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Archive mensuelle de juillet 2009

LA mongolfière de Chambley

J’avais réussi à terminer à temps une commande urgente et nous étions parties pour Chambley où a lieu du 24 juillet au 2 août le plus grand rassemblement européen de mongolfières qui fête cette année son vingtième anniversaire. Nous avions choisi le mercredi 29 juillet, car outre le départ en masse de plusieurs centaines de ballons à 18h30, avait lieu à 22h00 un embrasement au sol. Nous y avions assisté il y a quelques années et c’était vraiment spectaculaire. Or si le départ en ligne est biquotidien pendant toute la durée de la manifestation, l’embrasement en revanche n’a lieu qu’une fois, et c’était hier.
La météo capricieuse de ces dernières semaines nous avait fait craindre le pire. Mais finalement, pour notre plus grande joie, il faisait beau et chaud.
A proximité du site, un bouchon interminable se dessinait… Nous prîmes la suite, rassurées par le fait que, si nous rations le départ, nous pourrions toujours prendre des photos des mongolfières en vol. Un peu plus loin, des gendarmes régulaient la circulation et enjoignaient les automobilistes à faire demi-tour… Nous avions tous suivi un mauvais fléchage ! Enfin arrivées au bon endroit, un jeune bénévole nous signala que tous les parkins étaient saturés. Nous prîmes d’assaut, avec d’autres, un champ de blé fraîchement moissonné. Puis nous partîmes à pied, sur environ deux kilomètres, vers le site.
L’heure de l’envol massif était déjà largement dépassée et nous nous étonnions de ne voir aucune mongolfière dans le ciel bien dégagé…
Au fur et à mesure que nous avancions, nous rencontrions une foule grandissante qui marchait dans le sens inverse… Je captai quelques mots : dommage, météo, vent… Et toujours aucun ballon en vue…
Sur le site, nous entendîmes une voix dans un haut-parleur annoncer l’annulation de la manifestation. On nous confirma que tout, même l’embrasement, était bien annulé en raison du vent, trop fort en altitude, et reporté au lendemain. Quelle déception !
Un hot-dog et une crèpe plus tard, nous reprenions le chemin vers la voiture. Nous vîmes alors soudain UNE mongolfière unique monter dans le ciel ! Mais elle ne fut rejointe par aucune autre.
Voilà… dommage ! Vous n’aurez pas les superbes photos que Monique, qui avait pensé à prendre le trépied, pensait prendre… Vous n’en aurez qu’une…

mongolfires002.jpg

Le rapport de Brodeck

lerapportdebrodeck.jpg Roman de Philippe Claudel

Brodeck, à peine revenu de « là d’où l’on ne revient pas », est contraint d’écrire un rapport sur un événement dramatique qui vient de se passer au village. Ce « rapport » sera pour lui l’opportunité de dire toutes les choses qu’il a tues depuis bien longtemps.
Ce roman, très noir, se situe dans une contrée et dans une époque suggérées : un territoire frontalier de l’Allemagne , avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.
Dans cet ouvrage, Philippe Claudel décrit, une fois de plus, tout ce que l’homme a de plus vil en soi.
Un livre superbement écrit qui ne laisse aucune illusion au lecteur sur l’humanité…

The reader

leliseurthereader15072009101220081m.jpg Film de Stephen Daldry avec Ralph Fiennes, David Kross, Kate Winslet, etc.

Fin des années 50 à Berlin, Michael Berg, 15 ans, rencontre une jeune femme, Hannah, 35 ans et très mystérieuse. Ils deviennent amants et vivent une relation très passionnelle. Dans le rituel de l’amour vient rapidement s’imbriquer celui de la lecture. Pendant plusieurs mois, avant chaque étreinte, Michael lit à haute voix des oeuvres classiques à la jeune femme. Puis un jour, sans prévenir, Hannah disparaît. Le garçon ne s’en remettra jamais. Huit ans plus tard, étudiant en droit, Michael retrouve Hannah sur le banc des accusés lors d’un procès des crimes de guerre nazis…
Un film chargé d’une très grande émotion et qui renvoie à l’éternelle question : qu’aurais-je fait à sa place ? A voir absolument, un des meilleurs films vus récemment.

