A la veille de la Seconde Guerre mondiale, Jules Peyrie, Périgourdin, termine à Paris de brillantes études de médecine. Après la mort de son père qu’il méprisait autant qu’il avait chéri sa mère, le jeune homme s’interroge sur son avenir professionnel. Un professeur lui propose d’accepter un poste de médecin de campagne en Alsace. Jules hésite puis accepte. Après des débuts difficiles, il parvient à se faire accepter dans le monde rural et se prend d’affection pour cette terre au fur et mesure qu’il s’éprend d’Emma. Mais la guerre éclate et l’Alsace est de nouveau durement malmenée. Pour sauver sa tête, Jules doit partir. Emma le suit après avoir confié leur bébé à une amie. Mais la vie dans le Périgord n’est pas davantage un long fleuve tranquille et bien des épreuves attendent le couple.
Un livre bien écrit sur un des épisodes les plus noirs de l’Histoire. Un récit sans grande surprise mais agréable à lire.
- Accueil
- > Archives pour le Mardi 1 février 2011
Archive journalière du 1 fév 2011
Tout à fait d’accord avec cet article. C’est vrai qu’à force de ne plus appeler un chat un chat, on finit par ne plus savoir de quoi l’on parle exactement. Lorsque j’entends « non-voyant » ou « non-entendant », je me demande toujours où est l’insulte si on dit de quelqu’un qu’il est aveugle ou sourd ! Pourquoi ne pas dire d’un paraplégique qu’il est « non-marchant » et d’un chômeur qu’il est « non-travaillant » ? La peur des mots conduit à l’absurde.
Le 1er février 1895 naît John Ford, cinéaste américain d’origine irlandaise. Réalisateur de plus de 60 films, il est l’un des maîtres incontestés du western. Parmi ses films les plus célèbres : « La Chevauchée fantastique » et « Les Raisins de la colère ».
Commentaires récents