C’est aujourd’hui la rentrée des classes pour les enfants des maternelles et du primaire. C’est donc un grand jour pour notre petit voisin Zacharia qui entre en première année de maternelle. Quand je vois le bambin rêveur, assis dans son petit fauteuil de jardin, agiter sa petite main quand il me voit, je me dis qu’il quitte un nid douillet, un cocon de douceur, pour une arêne où les fauves et les requins se disputent la première place, et cela pour les vingt années à venir… Et au terme de sa scolarité, il entrera dans le monde non moins cruel de la vie active.
Ah Zakou, je te plains de devoir quitter ton petit univers où tu vivais tranquillement, même si tu t’y ennuyais un peu (dixit ta maman) quand tes frères et soeurs se trouvaient à l’école ! Je te trouve bien tendre, petit bonhomme à peine bien planté sur tes jambes, pour te confronter à la dure réalité des cours d’écoles… Mais il paraît que c’est la vie !… Alors je te souhaite une belle rentrée, une belle première rentrée, la plus difficile, la première de tant d’autres. Tu vas faire connaissance de gamins et gamines aussi impressionnés que toi et surtout, tu vas apprendre de nouveaux jeux, tu vas écouter de nouvelles histoires, tu vas tenir de nouveaux petits livres entre tes mains : le début de la découverte sans fin d’un monde vaste et infiniment riche : la culture.
je viens de lire l’article sur la rentrée des classes.
c’est vrai que voir partir un petit bonhomme pour l’école et quitter le cocon familiale, cela rend un peu triste.
je sais que c’est la vie et c’est parfois cruel, car on sait, bien sûr, qu’il en prend au moins pour 20 ans, mais c’est quand même un déchirement.
de plus, dès que les enfants entrent à l’école c’est une autre vie qui commence pour eux et c’est aussi, pour une mère, un peu de l’enfance qui s’en va.
là, on se rencontre qui nous échappent et que les copains passent avant.
c’est vrai que c’est triste de voir un enfant quitter le cocon familiale pour l’école.
je sais aussi qu’après les enfants ne sont plus les mêmes, ils nous échappent un peu et les copaine deviennent plus importants que la famille.
c’est normal, c’est la vie, nous avons fait la nôtre, à eux de faire la leur.