Durant l’hiver, une amie nous avait sollicitées pour l’emmener à la cascade de Tendon, près de Gérardmer, qu’elle ne connaissait pas. Nous avions donc fixé le lundi 31 mai en espérant que mon travail me permettrait de participer à la balade.
Depuis mercredi, nous étions dans l’incertitude quant à cette sortie en raison d’une météo très défavorable. Ce matin, après bien des tergiversations, nous avons décidé de prendre la route en début d’après-midi. Ce n’était pas le grand beau temps, mais il ne pleuvait pas. Et j’étais de la partie ainsi qu’une autre amie et bien sûr l’incomparable Véga !
Après la cascade de Tendon, nous sommes allées à Gérardmer mais avons rapidement renoncé à une balade autour du lac car le vent était glacial. Nous sommes donc parties à la recherche d’un salon de thé pour satisfaire au sacro-saint goûter d’une de nos deux amies. Malheureusement, de nombreux établissements étaient fermés et nous avons dû nous rabattre sur un… vulgaire bistrot !… La tarte de la patronne ne pouvant remplacer l’idée que s’était faite notre amie de son élégant goûter, elle avala son thé brûlant et nous nos chocolats fadasses et tiédasses !… Et nous reprîmes la direction de Nancy, Monique concentrée sur la route, les deux copines papotant à l’arrière, Véga profondément endormie à mes pieds et moi luttant pour ne pas sombrer dans les bras de Morphée après ce bon bol d’air frais !
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Archive mensuelle de mai 2010
En dédicace aujourd’hui à Cora Houdemont, j’ai vu des dizaines et des dizaines de personnes défiler devant moi à la recherche du cadeau de Fête des Mères.
Hélas, ils ne s’arrêtèrent pas tous à mon stand, même si j’ai vécu une de mes plus fructueuses séances de dédicaces depuis le temps que je publie des livres.
Ce qui me frappa cependant durant ces quelques heures ne fut pas l’indifférence de certaines personnes qui ne m’auraient pas prêté moins d’attention si j’avais été une potiche ! Si j’en juge par le nombre incroyable de clients de cette grande surface qui n’ont pas répondu à mes « bonjour », il y a à Nancy et ses environs un nombre inquiétant de sourds, lesquels, malheureusement, n’étaient pas muets !
Non, ce qui me frappa fut le nombre sidérant de personnes, sexes et âes confondus, qui ont soupiré et râlé devant la corvée de trouver un cadeau de Fête des Mères. Même si je ne suis pas friande de ces cadeaux sur commande d’envergure mondiale et à visée essentiellement commerciale, j’aurais aimé, aujourd’hui, avoir à acheter un cadeau pour maman… Et Malou, en couverture avec son époux du tome 2 de ma saga, m’adressait un clin d’oeil complice pour me dire qu’elle aussi aimerait bien être encore là pour découvrir demain le cadeau de sa fille… Alors à tous ceux qui ont soufflé en parcourant les rayons des magasins, pensez qu’un jour peut-être, hélas, vous n’aurez plus à vous acquitter d’une aussi belle corvée…
Cette année, nous avons célébré la fête des voisins à la date précise.
Très sceptique mercredi, dubitative hier et encore incertaine ce matin, j’étais finalement fixée en début d’après-midi : le ciel retiendrait ces gris nuages afin que nous puissions nous réunir dans le terrain communal, de l’autre côté de notre jardin.
Nous étions donc une vingtaine et chacun avait apporté quelque chose, qui du salé qui du sucré. Il y avait des cakes de plusieurs sortes, une tarte à la tomate, du saucisson, des radis, des champignons, etc. Ensuite, un gâteau aux pommes, un à la rhubarbe, aux abricots, aux cerises, des macarons, des fruits, etc. Le tout arrosé de rosé, de coca-cola ou de jus de fruit puis du café. Nos voisins marocains avaient apporté des crêpes et le fameux thé à la mente.
