Le 17ème Salon d’Automne aura lieu du 28 septembre au 8 octobre 2010, sauf le dimanche.
Les élèves de Pierre DUFOUR, Président du Cercle des Arts, et quelques autres artistes présenteront leurs travaux dans la salle de spectacle du CILM (Centre Intercommunal Laxou Maxéville), 23 rue de la Meuse, 54520 LAXOU Champ-le-Boeuf.
L’invité d’honneur, à titre posthume, est Pierre HACHET, spécialiste en iconographie.
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Archive mensuelle de septembre 2010
Je ne sais pas ce qu’il leur raconte, à ses plantes, mais à la tête qu’elles tirent, ça ne doit pas être folichon !…
A quoi pensait Madame Dati en défendant les salariés menacés d’un plan de licenciement pour remplacer l’inflation qu’elle avait en tête par fellation qui lui vint sur la langue, si j’ose dire ! Il faut dire qu’il s’agit d’une entreprise de sous-vêtements !!!
Un film de Xavier Beauvois avec Lambert Wilson, Michael Lonsdale, Philippe Laudenbach, Olivier Rabourdin, etc.
Dans les montagnes du Maghreb, une petite communauté de frères catholiques vit dans un monastère, modestement des produits de la terre et en harmonie avec la population et les religieux musulmans.
Lorsque des ouvriers croates sont massacrés sur un chantier, la vie bascule dans la terreur. Les autorités proposent aux frères français une protection militaire en attendant leur rapatriement. Frère Christian, qui dirige la communauté, refuse.
Un très beau film sur un fait divers récent. Les scènes parfois très lentes sont l’occasion de magnifiques chants religieux et notamment une scène très poignante sur l’air du Lac des Cygnes. Lambert Wilson est très crédible et très bouleversant. A voir.
La délégation régionale de Médecins du Monde organise le dimanche 3 octobre 2010 une randonnée pédestre « De Nancy Thermal au Fond d’Ardeval » avec le soutien du Club Alpin de Nancy.
Les départs, 9h30 et 14h30, se feront du parking de Nancy Thermal face à l’entrée du Conseil Général. L’inscription et le paiement (5€ pour les adultes, 2€ pour les moins de 12 ans) se feront sur place.
Association de solidarité internationale reconnue d’utilité publique, Médecins du Monde a pour vocation, en toute indépendance, de soigner les populations les plus vulnérables dans des situations de crise ou d’exclusion partout dans le monde et en France.
Cette randonnée a pour but de faire connaitre plus particulièrement la Mission France Nancy. En effet, l’équipe de MdM propose gratuitement des consultations sociales et médicales ainsi que la délivrance des médicaments aux personnes en situation de précarité n’ayant pas accès aux soins de santé. Nos actions se déroulent dans notre Centre d’Accueil, de Soins et d’Orientation et lors d’actions mobiles sur la Communauté Urbaine du Grand Nancy.
Au Livre sur la Place, j’ai fait la connaissance d’un auteur mosellan fort sympathique. Nous avons beaucoup discuté, comparé nos expériences en termes de publication d’ouvrages, échangé nos adresses courriel et enfin communiqué nos blogs respectifs.
Après l’avoir longuement parcouru, c’est avec plaisir que je vous part de ce blog généraliste intéressant : http://ogpresse.over-blog.com/
Entre deux vagues de visiteurs à notre stand au récent Livre sur la Place, un ami poète me dit : « Tu es une hyperactive ! Comment peux-tu faire autant de choses en plus de ton boulot ? Tu dors très peu ! »
Non, je ne suis pas hyperactive même si je travaille beaucoup ; oui, je dors très peu.
J’ai la chance d’avoir un très bon sommeil et de pouvoir me contenter de peu. Ici comme en d’autres domaines, la qualité prévaut la quantité.
Cependant, pour pouvoir tenir le coup avec une moyenne de cinq heures par nuit, je pratique la micro-sieste ou sieste-flash.