Les papillons de Dombasle

Jean-Luc, le mari de ma meilleure amie, nous fait profiter des photos qu’il a prises dans leur jardin :

Les papillons de Dombasle
Album : Les papillons de Dombasle
Sylviane et Jean-Luc sont envahis par une myriade de papillons qui viennent butiner leur parterre de lavande.
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La Lavandière d’Igney encore…

L’Est Républicain a publié aujourd’hui un article sur la soirée présentation de mon dernier livre qui a eu lieu à Heillecourt le… 5 juin dernier !
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Publié le : vendredi 17 juillet 2009
Au contact des lecteurs

Isabelle Chalumeau parmi ses lecteurs dans la salle arc-en-ciel.
Isabelle Chalumeau parmi ses lecteurs dans la salle arc-en-ciel.
La Lavandière d'Igney encore... dans Coupures de presse

Tenir le contact avec son public, voici certainement une aspiration qui tient beaucoup au cœur d’Isabelle Chalumeau qui vient de publier la « Lavandière d’Igney ».
Dernièrement, une séance de dédicaces a réuni dans la salle arc-en-ciel, bon nombres de fidèles et amis toujours sensibles à la parution de ses nouveaux livres.
Le maire Didier Sartelet et plusieurs membres du conseil municipal ont accueilli l’écrivain heillecourtois qui a déjà édité un nombre conséquent d’ouvrages.
Face à ses lecteurs, « Zaz » a livré les ressorts de sa passion pour l’écriture.
Le roman qu’elle dédicaçait « La lavandière d’Igney » retrace la vie et le portrait d’une femme au caractère bien trempé.
Ce livre est aussi le premier tome d’une saga qui ramène l’auteur à sa propre famille et à celle de sa compagne.
Isabelle Chalumeau a aussi témoigné de la solitude de l’écrivain et de la pugnacité nécessaire pour assumer les contraintes de l’édition à compte d’auteur.
Franchissant les rangs du public, Joëlle di Sangro membre de la délégation lorraine de la « Société des poètes et artistes de France », est venue apporter son soutien à l’auteur.
« Isabelle a déjà remporté notre grand prix littéraire et l’alérion d’or, elle fait partie des rares écrivains a maîtriser l’art de la poésie » a-t-elle déclaré.
Le livre « La Lavandière d’Igney » est disponible au rayon librairie de Cora Houdemont.
Renseignements sur le site : http://ichalumeau.free.fr  »

 

Le jardin éphémère 2009 de Lunéville

Jusqu’au 20 septembre 2009, le musée du château de Lunéville accueille une exposition « Turqueries et autres chinoiseries » tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h et de 14h à 18h.
En écho à cette exposition sur l’exotisme en Lorraine au XVIIIe siècle, un jardin éphémère a été réalisé dans la cour du château. Ouvert jusqu’au 13 septembre tous les jours de 6h à 22h. Mise en lumières les vendredis et samedis de 22h à 23h.

Les jardins éphémères 2009 de Lunéville
Album : Les jardins éphémères 2009 de Lunéville

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Liberté d’expression… oui mais…