Nemanja Radulovic, violoniste d’origine serbe, que nous avions découvert il y a quelques années, nous a de nouveau enchantés hier lors du concert à la Salle Poirel de Nancy par son interprétation du concerto pour violon et violoncelle (Anne Gastinel) en la mineur, opus 102, dite « double concerto » de Johannes Brahms. Le jeune homme de 25 ans a une présence sur scène assez exceptionnelle dans l’exercice de l’art lyrique.
En deuxième partie, c’était la symphonie n°3 en ut majeur, opus 32 de Nikolaï Rimsky-Korsakov, le tout sous la direction de Paolo Olmi.
Une bien belle soirée en musique.
Un couple qui fêtait ses 13 ans de mariage mise 50 centimes dans une machine à sous et gagne le gros lot de 5,5 millions d’euros ! De quoi laisser venir la retraite tranquillement. A moins que cela ne soit le début de leurs ennuis et la fin de leur histoire d’amour ?
L’anecdote m’a donné l’idée d’un nouveau sondage sur les jeux de hasard. N’hésitez pas à voter ci-contre.
A la question « Etes-vous pour ou contre une loi pour interdire la fessée ? », 23 internautes ont voté :
4 pour
19 contre
Etes-vous pour ou contre une loi pour interdire la fessée ?
- Contre (83%, 19 Votes)
- Pour (17%, 4 Votes)
Nombre de votants: 23
C’est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas.
(Victor Hugo – Carnets, albums, journaux)
Nous étions hier à un concert offert par la municipalité dans les salons de l’Hôtel de Ville de Nancy. Le choeur des Cordeliers a interprété, pendant une heure et demie sans pause, des oeuvres de Wagner, Purcell, Bach, Handel, Dvorak, etc. sans oublier une très remarquable interprétation du chant traditionnel irlandais (ou écossais ?) intitulé Greensleaves par une soliste à la voix exceptionnelle. Le concert se termina par les trois hymnes : lorrain, français et européen. La trentaine de choristes reçurent une franche ovation et offrit au public enthousiaste deux bis : En passant par la Lorraine et La Marseillaise.
Après le concert, nous avons dégusté une glace Place Stan, à la terrasse des Césars (même pas peur !!!)
Un instant de douceur très apprécié après les turbulences de la semaine dernière sur un autre blog dont je suis l’administratrice…
Un roman de Marc Levy
La veille de son mariage, Julia reçoit un faire-part de décès. Son père, une fois de plus, se distingue par son absence. Et même si le motif est cette fois indépendant de sa volonté, sa fille ne peut s’empêcher de lui en vouloir de cette dernière « vacherie » et de transformer la célébration de son mriage en cérémonie funèbre.
Le lendemain, une énorme caisse est livrée à son domicile. Lorsqu’elle parvient enfin à l’ouvrir, elle découvre à l’intérieur son père, ou plus exactement un robot à son effigie flanqué d’une télécommande. Lorsqu’elle appuie sur le bouton, l’androïde se meut et s’exprime exactement comme ce père qu’elle pense haïr. Il lui propose de partir en voyage avec elle, histoire de mieux faire connaissance ; il dispose d’une autonomie de six jours. Elle peut aussi appuyer sur le bouton de la télécommande pour l’éteindre et faire enlever la caisse…
Du pur Marc Levy, fantasque, gentil, où tout va bien dans le meilleur des mondes. Distrayant.