Chacun connaît les bienfaits de la sieste. Cependant, il s’agit là d’un très court endormissement au moment exact où le corps en a besoin. Souvent, lorsque le coup de barre arrive le soir, on lutte puis on se décide à aller se coucher ; mais le temps de se brosser les dents, d’aller aux toilettes et de se déshabiller, le coup de fatigue est passé et on peine à s’endormir.
La micro-sieste consiste à s’endormir sur place. Lorsque je sens le coup de barre me tomber dessus, assise devant mon ordinateur, je prends un stylo dans ma main, je m’adosse au fauteuil, j’allonge les jambes sans les croiser et je ferme les yeux. Presque instantanément, je m’endors très profondément. Le bruit du stylo qui est tombé de ma main me réveille. J’ouvre les yeux et me sens revigorée.
Selon la facilité de chacun à s’endormir, la micro-sieste dure entre trois et dix minutes. Au pire, on se détend, au mieux on dort vraiment et ce bref sommeil est très réparateur. Mes micro-siestes durent entre trois et quatre minutes car je lâche prise dès que le coup de barre m’assaille.
Lorsque j’ai beaucoup de travail, il m’arrive de me lever à 5 h 00 et de travailler de 5 h 30 à 1 h 00 du matin non stop, juste le temps de prendre une heure à chaque repas. Durant ces longues journées de travail, je pratique trois à quatre micro-siestes.
Essayez, c’est vraiment efficace.
De mon temps – quand on commence à employer ce genre d’expression, c’est qu’on a définitivement passé un cap… – les princesses s’endormaient et espéraient le baiser d’un prince charmant pour renaître à la vie. Aujourd’hui, elles dansent nues en chantant des chansons grivoises. Ah ! ma pôôôôôôôvre, même les princesses ne sont plus ce qu’elles étaient !!!
Si comme moi vous ne savez pas ce que signifie « béliner le joyau », je vous invite à découvrir la chanson dont est extraite cette citation. Cela vaut son pesant de bijoux (de famille) !…
http://dicidense.free.fr/index.php/2007/02/19/que-cest-bon-detre-demoiselle/comment-page-1/
Comme l’indique le titre, le monde est sous l’atteinte de la grippe, influenza selon l’appellation scientifique.
Après quelques morts suspectes au Cameroun, les Docteurs Jean Caspier et Maria Ruiz, médecins à l’OMS mais également agents secrets pour leurs gouvernements respectifs, sont envoyés sur place. Ils découvrent assez rapidement que les victimes ont contracté le virus de la grippe H2N2 et échappent eux-mêmes de justesse à un attentat. Ils acquièrent très vite la conviction qu’ils sont en présence d’une redoutable arme bactériologique que détiennent quelques fous membres d’une secte prête à éradiquer le genre humain.
L’histoire que nous raconte John Boring, qui n’est d’ailleurs pas du tout ennuyeux en dépit du curieux nom de plume qu’il a adopté, fait bien sûr penser à la crise que nous avons récemment connue avec la pandémie de la grippe H1N1. Avec notre couple d’agents secrets, un peu moins glamour que James Bond et ses girls, nous suivons l’évolution du drame qui se joue à l’échelle mondiale et dont l’issue ne peut être que fatale. A moins de trouver une solution pour sauver la planète…
L’ouvrage, quoique publié en autoédition, est d’assez bonne qualité et intéressant car on se demande jusqu’où va la fiction…
Le 21 août dernier, j’ai installé sur mon blog un gadget météo et compteur de visites avec localisation des internautes. Depuis, le blog a reçu 1001 visiteurs :
806 de France métropolitaine
39 d’Italie
33 du Portugal
31 de Belgique
18 du Canada
12 du Maroc
10 des Etats-Unis
9 de Tunisie
43 de pays divers dont Hongkong, l’Algérie, la Réunion, la Martinique, le Mexique, la Lybie, l’Espagne, la Côte d’Ivoire, la Pologne, le Brésil, l’Arabie saoudite et l’Australie.
