Mon coeur battait pour Roger Federer ; Nadal l’a vengé. Tout est bien. Le lion ibérique, ici en plein exercice de sa puissance, est de la race des gagnants et ses représentants ont toujours ma sympathie ! Bon vent Rafa pour Wimbledon !
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Allez, Isa » pinaillons » un peu!…
Y a-t-il une race de gagnants ? La victoire serait-elle subtilement cachée dans les gènes ?
La victoire… merveilleuse, tant attendue, désirée serait-elle l’amante soumise de certains, dédaignant souverainement le commun des mortels ?
Et que dire de la « rage » de vaincre si bien révélée sur ce cliché !
Oui, je pense qu’il y a une race de gagnants. Je ne crois pas que la victoire soit une amante aisément soumise ; elle est exigeante et ne se soumet qu’aux méritants. Il faut mériter la victoire. Pour vaincre, il faut effectivement en avoir la volonté, pourquoi pas jusqu’à la rage, beaucoup travailler et avoir un peu de chance. Ce qui fait la différence est sans doute le mental. Sans se montrer trop sûr de soi, je pense qu’il faut croire en la victoire pour qu’elle vienne à soi. Si on ne se sent pas digne d’elle, elle s’en va voir ailleurs. Selon l’adage populaire, quand on veut on peut. Ce n’est peut-être pas aussi simple, mais il y a de cela quand même.
C’est trés bien décrit.
On a coutume désormais de dire : » l’adrénaline de la victoire ».
Je pense qu’effectivement, ce dépassement de soi permet de « tutoyer les étoiles » et peut devenir une sorte de drogue qui permet de vivre plus intensément.
pas d’ accord avec ce que je viens de lire
mais bon, je me tais car là, l’ épine de la souffrance physique n’ étant pas vraiment de mise sur ce sujet épineux pour moi, la victoire est loin de moi, les périodes qui auraient pu être faste sont sans doute parties,
le courage m’ aurait il manqué au point de faire fuir la chance et son trèfle a quatre feuille!je parle aux étoiles mais la dépassement de ma personne me mets à terre!
j’ en ai parlé a mon corps ………………..il ne semble pas d’ accord
alors, l’ humilité qui m’ habite pourrait elle empêcher la victoire!