J’avais eu l’intention d’écrire un papier sur l’interdiction de chanter dont est frappé Orelsan aux Francofolies de La Rochelle. Pour étayer mon propos, il eût fallu chercher sur Internet les paroles des chansons incriminées. Or, franchement, le peu que j’avais entendu à la télévision ne me donnait pas envie de me pencher davantage sur ce personnage qui ne mérite même pas la publicité qui lui est faite en lui interdisant de chanter.
Si je ne suis pas fan de rap, je ne suis pas non plus pour l’interdiction pure et simple de produire des artistes qui n’ont pas l’heur de me plaire. Encore que parfois, lorsque j’entends ou que je vois Chantal Goya, je me dis qu’il faudrait quand même faire quelque chose pour la protection de nos enfants !…
J’avais donc, par paresse et dégoût, renoncé à écrire sur le sujet. Mais une de mes connaissances, magistrat, m’a envoyé un mail dans lequel il s’insurge contre ceux qui protestent contre l’interdiction. Pour justifier son point de vue, il a inséré des fragments de paroles de plusieurs chansons. Alors là, je n’ai plus d’excuse pour ne pas ajouter ma pierre à l’édifice que souhaitent ériger les défenseurs de la dignité humaine. Les paroles des chansons de cet homme que je peine à qualifier d’artiste sont à vomir. Je vous laisse juge en allant voir le fichier joint.
Au nom de la liberté d’expression, on ne peut pas tolérer tout et n’importe quoi. Pourquoi sinon s’insurger contre les propos scandaleux de Monsieur Le Pen et le traduire en justice ? Pourquoi inculper Dieudonné pour insultes raciales ?
Il est intolérable, sous prétexte de liberté et d’expression artistique, de laisser un chanteur faire ainsi l’apologie de la violence envers les femmes. Car si on accepte de laisser un homme débiter de telles insanités, pourquoi ne pas laisser un autre dessiner au canif de jolies figures sur la peau d’une femme, le couteau se substituant au pinceau et le corps à la toile ? Au nom de la liberté d’expression artistique ?…
 Liberté d'expression... oui mais... dans Faits de societe doc orelsan.doc

Où on va, papa ?

oonvapapa.jpg Témoignage de Jean-Louis Fournier

Ce livre aurait pu être un roman ; il se trouve qu’il relate la vraie vie d’un homme père de deux enfants lourdement handicapés. Après la naissance de Mathieu, le couple « remet » ça parce qu’on ne peut pas avoir deux fois de suite la malchance d’engendrer un enfant anormal. Eh bien, si ! Thomas naît avec les mêmes déficiences que son frère, peut-être à un degré moindre. Il n’empêche que Jean-Louis Fournier et son épouse auront un troisième enfant, cette fois une petite fille, tout à fait normale.
Avec beaucoup d’humour destiné à cacher la souffrance, l’auteur nous livre des bribes de vie, des anecdotes vécues avec ses deux gamins « qui ont de la paille dans la tête », les blessures d’un père sans cesse confronté à la normalité des autres gosses et à la maladresse voire la bêtise de certains parents qui remuent le couteau dans la plaie.
Un récit court très émouvant et très bouleversant car J.L. Fournier, sans chercher à se plaindre ni à donner des leçons, ne s’épargne pas et n’épargne pas le lecteur. A lire absolument pour essayer de porter un regard différent sur le handicap.

Alabama song

alabamasong.bmp Roman de Gilles Leroy

Prix Goncourt 2007, ce livre nous emmène dans l’univers de Zelda Sayre Fitzgerald, épouse de Scott Fitzgerald qui connut la gloire très jeune avec son premier roman « L’envers du Paradis ». Devenu la coqueluche des soirées branchées du New-York des années 20, le jeune couple ne survivra pas à la célébrité et sombrera dans la déchéance par l’alcool et la folie.
L’auteur s’est glissé dans la peau d’une femme pour évoquer les souffrances d’une épouse vampirisée par son époux célèbre.