Vous qui soutenez les étrangers
De RESF, de la CIMADE et d’autres entités,
Que de risques vous prenez
pour défendre de vos frères la dignité ;
Pour ces combats, vous êtes arrêtés et condamnés
au nom de ce honteux délit de solidarité ;
N’abandonnez pas votre radicalité
pour que nous puissions continuer à marcher, tête levée !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les bien nées, les LGBT,
ceux dont la différence heurte les préjugés,
Battez-vous pour assumer votre spécificité ;
Résistez pour affirmer votre altérité ;
Pour qu’au nom de l’égalité,
vos amours puissent prospérer,
n’en déplaise aux culs-pincés !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les avocats engagés
pour défendre les plus déshérités ;
Des droits de l’homme, vous êtes les piliers ;
Défenseurs des causes désespérées,
vous plaidez sans bourse déliée
par solidarité avec les plus éprouvés
pour faire triompher la Justice et la Vérité !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les juges des enfants menacés
pour avoir de l’Education fait une priorité ;
Nos enfants, de la prison vous avez préservés
pour en faire des hommes respectés
debout dans la dignité,
ayant leur juste place dans notre société ;
De vous, jamais notre justice ne pourra se passer !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les femmes libérées
des violences protégées,
du fanatisme préservées,
Ne laissez plus vos corps mutiler
et vos droits piétiner ;
A la parité, jamais ne renoncerez
tant que l’égalité ne sera pas réalité,
pour que sororité rime avec fraternité !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les éducateurs stigmatisés,
les instituteurs méprisés
par un système de plus en plus verrouillé ;
Au nom de l’égalité,
vous ne cessez de vous démener
Pour aider les plus en difficulté,
Pour éduquer à la citoyenneté,
vous prenez le risque de désobéir à l’autorité;
Avec vous, nous voulons résister !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les militants de la solidarité
souvent critiqués
pour avoir perdu le sens des réalités ;
Par les bien-pensants et les privilégiés
vous êtes vilipendés
pour avoir l’ordre établi contesté;
Personne ne peut vous reprocher
de rêver à un monde de fraternité
dans lequel chaque homme sera honoré;
Transmettez ce bel idéal à la postérité !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, les semeurs de liberté,
du GENEPI dans nos prisons surpeuplées
à l’ ODEBI sur le net verrouillé;
Ne les laissez pas mettre en coupe-réglée
nos précieuses identités;
Continuez à lutter
pour que, dans quelques années,
nos enfants puissent encore crier
ce beau nom de liberté !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
Vous, dont les aînés,
par leurs luttes acharnées,
ont conquis au prix de leur liberté
de la démocratie, les droits les plus sacrés ;
Redonnez à notre pays, plongé dans l’obscurité,
blessé par tant de vulgarité,
abaissé par tant d’indignité,
la passion de l’égalité
le goût de la fraternité
et les lumières de la liberté !
LIBERTÉ, je crie ton nom !
(Poème écrit par des militants progressistes pour les Feux de la Liberté 2010)
Toi, le sans-papiers
appelé sur les chantiers
pour travailler
sans être déclaré ;
Traqué par les policiers
contrôlé, fouillé, humilié,
atteint dans ta dignité,
du haut d’un pont, tu t’es jeté !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, le réfugié
pour fuir de ton pays les atrocités
loin des tiens, tu t’es exilé
pour rejoindre le pays de la fraternité ;
Jugé et condamné
dans un charter improvisé,
tu as été jeté,
pour assurer notre tranquillité !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, l’enfant en difficulté
la misère de tes parents, tu as payée,
quand leurs allocations ont été supprimées,
du minimum vital, tu as été privé ;
Des bonnes manières, tu n’as pas hérité ;
A la maternelle, tu étais dissipé ;
Par ton instituteur, tu as été fiché ;
comme un futur délinquant, tu as été identifié ;
ton destin est ainsi tout tracé !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, l’adolescent agité,
ton avenir a été sacrifié
quand l’ordonnance de 45 a été supprimée ;
D’éducation, tu n’as pas bénéficié ;
Aucune deuxième chance ne t’a été donnée ;
De tes parents, tu as été éloigné ;
Avec des délinquants chevronnés, tu as été enfermé !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, l’homme marginalisé
de gaz malodorant, tu as été asphyxié
pour t’éloigner de nos supermarchés ;
Comme un parasite, tu as été éradiqué,
toi, l’alcoolisé, le pestiféré,
tu faisais peur à nos paisibles retraités !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, le prisonnier injustement condamné
privé de toute intimité, de toute dignité ;
Fatigué de lutter
contre tant d’inhumanité,
un jour, tu nous as quitté pour l’obscurité
en quête d’éternité !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, la femme baillonnée,
humiliée et victime de préjugés ;
À la moindre contrariété
tu étais tabassée ;
Pour t’émanciper,
tu t’es rebellée ;
Abandonnée à ta triste destinée,
Par ton homme, tu as été torturée !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi l’autorité constituée
Pour satisfaire les âmes bien nées ;
Aux combattants de la fraternité
Tu t’es attaquée
En inventant le délit de solidarité
Oubliant qu’ils n’accomplissaient que leur devoir d’humanité !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi, France, honneur du monde civilisé
Terre des arbres de la liberté ;
De l’humanité, tu étais la fierté
De toutes les résistances, tu étais le foyer
Du sang de tes enfants
tu as été baptisée !