Après deux participations au Livre sur la Place de Nancy en 1999 et 2001 (c’était alors encore sur la Place Stan), je n’avais plus participé à cette manifestation majeure sur le livre car l’accueil des auteurs autoédités sur ce genre d’évènements où sont présents les grands auteurs nationaux est assez compliqué. Ils bénéficient de leurs propres salons locaux. En quelque sorte, on ne souhaitait pas mélanger les serviettes et les torchons… Grâce à l’APAC et à sa Présidente, Geneviève Kormann, qui s’est battue bec et ongles pour qu’un espace soit aménagé pour les auteurs régionaux qui n’ont pas de libraire derrière eux, pour la deuxième année consécutive, Nancy a accédé favorablement à cette demande.
Empêchée l’année dernière de rejoindre mes collègues, j’ai pu cette année être présente sur le stand samedi et dimanche, deux journées complètes au contact du public, deux journées harassantes mais enrichissantes. Et puis vendre 31 livres en deux jours, c’est pour moi du jamais vu !
Tous mes remerciements à l’APAC et ceux qui ont oeuvré, auprès de Geneviève, pour nous accueillir dans les meilleures conditions.
Merci aussi à celles et ceux qui sont passés me faire un petit coucou.
Sous la présidence de Max Gallo, le Livre sur la Place s’installe dès demain 10 h 00 et jusque dimanche 18 h 00 Place de la carrière. J’y serai samedi et dimanche avec quelques collègues auteurs lorrains sous le chapiteau APAC.
Pour en savoir plus et notamment la présence des nombreux auteurs, cliquez sur le lien du site officiel : http://lelivresurlaplace.nancy.fr/lslp_auteur.php
Il y a quelque temps, je vous avais présenté le blog de Madelena (http://unrealjourney.blogspot.com/ ), une artiste portugaise. Nous sommes restées en contact depuis. Quand elle m’a proposé d’illustrer quelques uns de mes poèmes en prévision d’expositions, j’ai bien sûr tout de suite dit oui. J’ai eu ce matin la surprise de trouver dans ma boîte de courrier électronique un fichier réunissant mon travail et le sien. Je dois avouer que je suis très émue de voir ce que mon poème lui a inspiré.
Scène désolante de racisme ordinaire en Belgique:
reconduite à la frontière d’un clandestin français par deux policiers flamands. Il avait pourtant fait un effort d’adaptation … !
En ouvrant mon ordinateur ce matin, j’ai vu sur Internet à la une des informations politiques, je dis bien informations politiques, le titre suivant : Eric Besson s’est marié dimanche avec une étudiante tunisienne.
Là je me dis, y a pas de doute, c’est de la super info politique !!!
Un des plus grands cinéastes français vient de s’éteindre à l’âge de 80 ans.
Je garderai de lui le souvenir de quelques oeuvres majeures notamment Le beau Serge, Le boucher, l’inoubliable Violette Nozière avec l’incomparable Isabelle Huppert, une des actrices fétiches de Chabrol, La cérémonie avec la même Huppert et Sandrine Bonnaire, et plus récemment La demoiselle d’honneur, L’ivresse du pouvoir, La fille coupée en deux.
Film de Alain Corneau avec Kristin Scott-Thomas, Ludivine Sagnier, Guillaume Marquet, Philippe Mille, etc.
Christine est à la tête d’une multinationale ; son assistante, Isabelle, est sous le charme de sa supérieure. Philippe est entre les deux femmes. Christine souffle le chaud et le froid, jouant avec l’un comme avec l’autre. Ce jeu de séduction triangulaire mènera jusqu’au crime.
Un film efficace avec une superbe Kristin Scott-Thomas, ravissante et hautaine à souhait, et une Ludivine Sagnier, mignonne et craquante, fragile. Une belle démonstration de la complexité des rapports humains quand le pouvoir et l’argent se mêle à l’amour.
