Trois Alérions et puis s’en vont…

alrion2009.jpg L’adage populaire, une fois de plus, s’est vérifié : jamais deux sans trois !
En 2002, j’ai obtenu le Grand Prix des Poètes Lorrains décerné par la SPAF (Société des Poètes et Artistes de France). Je pouvais dès lors participer au concours de l’Alérion d’or résevé aux Lorrains détenteurs du Grand Prix. Moi qui aime les défis et la compétition de haut niveau, j’étais comblée puisque nous concourions entre nous, tous poètes d’égal talent puisque tous récompensés par la même distinction. A ce concours élitiste, plus de borgne roi au milieu des aveugles ! J’adorais le principe.
J’ai donc participé chaque année à ce concours du Grand Prix des Grands Prix, en quelque sorte, dès 2003. J’ai obtenu l’Alérion d’or en 2005, puis en 2007 et de nouveau en 2009 !
Malheureusement, j’ai été déclarée à l’avenir « hors concours » pour laisser aux autres plus de chances d’obtenir ce titre… Dommage !… Personnellement, je crois que je n’aurais pas aimé que l’on supprime le favori de la compétition, car à vaincre sans péril, ne triomphe-t-on pas sans gloire ?
Pour découvrir les cinq poèmes primés : http://zazecritoire.unblog.fr/poemes/ 

9 Réponses à “Trois Alérions et puis s’en vont…”


  • Félicitations d’avoir obtenir la limite des prix! C’est vraiment un accomplissement.

  • je viens de parcourir avant de partir tes textes primés ils sont tous aussi joliment écrit la chambre funéraire est un de mes préférés le choix des maux aussi, et la mort d’ un jeune homme
    j’ aime le moi de mai écrit avec des mots légers et puissants à la fois!
    merci de ces messages qui sont le reflet de bien des souffrances mis en poésie c’ est bien plus harmonieux, facile à lire la gorge est parfois nouée qt même les mots sont forts!
    bravo pour l’ alérion

  • Félicitations ! C’est toi la meilleure !

    Tu sais que j’ai toujours beaucoup aimé tes poèmes, surtout lorsqu’ils traitent de sujets graves. J’ai donc lu avec beaucoup de plaisir ces poèmes pour lesquels tu as été primée.
    Je suis de ton avis : si je devais concourir pour l’alérion, je n’aimerais pas que les meilleurs poètes en soient exclus au bout de trois victoires. C’est tirer l’ensemble des candidats vers le bas (même s’ils sont tous bons), alors que les mettre en concurrence avec l’excellence (que tu as représentée trois fois) me paraît stimulant et une victoire, dans ce cas, bien plus importante.

  • Isabelle,

    je ne connais pas cette société poétique, mais je suis consterné par cette attitude qui consiste à se débarrasser des meilleurs qui font de l’ombre aux moins bons.
    A votre place, je quitterais cette association qui ne vous mérite pas !

  • Oh le vilain conseil, monsieur des Jean T !

    Nous avons notre Isa, référence de la S P A F et nous la gardons!

    ( toutes les sociétés littéraires ne peuvent pas se vanter d’avoir parmi leurs membres des lauréats imbattables!)

  • Merci Joëlle ! Mais je considère que personne n’est imbattable et cela aurait dû justement être un défi intéressant pour tous mes concurrents plutôt que se réjouir de me voir hors concours pour accéder plus aisément à la plus haute des distinctions de la SPAF.
    Mais rassure-toi, je n’ai pas encore l’intention de quitter ma famille poétique. Et puis, n’est-ce pas le lot des familles, de voir ses membres parfois se heurter ?

  • La floraison de prix littéraires est une spécificité française : à côté des grands prix d’automne (de l’Académie française à l’Interallié, en passant par le Goncourt, le Renaudot, le Femina et le Médicis), une multitude de récompenses plus ou moins prestigieuses sont distribuées tout au long de l’année. « C’est unique au monde », explique Bertrand Labes, auteur du Guide des prix et concours littéraires, qui en a recensé plus de 2 100, sans compter les prix remis à des ouvrages étrangers. « J’ai l’impression d’en découvrir un nouveau tous les jours », s’amuse Pascal Thuot, responsable de la librairie Mille pages à Vincennes. Dernier repéré, le Prix du livre d’aventures vécues, remis à Rory Stewart pour En Afghanistan (Albin Michel). Même Francis Geffard, propriétaire de la librairie et éditeur dans cette maison, en ignorait l’existence !
    Quel est l’impact réel de ces distinctions ? Vu des librairies, il est très limité.
    Donc pour toi ZAZ, une seule alternative, il faut décrocher le Goncourt ou le Fémina, c’est ta prochaine étape obligatoire !
    Bisou
    Bernard

  • sincère félicitations, continue comme cela, bientôt, ton nom figurera parmi les plus grands.
    encore bravo !

  • jacquou le Marseillais

    Isabelle, vos poèmes sont d’une très grande qualité !
    Donnez-moi votre adresse et je vous enverrai le règlement de notre concours. Et si vous ne voulez pas faire le concours, nous vous accueillerons comme invitée d’honneur. Mes amis poètes et moi-même serions très fiers de vous recevoir.
    Ne restez pas sur cet affront, et surtout que cela ne vous empêche pas d’écrire !

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