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
Toi qui, dans le monde entier, prône l’exemplarité,
Toujours prompte à délivrer un message d’universalité,
tes lumières disparaissent dans l’obscurité ;
Pourquoi as tu cessé d’entretenir les feux de la liberté?
Pourquoi as-tu oublié de chérir ce trésor sacré
qu’ est notre liberté ?
LIBERTÉ, ils ont oublié ton nom !
(Poème écrit par des militants socialistes pour les Feux de la Liberté 2010.)
Recueil de lettres (Christopher J. Dodd & Larry Bloom)
Thomas Dodd fait partie de l’équipe de juristes américains qui compose le tribunal pour le procès le plus fameux de l’Histoire. Son talent et son intégrité le propulsent sur le devant de la scène et il devient le procureur en second. Pendant un an et demi, chaque soir, il écrit à son épouse demeurée aux Etats-Unis avec leurs enfants. Des décennies plus tard, leur fils Christopher tombe sur ce trésor dans le grenier de la maison familiale et décide de choisir dans cette masse de lettres un florilège qu’il décide de publier afin de donner à cette page de l’Histoire une lumière tout à fait inédite et personnelle.
La correspondance est intéressante car elle dévoile les querelles et les manigances qui ont agité les juristes alliés. On peut juste regretter que la politique ait prévalu dans les courriers au détriment du déroulement proprement dit du procès.
Pour la nuit des musées 2010, nous avions choisi de visiter la Villa Majorelle. Située à Nancy, à proximité de l’église du Sacré Coeur, la maison personnelle de Louis Majorelle fut construite selon les plans de l’architecte Henri Sauvage en 1901-1902. Première maison entièrement Art nouveau de nancy, elle est ouverte au public depuis 1997.
Compte tenu du coût très modéré de la visite avec un guide conférencier, mieux vaut s’y rendre en dehors de la nuit des musées…
Pour connaître les conditions de visite : http://www.ecole-de-nancy.com/web/index.php?page=infos-pratiques-2
photo : Michel Gangne , AFP/Archives
Après la vague d’interdictions de rassemblements suite à la mort d’un participant à Nantes à un apéro géant lancé sur Facebook, faut-il également interdire les petits trains touristiques suite à l’accident survenu à Marseille, ayant occasionné douze blessés dont trois gravement ?
La France, jadis pays de la liberté, va-t-elle devenir celui des interdits tous azimuts ?
Un film de Ridley Scott avec Russell Crowe, Cate Blanchett, Mark Strong, etc.
Archer du roi, Robin lutte contre l’envahisseur français. A la mort de Richard Coeur de Lion, Jean devient roi.
Pour honorer une promesse faite à un soldat mort sur le champ de bataille, Robin se rend à Nottingham pour rendre l’épée du fils à son père. Il fait la connaissance de Loxley, le père, et de Marianne, l’épouse devenue veuve. Pour gagner le coeur de la belle dont il s’est épris, Robin réunit une armée et se lance à l’assaut des seigneurs qui écrasent le peuple.
Un grand film d’action, assez violent, – mais on ne faisait pas la guerre au Moyen Age sans trancher quelques têtes d’un habile revers de l’épée ! - avec un Russell Crowe très crédible dans le rôle.
L’apéro géant organisé par Facebook sur la Place Royale de Nantes s’est terminé par la chute mortelle d’un jeune homme qui est passé par dessus un pont.
