et là je dis, chapeau bas ! Quelle élégance ! Cela a quand même plus de gueule et de classe que les crêpages de chignon que l’on nous sert trop souvent ! Une balle entre les deux yeux de JJSS eût été aussi magnifique ! Mais Chapsal n’est pas de cette trempe là !
Le 16 mai 1703, le tsar de Russie Pierre le Grand fonde Saint-Pétersbourg et en fait sa capitale. La ville restera capitale de l’empire russe jusqu’au règne de Nicolas II. Port et ville industrielle importante, sa population ouvrière était nombreuse et gagnée aux idées socialistes dès la fin du XIXe siècle. Elle a été le centre principal des révolutions de 1905 et 1917 à la suite desquelles les bolcheviks de Lénine et Trotsky prirent le pouvoir, puis refirent de Moscou la capitale du pays. Saint-Petersbourg, après s’être appelée Petrograd puis Leningrad, retrouve son nom d’origine en 1991.
Le 15 mai 1536, Anne Boleyn, 2e femme d’Henry VIII, et son frère sont déclarés coupables d’adultère et d’inceste par la Haute Cour d’Angleterre, suite à l’accusation du roi. Emprisonnée à la Tour de Londres, elle fut décapitée quelques jours plus tard, ainsi que son fère. Onze jours plus tard, Henry épouse Jeanne Seymour.
Grâce à la sortie du premier tome de ma saga familiale en 2009, une « tripotée » de petites-cousines s’étaient manifestées. Moi qui n’avais plus de famille depuis plus de quinze ans, ça m’avait fait un choc !
Une de mes petites-cousines et son mari fêtaient hier leurs noces d’émeraude et nous avons eu la surprise de voir Jeanne, quarante ans après ce qu’il est convenu d’appeler « le plus beau jour de sa vie », dans sa robe de mariée ! Elle a toujours la ligne, la Jeannette ! Nous n’étions pas loin de quatre-vingts convives plus une bonne dizaine d’enfants. Autant dire que cela faisait du bruit ! Et les enfants, justement, ont reproduit la scène du mariage, de la déclaration du maire à l’échange des consentements puis le rituel des alliances et le bisou final suivis des signatures des mariés et des témoins.
Bref, une très agréable journée, de midi à minuit.
Jeanne et François fêtaient aujourd'hui leur 40e anniversaire de mariage.
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Le 14 mai 1610 Henri IV, roi populaire qui mit fin aux guerres de religion, est assassiné par un fanatique, Ravaillac, qui vole un couteau dans une auberge et se cache dans la rue pour guetter le passage du carosse royal. A quatre heures de l’après-midi, celui-ci arrive et Ravaillac se jette sur le roi et lui donne deux coups de couteau. Maîtrisé et amené à l’Hôtel de Retz pour lui éviter un lynchage, il est conduit à la Conciergerie.
Le prétexte du livre est une histoire d’amour non réciproque entre un homme entendant et une jeune femme sourde. Mais c’est pour l’auteur l’occasion de parler de son parcours, atypique.
Ecrit à la première personne, il décrit son lieu de travail, ses conditions de vie et cet amour naissant qui ne le laisse pas en paix et qui va le conduire à être accusé de harcèlement.
Publié en autoédition.
Sommes-nous tous tombés sur la tête ? Sommes-nous descendus si bas qu’on en arrive à envier les bénéficiaires de cette petite aide sociale ? Car enfin, de quoi est-il question ? D’une minorité d’individus qui reçoivent quelques centaines d’euros sans contrepartie. Est-ce cela le scandale que l’on veut dénoncer ? N’est-ce pas plutôt de la poudre aux yeux ?
Pour moi, le scandale est ailleurs. Que des salariés qui travaillent 35 h aient au bout du compte à peine plus pour vivre que les bénéficiaires du RSA, c’est scandaleux ! Que certaines personnes aient un salaire mensuel équivalent à dix années de smic, c’est scandaleux ! Que des salariés ne puissent pas se loger décemment parce que les loyers ont flambé alors que les salaires ont régressé, c’est scandaleux ! Les parachutes dorés aux dirigeants dont une multinationale veut se séparer, c’est scandaleux ! Car on ne parle pas là en centaines d’euros mais en plusieurs millions !
