Yves Kramer, ingénieur distrait, renverse Elisabeth Malory, navigatrice en solitaire. Hémiplégique, elle obtient des indemnités mais refuse ses excuses.
Persuadé que l’humanité court à sa perte, Kramer projette la construction d’une navette géante pour embarquer des volontaires dans un voyage de mille ans pour recréer une humanité sur une planète d’un autre système solaire. Mais ce projet est refusé. Yves Kramer, qui ne se pardonne pas l’accident qui a fait d’une championne une handicapée, commence à déprimer. Il rencontre alors un riche industriel, atteint du cancer, qui accepte de financer le projet. Pour piloter le vaisseau spatial muni de panneaux solaires et d’ailes géantes, son assistante recrute Elisabeth Malory, la meilleure navigatrice avant son accident. Après un refus catégorique, celle-ci accepte à la condition de ne jamais croiser l’ingénieur. Jusqu’au jour où ils se retrouveront embarqués avec le reste de l’équipe et 144.000 volontaires pour un voyage dont eux-mêmes, bien sûr, ne verront pas la fin, ni les enfants de leurs enfants, mais sans doute leurs lointains descendants.
Mais les candidats pour un monde meilleur ailleurs sauront-ils éviter de reproduire les mêmes erreurs ?
Pas du grand Werber de l’époque des Thanatonautes et Empire des Anges, mais un livre qui se lit néanmoins avec plaisir, surtout en vacances…
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Mon préféré sans conteste aucun : le père de nos pères! Je trouve bien dommage que la critique ne le suive pas car c’est tout un univers!
J’avais adoré aussi les Thanatonautes. J’avais commencé avec les fournis que j’avais dévoré! je n’ai pas encore lu celui-ci mais je l’ai offert à mon fils qui a attrapé le virus! Bonne journée,merci pour ce partage, CIlou
Dernière publication sur Plius : Ne plus jamais dire jamais....
J’ai commencé par « Les Fourmis » et je n’avais pas du tout accroché. Quand on m’a offert « L’empire des anges », j’ai commencé à le lire à reculons… Mais très vite, j’ai accroché car ce n’était plus du tout le même univers et j’ai adoré. Du coup, j’ai lu tous les autres Werber !
Est-ce un effet de lassitude du lecteur et un essoufflement de l’auteur, je le trouve moins bon qu’avant. Sa série sur les dieux, par exemple, m’avait fortement déçue ; je m’étais littéralement forcée à aller au bout.