Un film de Eric Besnard avec Clovis Cornillac, Bruno Solo, Audrey Dana, Patrick Chesnais, etc.
En Guyane, un groupe d’aventuriers composé de quatre hommes et une femme dérobe 600 kg d’or en barre. L’opération est bien organisée mais, à la dernière minute, les choses ne se passent pas comme prévu et l’hélicoptère qui doit les aider à gagner le Brésil est touché. Obligés de se poser, ils n’ont d’autre choix que gagner la frontière par la jungle. Mais ce n’est pas simple avec un tel chargement. Ils décident donc d’enterrer une partie du butin pour tenter d’échapper à leurs poursuivants. Commence alors une série d’incidents : morsures de serpent, piqûres de moustiques, disputes et rixes entre eux…
Pas un grand film mais on passe malgré tout un bon moment. Classé dans le genre « aventure et comédie », il répond davantage au premier critère qu’au second…
Nous en parlions depuis juillet ; la météo ou les invitations nous avaient empêchées d’y aller.
Hier soir, nous avons dîné tôt pour prendre la route et arriver à Toul avant la tombée de la nuit. Le spectacle avait lieu dans les jardins du cloître de la cathédrale Saint-Etienne. En fait de « à la tombée de la nuit », il fallut attendre 21 h 30. Cela commença par l’adagio d’Albinoni qui me procure toujours une très grande émotion. Puis l’histoire de la cathédrale et de la ville de Toul commença, racontée sous forme de dialogues entre les statues et les gargouilles. Le jeu des lumières donne à la cathédrale des aspects très différents.
Pour ceux que cela intéresse, dépêchez-vous : le spectacle a lieu chaque jeudi, vendredi et samedi jusqu’au 19 septembre. Entrée libre. Et pensez à prendre une petite laine, car ça caille un peu !
Spectacle son et lumière dans les jardins du cloître de la cathédrale.
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Manuel et Mara, deux Français à Tanger, forment un couple étrange, énigmatique et attirant. Lorsque Hicham les découvre, entre la vie et la mort, il décide de les sauver et de s’occuper de Mara. Attiré par la jeune femme, il cherche à percer le secret qui l’entoure. Quand elle le lui révèle, il est trop tard ; le jeune Marocain est happé dans l’univers aux frontières de la destruction de cette jeune femme à la recherche de ses origines. Hicham lui promet de l’aider, quoi qu’il lui en coûte.
Un amour interdit, une relation triangulaire, un mélange de culture, autant d’ingrédients qui font de cette histoire originale un roman palpitant avec en toile de fond une page noire de l’Histoire algérienne.
Très bien écrit, avec une fabuleuse analyse des rapports humains et de la psychologie de cette femme en quête d’identité. A lire absolument.
Ce fil qui relie l’embryon au placenta est sectionné à la naissance, occasionnant un traumatisme à la fois pour la mère et l’enfant, néanmoins banalisé ou occulté par l’arrivée du bébé. Mais ce cordon ne cesse de se reformer virtuellement et il faut recommencer la manip, plus délicate encore car on est seul, plus exactement seul à deux.
Mon petit partit à 20 ans, la fleur au fusil pour vivre avec sa copine. On a beau s’y préparer, on est pris au dépourvu et ce cordon, mal ou trop vite sectionné, causa de part et d’autre des petits soucis de cicatrisation. Puis il y eut un autre déménagement, une autre copine, puis encore un déménagement, seul dans un grand appartement pour valider son entrée dans la vie active par un CDI à Nancy. Il était à la fois autonome et proche ; c’était bon de le savoir à un quart d’heure de la maison, à portée de vue et de cœur. Or voilà que le travail l’oblige à quitter Nancy pour Forbach. Au contraire de nous, nos enfants doivent en effet choisir leur lieu de vie en fonction du marché de l’emploi. Nous avions de la chance, cela aurait pu être Paris ou Bordeaux. Il aurait aussi pu s’expatrier comme moi ; à peine majeure, j’étais partie vivre outre-Manche puis outre-Rhin et ma mère redoutait l’outre-Atlantique…
Cette fois, pas question de le déménager nous–mêmes ; en deux ans, il avait amassé meubles, vaisselle, linge de maison et appareils électroménagers en conséquence. Monique et moi – surtout Monique – l’avons aidé à faire ses cartons.
