Il y a 229 ans…

Le 23 mars 1782 avait lieu la sortie du livre Les liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos. Imprimé en 2000 exemplaires qui se vendent en un mois (ça fait rêver !), l’ouvrage est un roman épistolaire sur la perversité et le libertinage. Oeuvre littérature majeure du 18e siècle, ce roman est considéré comme un chef d’oeuvre de la littérature française.
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2 Réponses à “Il y a 229 ans…”


  • Je ne l’ai jamais lu, à part des extraits, mais il figure sur ma liste des livres à acheter. C’est d’ailleurs prévu pour mes prochaines vacances. En effet, j’ai tjrs eu un faible pour les adaptations cinématographiques de ce roman. Alors, aimant lire, je sais que je vais l’adorer. J’en ai vu plusieurs versions cinématographiques, même une qui me semblait fort improbable : Le milieu étant celui des étudiants américains sur un campus. Je l’avais regardé par curiosité, me demandant comment le réalisateur s’était débrouillé pour « transférer » l’histoire dans un milieu si « moderne ». Eh bien, contre toute attente, c’était bien fait.
    Mais mon adaptation préférée reste incontestablement celle dont la seule distribution vous met l’eau à la bouche : John Malkovich, Glenn Close, Uma Thurman et Michelle Pfeifer. Sublime, envoûtant, horrible de perversité !!!!! Tous les ingrédients pour un plat réussi dont on se régale…. A voir absolument ! Ou à revoir !
    Se dire que le roman a été écrit il y a 229 ans, c’est à peine croyable ! L’histoire n’a pas vieilli. Sans doute parce que les « jeux de l’amour » avec tout ce qu’ils comportent de beau comme de moins brillant, seront toujours d’actualité. Et tant qu’il y aura des hommes et des femmes pour jouer à ces jeux plus ou moins dangereux…

  • Oui Sylviane, Malkovich et Glenn Close dans le film éponyme sont effectivement des références. Ils étaient tous les deux absolument parfaits. J’ai lu ce livre trop jeune… je le relirai volontiers. 229 ans… oui… comme tu le dis si bien, tant qu’il y aura des hommes et des femmes, il y aura des écrivains pour rapporter ou inventer des histoires d’amour sublimes de perversité… Mais j’avoue que lorsque je lis ce genre de romans, je m’enferme sciemment dans l’aspect littéraire, dans la fiction, car si je commence à envisager que cela peut relever du fait divers, alors tout devient un peu moche et je peinerais peut-être, mais seulement peut-être, à apprécier la beauté littéraire du livre.

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