Merci à ceux et celles – plutôt celles d’ailleurs – qui m’ont régulièrement demandé des nouvelles de mon fils.
Stefan a retrouvé du travail sur Nancy. Il a commencé lundi dernier un CDD de trois mois reconductible jusque fin 2011 et éventuellement transformable en CDI à partir de janvier 2012. Nous croisons les doigts, même si ce job n’est pas tout à fait à la hauteur de son ambition. Mais après avoir envoyé près de deux cents courriers aux entreprises autour de Saint-Avold, il n’avait reçu que quelques réponses négatives…
Il va donc de nouveau déménager. Il est actuellement en quête d’un appartement. En attendant, son chat Ermès habite chez une copine (chatte stérilisée) à Pont-à-Mousson. Stefan se rend en semaine et le week-end chez son pote et la copine de celui-ci afin que son chat ne l’oublie pas .
Inutile de dire que nous sommes ravies qu’il revienne sur Nancy ! Et nous espérons qu’il puisse se poser un peu.
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Archive journalière du 28 fév 2011
Atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis de nombreuses années, Annie Girardot est morte aujourd’hui à l’hôpital. Elle était âgée de 79 ans.
Pour moi, elle restera à jamais liée au sort de Gabrielle Russier, professeur de lettres qui s’était suicidée en 1969 après avoir été condamnée pour détournement de mineur sur un de ses élèves. Annie Girardot avait incarné ce rôle avec beaucoup de pudeur et de candeur. Avec « Les noces blanches », « Mourir d’aimer » fait partie des films qui m’ont bouleversée et me bouleversent encore.
Et puis bien sûr, comment oublier Annie Girardot sur la scène des Césars, lorsqu’elle laisse éclater son émotion et l’aveu d’une immense blessure.
Annie Girardot, avec son timbre de voix et son phrasé très particulier, sa silhouette androgyne et son visage expressif, toujours entre les larmes et le rire, ne s’éteindra jamais sur nos écrans de verre.
Voici l’article paru dans l’Est républicain du 25 février 2011. Me concernant, il comporte quelques petites erreurs que je pardonne volontiers au journaliste !
Mardi soir, plusieurs auteurs qui seront présents dimanche au salon « Autour du Livre » de Chaligny, sont venus parler de leurs ouvrages, les dédicacer et expliquer leur besoin d’écrire.
Cette rencontre était organisée par Michèle et Béatrice du club Imacréa et animée par Emmanuel Parmentier, responsable des bibliothèques en réseau de la CCMM.
Fabrice Gœury est un jeune auteur qui a pris la plume il y a 2 ans. Après un premier essai avec « Sous le grand cerisier blanc », dont l’intrigue se situe en Lorraine, il a réitéré avec un recueil de nouvelles « Clara et les nouvelles du monde ».
Christian Ingret-Taillard a déjà écrit des poèmes et des musiques de chansons. Dans son métier d’éducateur spécialisé, il a puisé des personnages et des situations qui l’ont inspiré. Son roman, « Le rêve de papier » relate l’accouchement d’un livre, tandis que dans « Clair-obscur » il nous emmène dans une enquête policière.
Le monde de Bernard Trésor est bien plus visuel car il s’adonne à la B.D. Il s’est lancé à sa retraite. Ses scénarios sont ancrés dans le réel, puisque partant de faits divers et il les fait évoluer entre réalité et fiction.
Les décors sont ceux de Nancy et du patrimoine local. Son trait n’est pas celui de la palette graphique mais bien celui de la B.D. artisanale qui se colorise à l’aquarelle comme sa dernière sortie « Mortel Blues ».
Etait également présente Isabelle Chalumeau. Elle a participé à de nombreux concours littéraires et a notamment reçu l’Alérion d’or en 2002. Elle s’est beaucoup enrichie, nous dit-elle, au contact des gens car elle est écrivain public.
Elle sera présente à Chaligny dimanche avec le dernier volume d’une saga familiale « Malou ».
Si tous les quatre trouvent certains salons du livre peu enrichissants mais souvent des passages obligés, ils se sentent beaucoup plus proches du public quand ils viennent à des salons comme « Autour du Livre ». « L’auteur est plus abordable, le public ose davantage même s’il a peur parfois de ne pas trouver les mots ».
Le 28 février 1824 naît Jean-François Gravelet alias Blondin, funambule et acrobate français. Ses traversées au-dessus des chutes du Niagara le rendent célèbre. A maintes reprises, il réitère l’exploit sur un câble de 335 mètres tendu à 50 mètres au-dessus de l’eau. Il augmente la difficulté en exécutant ses traversées les yeux bandés, sur des échasses ou avec un homme sur le dos. Il donne des spectacles jusqu’à plus de 70 ans et meurt en 1897.
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