Les autorités, dépassées par l’ampleur de ces évènements, s’émeuvent de ce décès et persistent à vouloir interdire ces apéros géants. Même si un mort est toujours un mort de trop, le pourcentage est très faible quand on sait que ces apéros drainent jusqu’à dix mille personnes. La sortie des stades de football après des rencontres « importantes » a souvent des conséquences bien plus catastrophiques et les sorties des boîtes de nuit sont bien plus meurtrières.
Au lieu d’opter pour une solution répressive, comme cela devient de plus en plus la mode, les autorités ne devraient-elles pas préférer une étroite collaboration avec les organisateurs avec un service d’ordre et de secours adapté ? Sachant que le risque zéro n’existe pas, à moins de décréter un couvre-feu général dès 20 h 00…
J’étais jeudi 6 mai l’invitée, avec Sylvaine Arrivé, autre écrivain lorrain, de Yves Issartier sur Radio Caraïb Nancy, RCN 90.7
Pour ceux qui me l’ont réclamé, voici le lien pour écouter l’émission sur Internet, sur le site de la radio. En dessous de « Podcast », cliquer sur « Marque page 06/05 Zaz Chalumeau ».
http://www.rcn-radio.org/
J’en profite pour vous signaler que je serai de nouveau en direct sur cette antenne le 21 juin de 15h à 16h, cette fois en compagnie de Monique pour parler de l’association peinture-poésie.
Le 23 juin, de 17h à 18h, je participerai sur cette même antenne à une émission commune sur la poésie.
Un film d’Alexandre Arcady avec Patrick Bruel, Vincent Elbaz, Pascal Elbé, etc.
David, dernier d’une fratrie de cinq garçons, revient dans sa famille après de longues années d’errance. Blessé, il raconte ses années de prison, son amitié avec un gangster, la trahison et la traque. Dan, l’aîné, accepte d’héberger ce petit frère qu’il n’a jamais compris, par amour pour leur mère devenue veuve très tôt. Mais les deux frères supportent mal la cohabitation et David finit par repartir. Il faudra la révélation d’un lourd secret pour que les cinq frères se retrouvent comme jadis, unis comme les cinq doigts de la main, à la vie et à la mort.
Un bon policier, bien ficelé, avec une kyrielle de bons acteurs. A voir et pas seulement pour le beau Patriiiiiiiiiiiiiiiiiick !
Le samedi 1er mai 2010 (et non le 1er avril comme indiqué sur l’article ci-dessus !) le Père Gilbert, prêtre loubard réputé, affirmait avoir reçu des « branlées » de son père et en avoir lui-même infligées à des ados récalcitrants dans son centre d’accueil.
Cependant, la députée UMP Edwige Antier espère faire voter un texte visant à interdire tous les châtiments corporels, y compris bien sûr la fessée. Selon cette femme pédiatre, la fessée rendrait les enfants agressifs.
Cet article me donne le sujet d’un nouveau sondage : pour ou contre l’interdiction de la fessée ?
A la question : « Les allocations familiales seront suspendues pour les parents d’enfants absentéistes. Etes-vous pour ou contre? » :
22 visiteurs ont voté
17 sont pour
5 sont contre
Les allocations familiales seront suspendues pour les parents d'enfants absentéistes. Etes-vous :
- Pour (77%, 17 Votes)
- Contre (23%, 5 Votes)
Nombre de votants: 22
Un film de Dominique Farrugia et Arnaud Lemort avec Clovis Cornillac, Manu Payet, Virginie Efira, etc.
Vincent est avocat et coureur de jupons, Michel est architecte et romantique. Décidé à mettre en pratique l’adage selon lequel l’homme aurait un sexe à la place du cerveau, l’un essaie de raisonner l’autre, accroché à la thèse familiale que seules les rencontres fortuites peuvent donner des histoires d’amour durables. Amis d’enfance, les deux hommes tentent de se convaincre mutuellement et finiront par faire chacun un bout de chemin vers l’autre.
Une gentille comédie avec une bien jolie Virginie Efira, un Cornillac attendrissant et un Payet désopilant.
