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Archive journalière du 7 juin 2010

Le vainqueur de Roland Garros 2010

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Mon coeur battait pour Roger Federer ; Nadal l’a vengé. Tout est bien. Le lion ibérique, ici en plein exercice de sa puissance, est de la race des gagnants et ses représentants ont toujours ma sympathie ! Bon vent Rafa pour Wimbledon !

Ah ! ces artistes !…

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« Nos » Bleus ?

Ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas pro Le Pen… Mais lorsque Marine Le Pen déclare : « En réalité, cette équipe de France, hélas, ne représente plus la France, elle représente Nike, elle représente TF1, elle représente le Crédit Agricole, elle représente SFR, elle représente de l’argent » et « En 98, c’était l’équipe black-blanc-beur, maintenant c’est l’équipe fric-fric-fric. C’est bien regrettable » et enfin évoqué Frank Ribéry comme « contre-exemple pour notre jeunesse« , je ne peux hélas que lui donner raison. Idem pour les propos très critiques de Rama Yade sur l’hôtel de luxe qui accueille les joueurs alors que partout sont prônés la rigueur et des budgets à la baisse.
Mais cela n’empêchera pas les fans de foot de regarder « nos » Bleus taper dans le ballon pour un salaire mensuel que des smicards ne gagneront jamais dans toute leur vie de dur labeur. Et s’ils gagnaient (on peut rêver !), eh bien, tout leur serait pardonné et on les trouverait géniaux ainsi que le sélectionneur villipendé… On ne regarde parfois pas plus loin que le bout de la lucarne magique !

La consolante

laconsolante.jpg Un roman d’Anna GAVALDA

Lorsque Charles reçoit un avis de décès, il ressent comme un coup de poignard dans le coeur. Puis il se reprend, jette le carton à la poubelle et retourne à sa vie.
Architecte, il passe plus de temps dans les aéroports du monde entier que chez lui. Chez lui, c’est en fait chez Laurence, la femme dont il partage l’existence depuis une dizaine d’années. Entre deux avions, il voit aussi Mathilde, quatorze ans, la fille de Laurence et aussi un peu la sienne depuis toutes ses années.
Au milieu d’un vol pour Moscou, il craque. Les quelques mots lui annonçant la mort d’Anouk, la mère d’un ami d’enfance qu’il a perdu de vue, ont fait leur travail de sape. Dès lors, la vie ne sera plus tout à fait la même. Ce décès, déclencheur d’une longue remise en question, sera-t-il un mal pour un bien ?
Du pur Gavalda avec son style bien à elle, télégraphié, parlé, stéréotypé. Les fans seront comblés. Pour moi, sur 600 pages, ce fut un peu trop…




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