Chats dans la cheminée

Chaque matin, Véga sort de la maison comme une furie pour aller chercher sa balle et accessoirement faire pipi. Ce matin, elle ne décolérait pas. J’allais sortir du bureau pour la faire taire lorsque j’entendis Monique prononcer le mot « chat ». J’ai cru avoir mal entendu…
Mais non, il y avait bien un chat chez nous ! En fait, pas tout à fait chez nous car plus exactement dans la cheminée extérieure, sur la terrasse, qui fait office chez nous de barbecue ! Je m’avançai et vis la petite chatte grise que je rencontre régulièrement sur le parking sans pouvoir l’approcher. Elle s’était glissée derrière le bac à charbon de bois, contre le corps de la cheminée. Pour la deuxième fois, un chat avait fait de cet endroit son nid !!!
Mais Véga n’est pas Lorca, encore que notre feu labrador ne débordait pas d’enthousiasme à l’idée de nous partager avec un matou !…
Véga, elle, hait les chats. Comme elle hait d’ailleurs la plupart des chiens, les hérissons, les souris, les lézards, les araignées, les papillons, les mouches, les abeilles, les oiseaux, les escargots, les vaches, les moutons, les chèvres, les chevaux… Bref, Véga déteste tous les êtres vivants hormis les humains. Il a donc fallu tenir la chienne enfermée pour s’approcher. Lorsque j’ai enlevé la grille du barbecue, la chatte a soufflé, sans plus, un simple avertissement. Mais je me le tins pour dit.
Un peu plus tard, Monique m’annonça qu’en plus d’une chatte, il y avait aussi un bébé… puis deux qui n’étaient plus des nouveau-nés mais déjà des chatons !!! Avec ma vue basse, je ne distinguais pas grand chose dans la pénombre de la cheminée hormis les deux billes de la chatte qui me surveillait.
A mon retour de chez un client, Monique me dit que, finalement, ce sont trois chatons : un gris, un presque blanc et un rouquin ! Mais elle me dit aussi que voulant sortir la chienne en laisse sur la terrasse pour signifier à la chatte qu’elle ne pouvait pas élire domicile plus longtemps dans notre barbecue, elle avait trouvé le nid déserté par la mère ! Il ne restait plus que les petits !!! J’allai voir à mon tour et n’en trouvai plus qu’un : le petit rouquin qui miaulait sa détresse de se retrouver tout seul. Me voyant, il avança son petit museau en couinant. De toute évidence, la mère avait trouvé un autre abri et commencé le transfert des petits. Quand je vous dis qu’être mère n’est pas une sinécure !!!
A l’heure où j’écris, j’espère qu’elle a déménagé son dernier petit… qui est quand même bien mignon et que nous adopterions volontiers si la raison ne nous disait pas qu’il n’en faut rien faire à cause de Véga et pour tous les problèmes qu’un deuxième animal domestique poserait !!!

Chats dans la cheminée
Album : Chats dans la cheminée

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Le hérisson

lehrisson1.jpg Fim de Mona Achache avec Ariane Ascaride, Josiane Balasko, Anne Brochet, etc., d’après le roman éponyme de Muriel Barbery.

Paloma, onze ans, surdouée et attirée par la mort, voit en Renée Michel, la concierge un peu laide et revêche de son immeuble, quelqu’un de très différent. Elle la compare à un hérisson dont les piquants ne sont là que pour défendre sa peu tendre des agressions extérieures. Or c’est exactement l’opinion du nouveau propriétaire, un Japonais très raffiné. Entre ces trois personnages vont se tisser des liens d’amitié improbables.
Un film très lent avec des dialogues percutants et une Balasko grandiose sans parler de la gamine qui me réconcilierait presque avec les enfants… A voir absolument.

Véga dans le pot…

Rentrant d’acheter de gros pots bleus pour décorer la terrasse, nous n’avons pu résister à l’envie de taquiner Véga ! Elle est pas belle dans le bleu ?!?

Véga : 5 juillet 2009
Album : Véga : 5 juillet 2009

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Pique-nique et calligraphie

Le Cercle des Arts de Laxou-Maxéville organisait aujourd’hui le pique-nique de fin d’année. Peintres et poètes se sont retrouvés pour passer ensemble quelques heures de détente. Après le repas, les uns ont sorti leurs toiles et leurs pinceaux et d’autres leurs crayons, notamment pour s’initier à la calligraphie. J’étais de ces néophytes et notre prof du jour, Francine, s’est montrée très patiente pour nous prodiguer les rudiments de cet art.