Invitée pour la première fois au marché aux livres et auteurs de Saint-Nicolas-de-Port, j’avais pris mes précautions et endossé un pull surmonté d’une veste en polaire. En effet, lors d’un précédent salon, des amis auteurs m’avaient prévenue qu’ils avaient eu froid l’année dernière…
Je trouvai une place sur le parking juste en face du monument aux morts, entre deux emplacements équipés d’une interdiction temporaire de stationner entre 10h et 12h en raison de la cérémonie du 8 mai. Je me glissai donc à cette place dépourvue de panneau d’interdiction et me rendis à pied, ma valise en métal bourrée de livres à la main, rue Bonnardel où se trouve la chapelle de la Congrégation.
A mon arrivée, l’organisateur me conseilla vivement de déplacer ma voiture, l’interdiction concernant, selon lui, toutes les places situées entre les deux panneaux, en l’occurrence une seule. Il me guida vers ma table et je m’installai. Il régnait en la place un froid polaire…
Je retournai au parking – sur le pare-brise un petit papillon de la police municipale me donnait un avertissement mais pas de PV puisqu’il n’était pas encore 10 h 00 – et déplaçai mon véhicule.
Nous étions, les auteurs, placés sur une estrade ronde. Nous voyions en dessous déambuler les visiteurs ; peu d’entre eux se décidaient à venir jusqu’à nous… Un auteur harangua la foule, une autre fit mine d’entamer un strip-tease, rien n’y fit ; ils ne furent que quelques-uns à se décider à gravir le petit escalier de fer pour nous rejoindre et découvrir nos livres. Mais je retrouvais avec plaisir les amis auteurs que je rencontre régulièrement sur tous les salons que je fréquente dans l’année. La journée fut longue, glaciale et peu lucrative, mais dans une atmosphère conviviale entre personnes qui partagent la même passion. Et puis, en fin de journée, une rencontre prometteuse de commande. Car pour moi, les salons sont aussi l’occasion de faire de la pub pour mon boulot et cela vaut plus que la vente d’un ou deux bouquins. Je repartais donc, ma valise à peine moins lourde qu’au matin, mais avec l’espoir d’agrandir bientôt la liste de mes clients d’un nouveau nom.
Merci aux amis qui sont venus me faire un petit coucou.
La photo a fait le tour de la toile.
Madame Alliot-Marie veut soumettre au parlement un ajout législatif permettant de punir les outrages au drapeau tricolore et à l’hymne national, symboles de notre République.
Eric Besson, qui n’avait pas hésité à faire un doigt d’honneur à un journaliste en septembre dernier, s’est déclaré profondément choqué par cette photo.
Ce qui me choque, c’est l’atteinte toujours un peu plus à la liberté d’expression, liberté étant tout de même un des mots-clés de notre devise.
Les humoristes et les artistes ont du souci à se faire. En effet, on ne peut plus se moquer de rien ni de personne sans risquer l’amende voire davantage. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, il y avait eu un tollé général pour défendre la liberté artistique dans l’affaire des versets sataniques ou celle des caricatures… Pourquoi le gouvernement, dont certains membres n’hésitent pas avoir des mots et des gestes déplacés, montent-ils à ce point sur leurs grands chevaux à propos d’une photo, probablement le fruit d’une mise en scène, qui a gagné le prix d’un concours dans la catégorie « politiquement incorrect » ?
Ne serait-ce pas pour détourner l’attention du pauvre Français qui crève un peu plus chaque jour, en quête d’un emploi, écrasé par la flambée des prix à la pompe et au supermarché, asphyxié par la surenchère des taxes ?
Après les cafards morts et vivants dans les cuisines d’un restaurant de la Place Stan à Nancy, voici les haricots verts en boîte au datura ! Le caractère relativement toxique du produit a fait rapidement réagir le fabricant qui appelle tous les consommateurs à rapporter les conserves au magasin.
Lorsque j’habitais dans mon appartement à Nancy, j’ai eu, pendant plusieurs années, un magnifique datura en pot. Ses fleurs, majestueuses et très odorantes, nous donnaient un mal de crâne de cheval ! A regrets, car elle faisait un très bel effet dans mon salon, je m’étais séparée de la belle…
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