Puis le jour J arriva. Je le sentais à la fois soulagé de ne plus avoir à faire la route chaque jour et anxieux de ce nouveau départ. Un déménagement n’est jamais anodin ; on laisse toujours une petite part de soi dans les murs qu’on abandonne. Monique alla l’aider à emménager et je sentais bien qu’il avait très envie que je vienne aussi voir son petit nid, un appartement en duplex qu’il nous avait montré en photo. Par chance, je n’avais pas de travail urgent sous le coude ; j’ai donc pris la route avec lui. J’étais émue et fière de sa réussite. Il était heureux de me montrer chaque pièce de son T3. Nous n’avons pas eu le temps de ranger quoi que ce soit ; le temps pressait car il avait rendez-vous avec son ancienne propriétaire. Puis il me ramena à la maison et ne s’attarda pas car il devait encore récupérer son chat chez un copain qui l’avait hébergé le temps du déménagement. En même temps qu’il avait envie de partir vite pour être plus tôt chez lui, je sentais qu’il tardait, m’embrassant deux fois de suite. « Ce n’est pas loin ; on se verra aussi souvent qu’avant » promit-il. Nous avions tous deux une boule dans la gorge et une autre au creux du ventre. Le foutu cordon tirait dur…
Voici les salons littéraires auxquels je participerai prochainement :
18 et 19 septembre 2010 de 10h à 18h : Le Livre sur la Place à Nancy (54)
26 septembre 2010 de 10h à 19h : Salon du Livre à Xaronval (88)
5 décembre 2010 de 10h à 19h : Lunélivres à Lunéville (54)
J’espère avoir le plaisir de vous revoir ou de faire votre connaissance à l’une de ces manifestations.
Catherine Pederzoli, professeur d’histoire au lycée Henri Loritz de Nancy, a été suspendue pendant quatre mois par l’Education Nationale.
Depuis quinze ans, ce professeur de 58 ans organisait des voyages scolaires dans des camps de concentration en Pologne et en République Tchèque pour ses élèves de seconde, première et terminale.
Avec l’arrivée d’une nouvelle équipe de direction ont commencé les ennuis pour cette femme qui a fini par faire l’objet d’une enquête. Dans leur rapport, les inspecteurs signalent des « manquements aux obligations de réserve, de neutralité et de laïcité » et reprochent à l’enseignante « l’instrumentalisation des élèves » par des « lavages de cerveaux ».
Pour justifier cette accusation, ils ont noté que lors de l’entretien, Madame Pederzoli avait utilisé quatorze fois le mot « Shoah » contre une seule fois le terme « génocide ».
Ou ces inspecteurs font semblant d’être ignares ou il fallait absolument trouver un prétexte pour sanctionner ce professeur. Car si « Shoah » est un terme employé exclusivement pour évoquer l’extermination des juifs par les nazis lors de la Seconde Guerre mondiale, le génocide est le terme générique pour qualifier un massacre en masse d’une population définie : le génocide arménien, le génocide tutsi, le génocide de Srebrenica. La Shoah est le génocide juif.
La faute de ce professeur d’histoire est-elle d’avoir limité ses voyages aux seuls camps de concentration nazis au lieu de mener ses élèves sur les autres lieux de génocides ? Il faut dire cependant que Madame Pederzoli est juive, ceci expliquant peut-être cela.
Quoi qu’il en soit, j’espère qu’elle poursuivra son action jusqu’à la retraite, soutenue par ses élèves et ses collègues, car cela participe du devoir de mémoire, même si, bien sûr, la Shoah ne doit pas évincer les autres génocides.
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