Ces méthodes sont à mes yeux beaucoup plus scandaleuses que les petites magouilles supposées de quelques citoyens supposés paresseux pour extorquer des aides sociales à l’Etat ! Je sais qu’il y a des profiteurs, mais ces gens là sont des petits joueurs et ce ne sont pas eux qui mettent l’économie d’un pays en danger ni en péril le pouvoir d’achat des classes moyennes, ces Français qui travaillent et qui parviennent de moins en moins à boucler les fins de mois.
En s’attaquant aux bénéficiaires du RSA, on se trompe de combat. Et pourquoi ceux qui les envient tant ne se mettraient-ils pas au chômage pour bénéficier à leur tour de cette manne financière ?
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Le 13 mai 1637, le cardinal de Richelieu fait arrondir les lames des couteaux. Agacé par l’habitude des convives à se curer les dents à table avec la pointe de leur poignard, ustensile utilisé pour couper la viande, il invente ainsi le couteau de table. François 1er avait lancé la mode de l’assiette et Henri III celle de la fourchette. Il faudra attendre le XIX siècle pour voir apparaître le verre aux côtés du couvert individuel sur les tables raffinées.
Le 12 mai 1820 naît en Italie Florence Nightingale, de nationalité britannique, pionnière du métier d’infirmière.
En révolte contre les conventions de son temps et son destin de femme au foyer, elle choisit le métier d’infirmière, alors dévalorisé et réservé aux pauvres. En 1853, elle devient superintendante à l’Institute for the Care of Sick Gentlewomen. En 1854, elle est envoyée en Crimée avec 38 infirmières volontaires pour réformer et nettoyer un hôpital. Grâce à elles, le taux de mortalité chuta de 40% à 2%. Le retour de Florence Nightingale en Angleterre en 1857 fut triomphal. Elle consacra le reste de sa vie à promouvoir son métier et fonda une école d’infirmières qui porte son nom. En 1883, la reine Victoria lui décerne la Royal Red Cross et en 1907, elle est la première femme à recevoir le Merit Order. Elle meurt le 13 août 1910.
Il était environ 20 h 00 lorsqu’un bruit étrange se fit entendre. Comme un énorme souffle prolongé et recommencé à intervalles réguliers. Puis les enfants des voisins ont crié, frimousses levées et index pointés vers le ciel. Une montgolfière survolait notre maison, bientôt suivie d’une autre, puis encore une autre.
Grand Corps Malade sera en concert à Nancy (L’autre Canal) le jeudi 19 mai 2011 à 20h30. Nous y serons.
Louis, fils d’éclusier, sait qu’il sera un jour éclusier à son tour, à Martimpré, un village proche de Stenay dans la Meuse. Alors que ses parents, Léone et Maurice Champart, ont les pieds bien ancrés dans leur terre natale, Louis rêve de voyages, loin, très loin de ce petit coin de Lorraine dont il aime pourtant les paysages, notamment ceux à proximité du canal où il vit heureux malgré toutes les questions qui l’assaillent. En particulier, d’où lui vient donc ce désir d’ailleurs, ce fourmillement qu’il ressent dans les jambes à l’idée de partir ?
Parce qu’il sait qu’il ne quittera jamais l’écluse de Martimpré, il regarde, fasciné, les gens du voyage, ceux qu’on appelait les romanichels ou les camps-volants.
Alors qu’il a repris la responsabilité de l’écluse derrière son père après la mort accidentelle de celui-ci, il vit avec sa mère et passe pour un célibataire endurci. Mais tout bascule quand il rencontre Rose, une jeune fille énigmatique, différente des autres, qu’il va aider à s’enfuir et se cacher de son père.
Un livre à l’écriture fluide et une histoire sans surprise mais qui se lit avec plaisir car on y sent toute l’atmosphère de la Lorraine de ces années cinquante et soixante.
Le 11 mai 1904 naît à Figueres en Catalogne Salvador Dali, peintre espagnol. En 1932, il participe à la première exposition surréaliste aux USA et obtient un immense succès. Il demeure à New-York de 1939 à 1948. Il s’immerge dans la culture populaire à travers la publicité et participe à la réalisation de plusieurs films. Il crée son propre musée en 1974 et meurt en Espagne en 1989.
Le 10 mai 1774, Louis XVI devient roi de France. Sacré à Reims le 11 juin 1775, il sera guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris.
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