Pique-nique et calligraphie
Album : Pique-nique et calligraphie
Repas de fin d'année du Cercles des Arts de Laxou-Maxéville
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Tellement proches

tellementproches.jpg Un film de Eric Toledano avec Vincent Elbaz, Isabelle Carré, etc.

Alain, marié à Nathalie, n’en peut plus de sa belle-famille. Entre le frère Jean-Pierre et sa femme Catherine qui les assomment avec leurs principes d’éducation et la soeur Roxane qui se jette  à la tête du premier venu – en l’occurence un beau noir interne en médecine – le papa de deux enfants dont un gamin particulièrement agité se demande comment il va faire pour continuer à supporter ces dîners familiaux hebdomadaires en préambule desquels il doit se farcir les exploits musicaux et linguistiques de Gaëlle, la gamine de Jean-Pierre et Catherine. Alors un soir, il pète un plomb et repart vivre avec son gamin chez son père. Sa famille, quoique plus réduite, n’en est pas moins tout aussi gratinée !
Ce n’est pas un chef d’oeuvre cinématographique, loin s’en faut, mais on rit un peu, notamment lors du coup de la poêle à frire !…

Couvre-feu

Dans une petite ville française, le maire a instauré un couvre-feu pour les enfants et adolescents de moins de 14 ans afin qu’ils ne déambulent plus dans les rues après 22h00 s’ils ne sont pas accompagnés d’un adulte.
Je ne comprends pas comment on en est arrivé à devoir légiférer sur un sujet qui relève du cadre familial.
J’ai moi-même un garçon de 24 ans. Adolescent, il ne traînait pas dans les rues, pas plus à 17 ans qu’à 14 d’ailleurs. Tout au plus rentrait-il, une fois par semaine, vers 21h00 de son entraînement de badminton. Ce n’est que majeur, parce qu’il travaillait les week-ends dans un Mac Do, qu’il « traîna » la nuit dans les rues à vélo, quand il terminait à 1h du matin, heure de fermeture du « fast food ».
Il est vrai que j’ai été une mère sévère et exigeante voire réactionnaire : la discipline et le respect faisaient partie de l’éducation de mon gamin ; mais aussi, je crois, l’amour et le dialogue. Sans vouloir à tout prix y voir une relation de cause à effet, mon fils est depuis trois ans autonome ; il travaille et loue un appartement dont il a assuré seul l’ameublement.
Alors, bien sûr, cela peut être une coïncidence. Sans doute aussi ai-je eu la chance d’avoir un enfant sérieux et docile, encore que je me souvienne d’épisodes épiques pour étouffer dans l’œuf la rébellion de mon rejeton avant qu’il ne s’imagine être le plus fort ! Toujours est-il que je n’avais pas besoin d’un couvre-feu officiel pour garder mon garçon à la maison le soir, le jingle des infos suffisait pour qu’il sache qu’il était l’heure de passer à la salle de bain puis sous la couette.
Cela dit, imaginer que nos enfants ne courront plus aucun risque s’ils sont consignés le soir dans leurs foyers est hélas une pure illusion. Car ils côtoient quotidiennement, au sein des établissements scolaires et dans les structures sportives et associatives, les dangers dont on veut les protéger par un couvre-feu : la drogue, la pédophilie, le racket entre autres. Peut-être faudrait-il apprendre à dire « non » à nos enfants afin qu’ils sachent le dire à leur tour… 

L’Américain

lamricain.jpg Une autobiographie de Franz-Olivier Giesbert

Né d’une mère française et d’un GI américain, l’auteur raconte son enfance et la haine qui a pourri son existence. Parce que son père le battait, mais surtout parce qu’il battait sa mère, Franz-Olivier Giesbert a passé la plus grande partie de son temps à échafauder des plans pour tuer cet homme qu’il détestait par dessus tout, jusqu’à son dernier souffle.
Un récit court, fort et très bien écrit. 




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